SériesVerse of KNIGHTL'Univers des Séries TV, vu par un Sériephile de longue date. Au programme de ce blog, des articles thématiques sur les Séries TV, mais également des reviews d'épisodes des critiques et des analyses sur les Séries.2021-10-06T14:00:05+02:00All Rights Reserved blogSpiritHautetforthttp://seriesverseofknight.hautetfort.com/KNIGHThttp://seriesverseofknight.hautetfort.com/about.htmlBLACK SCORPION : Une Super-héroïne (in)digne de Batman !! (Les Super-héros en Série – Rétro-Séries)tag:seriesverseofknight.hautetfort.com,2015-03-01:55690222015-03-01T09:34:43+01:002015-03-01T09:27:00+01:00 Dans mon Challenge Séries 2015 , j’ai voulu ajouter une série de...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Dans mon <strong><em>Challenge Séries 2015</em></strong>, j’ai voulu ajouter une série de Super-héros, et Oh mon Dieu, que m’a-t-t-il pris de déterrer de l’oubli <strong><em>Black Scorpion</em></strong> ? Je ne m’en remettrai peut-être pas !</p><p style="text-align: center;"><img id="media-4924646" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/00/01/2529113243.jpg" alt="black scorpion,michelle lintel,roger corman,super-héros,histoire des séries américaines,batman,adam west,knight rider" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :</span></em></strong> Agent de police le jour, Darcy Walker se transforme en une justicière masquée la nuit. Sous le nom de Black Scorpion, cachée derrière son masque et son justaucorps de cuir, elle met fin aux agissements des criminels d'Angel City grâce à sa maîtrise des arts-martiaux et à sa Scorpio-mobile, son bolide bourré de gadgets... (<em>source : <strong>Allociné.com</strong></em>)</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Les Raisons de laisser reposer Black Scorpion dans les limbes… (mon avis critique sur la série) :</span></em></strong> Avant de commencer, en préambule, je vais rappeler ma position très claire sur les séries. A l’heure actuelle, on a en effet l’habitude d’afficher un discours très tiède sur tout et n’importe quoi, en réduisant les choses à « les goûts et les couleurs », ou tout n’est qu’une question de goût. Hé bien NON. Tout n’est pas toujours qu’une question de « goût », et c’est confondre le « goût », ce qu’on peut aimer ou pas, du jugement, de savoir trancher, juger des choses, grâce à l’expérience et certains critères. Toutes les séries ne se valent pas, et il y a des bonnes comme de mauvaises séries, des séries médiocres et d’autres excellentes. En cuisine, un plat peut être réussi ou pas, il en est de même pour les livres, les films ou les séries TV. Et <strong><em>Black Scorpion</em></strong> EST une mauvaise série. OBJECTIVEMENT. On ne peut pas la juger réussie sans faire preuve de la pire mauvaise foi. </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4924648" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/00/00/3508489803.jpg" alt="black scorpion,michelle lintel,roger corman,super-héros,histoire des séries américaines,batman,adam west,knight rider" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">Mais revenons-y, à cette série nanardesque que constitue <strong><em>Black Scorpion</em></strong>. Il s’agit d’une série produite par Roger Corman, un réalisateur hollywoodien spécialiste des productions à petit budget. Black Scorpion est à l’origine un film de 1995, qui avait pou actrice principale Joan Severance dans le rôle-titre, celui de Darcy Walker, une Inspectrice de police qui combat également le crime sous l’identité secrète de Black Scorpion, une justicière urbaine vêtue d’une combinaison de cuir. L’idée sembla intéressante de décliner ce film en série télévisée, après une première suite donnée au film initial en 1997. L’esprit du film, et de la série par la suite, est proche de celui de la célèbre série télévisée <strong><em>Batman</em></strong> de 66 dans l’intention. Une intention se manifestant par le recours en guest-stars de luxe, à Adam West, qui incarnait Bruce Wayne / Batman dans ladite série, ainsi que Frank Gorshin, l’interprète du Riddler dans la même série. Mais dans l’intention seulement, car si le Batman de 66 peut sembler encore regardable, à condition d’être dans l’esprit de la série, le visionnage de <strong><em>Black Scorpion</em></strong> se révèle particulièrement pénible. Cette série, diffusée sur Sci-Fi, et qui donne cette fois la vedette à Michelle Lintel, qui incarne désormais la belle héroïne, est véritablement indigente : les scénarios sont complètement idiots, de même que la plupart des personnages. Le Capitaine de police, supérieur hiérarchique des héros, est ici caricatural au possible, et un idiot incompétent. Le partenaire de Darcy, amoureux d’elle, Steve Rafferty, est incapable de faire le lien entre Darcy et Black Scorpion, justement. Alors oui, ce sont peut-être tout simplement des clichés liés de toute façon au genre que la série réinvestit, mais elle les traite de telle manière qu’ils en deviennent ridicules. La série ne comprend pas la notion de personnage régulier, puisque le générique de début propose une liste étendue de noms qui n’apparaîtront pas tous dans les épisodes, et qui n’auront pour la plupart qu’un rôle secondaire. Les acteurs sont en totale roue libre la plupart du temps, cabotinent à outrance, surjouent. Les dialogues sont ridicules. Les effets spéciaux sont d’une laideur exécrable, font terriblement cheap (<em>et dire qu’on a attaqué des séries plus récentes sur ce point !!</em>) de même que les costumes des Super-vilains en général. La direction artistique est minable, affreuse. A titre de comparaison, dans la série Batman de 66, un certain soin était au moins apporté à ces éléments. Les combats, qui devraient être le point fort de la série, sont mous, mal chorégraphiés (<em>l’impression de force et de puissance que l’héroïne devrait dégager ne se ressent jamais</em>). Et on sera sensibles ou pas à l’humour de la série, mais les scènes prétendument comiques ne le sont jamais en réalité. Et puis le principe du véhicule qui se transforme et est équipé d’armes intégrées, sur le modèle de la Batmobile ? En fait, la série semble tout droit issue d’une faille spatio-temporelle. Je pensais naïvement au départ sans avoir pris quelques renseignements, que cette série datait des années 90, vu que cette décennie a produit ce qu’il y a de meilleur et de pire en terme de série TV, et des séries du style de Black Scorpion, donc. Mais la série date de… 2001. Et donc comment peut-on proposer en 2001 une série mettant en scène une héroïne avec un super-véhicule, digne du KITT de <strong><em>Knight Rider</em></strong> ??…</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4924651" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/00/01/3967772667.jpg" alt="black scorpion,michelle lintel,roger corman,super-héros,histoire des séries américaines,batman,adam west,knight rider" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">Cette série est donc un vrai plaisir coupable, une série essentiellement « Boobs & Ass ». Mais si, rappelez-vous, ce type de série mettant en scènes des héroïnes et jeunes filles au formes généreuses, dans des tenues sexy, surtout destinées pour le public masculin à se rincer l’œil !! Rien que la tenue de Black Scorpion, qui ne couvre pas grand-chose, sauf l’essentiel, finalement, en est preuve, de même que l’aéropage d’actrices poumonnées que cette série fait défiler. Au point qu’en poussant un peu, la série pourrait fort bien tourner facilement au film érotique. D’ailleurs, en toute honnêteté, le costume de l’héroïne, j’ reviens encore une fois, fait bien plus penser à la tenue d’une dominatrice S-M, à qui il ne manquerait que le fouet, et aurait fort bien sa place dans ce type de production. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">En résumé :</span></em></strong> <strong><em>Black Scorpion</em></strong> fait partie de ces vraies belles daubes télévisuelles, une série nanardesque au possible à regarder si on veut vraiment voir à quoi ressemble une Mauvaise série, et pour se cultiver le goût, elle qui transpire le mauvais goût, justement, et qui aligne tous les pires clichés du genre.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">L’info en plus :</span></em></strong> Aucun des acteurs principaux de la série n’a véritablement fait carrière ou n’a été aperçu ailleurs. Michelle Lintel, l’actrice principale de la série, a quasiment disparu ayant très peu tourné par la suite. </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4924652" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/00/00/1583332331.jpg" alt="black scorpion,michelle lintel,roger corman,super-héros,histoire des séries américaines,batman,adam west,knight rider" /></p>
KNIGHThttp://seriesverseofknight.hautetfort.com/about.htmlNIKITA : L’espionnage façon 90’s (Rétro-série - Les Séries du Challenge Séries 2015)tag:seriesverseofknight.hautetfort.com,2015-02-27:55681582015-02-27T17:28:35+01:002015-02-27T17:26:00+01:00 Retour sur la série NIKITA à l’occasion du visionnage de l’intégralité...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">Retour sur la série <strong><em><span style="color: red;">NIKITA</span></em></strong> à l’occasion du visionnage de l’intégralité de la série, pour un avis critique plus approfondi.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-4922934" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/01/01/3822593025.jpg" alt="nikita, peta wilson, espionnage, x-files, alias" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><span style="text-decoration: underline;">L’influence X-Files :</span></strong> Plus on avance dans le visionnage de la série, et plus il est difficile de ne pas voir, également, dans cette production canadienne, l’influence de la géniale série de Chris Carter ayant finalement donné le ton de bon nombre des production de la décennie 1990. Il faut le dire, la présence de Mark Snow aux commandes de l’environnement sonore de la série aide beaucoup, allant parfois jusqu’à repomper apparemment des sons déjà entendus dans X-Files. Mais ce qui me fait rapprocher les deux séries, c’est également la même ambiance paranoïaque et conspirationniste. Ainsi, jamais une série d’espionnage n’aura poussé la noirceur aussi loin que <strong><em><span style="color: gray; mso-color-alt: red; text-effect: emboss;">NIKITA</span></em></strong> (dans les productions que j’ai pu voir en tout cas). A la tête de la Section One, Madeline et Opérations font preuve d’un comportement glacial, ne montrant aucun état-d’âme, et pouvant choisir de sacrifier n’importe qui pour le bien de la Section ou des missions à accomplir. « La fin justife les moyens », bien sûr, mais à ce point-là… D’une certaine manière, la personnalité d’Opérations, ainsi que de son alter-égo féminin Madeline, est semblable à celle de l’Homme à la Cigarette. On reconnaît là le comportement jusqu’au-boutiste de Jack Bauer de <strong><em><span style="color: red;">24</span></em></strong>, certaines des personnes oeuvrant sur <strong><em><span style="color: red;">NIKITA</span></em></strong> se retrouvant par la suite sur la cette série emblématique de la décennie suivante, les années 2000. Mais ici, le raisonnement est poussé à l’extrême : le monde de la série est un univers froid, désenchanté, où les histoires d’amour ne peuvent connaître de fin heureuse et reposent sur une certaine superficialité, puisque les personnages ne peuvent se faire pleinement confiance (à part peut-être pour Michael et Nikita), quasiment tous les personnages n’étant pas tout à fait ce qu’ils paraissent être. La série aime en effet jouer sur les apparences et les retournements de situation. Autre influence X-Filienne peut-être, on retrouvera dans les 2 séries la manipulation d’enfants, à des fins militaires : un épisode nous montre des enfants conditionnés dès leur plus jeune âge, un autre l’exploitation d’un enfant télépathe utilisé par son don.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4922937" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/01/00/2759352017.jpg" alt="nikita, peta wilson, espionnage, x-files, alias" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Les « défauts », ou choix scénaristiques de la série :</span></em></strong> Certains épisodes nous font espérer le développement d’histoires et de relations entre les personnages sur le long terme, mais cet espoir sera à chaque fois déçu. Les scénaristes n’auront malheureusement jamais développé de grande mythologie ou d’arcs vraiment intéressants, ceux-ci restant à l’état d’ébauches. Que ce soit le passé de certains personnages, qui sert uniquement de prétexte à certains épisodes, la rivalité entre George et Opérations, l’ Organigramme des Services Secrets, les relations entre certains personnages comme celle entre Madeline et Opérations ou entre Birkoff et Nikita. Mais peut-être le fait que tous ces points d’accroche restent à l’état embryonnaire sert la série, développant des personnages marqués du sceau de l’ambiguité. Si la Section One a à affronter différentes organisations ennemies, celles-ci sont la plupart du temps interchangeables et n’affichent pas clairement leurs intentions, leur idéologie. Finalement, on en déduit que « ce sont les méchants », et c’est tout. La série semblait titiller le thème des doubles, un thème assez commun quand on y pense, dans l’univers de l’espionnage, en commençant à déployer des jumeaux par-ci par-là. Mais là encore, cela ne débouchera sur rien de concret. Et malheureusement, la série manque cruellement d’épisodes ou même de scènes emblématiques, marquantes, alors qu’<strong><em><span style="color: red;">ALIAS</span></em></strong> en comptera à la pelle, plus qu’il n’en faut, en comparaison. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"> <strong><em><span style="text-decoration: underline;">Donc la regarder, ou pas ? :</span></em></strong> Pour ceux qui n’ont pas vu la série, je dirais qu’elle s’avère tout de même dispensable. Elle n’est pas désagréable à regarder et vieillit bien, mais dans le genre « série d’espionnage », on a eu mieux, avec... <span style="color: #ff0000;"><strong><em>ALIAS</em></strong></span>, mais peut-être aussi <strong><em>[Spooks]</em></strong>, qui devait être assez semblable dans le ton. En tout cas, la série apporte au genre une ambiance paranoïaque typiquement 90’s, et se termine sur une "vraie" fin, logique et cohérente, ce qui mérite d'être signalé.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4922938" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/00/00/2568517473.jpg" alt="nikita, peta wilson, espionnage, x-files, alias" /></p>
KNIGHThttp://seriesverseofknight.hautetfort.com/about.htmlFELICITY : Le temps rêvé des étudiants (rétro-séries – Challenge Séries 2015)tag:seriesverseofknight.hautetfort.com,2015-02-24:55656542015-02-24T11:26:39+01:002015-02-24T09:31:00+01:00 Parmi les séries que j’avais choisies pour le Challenge Séries 2015 ,...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Parmi les séries que j’avais choisies pour le <strong><em>Challenge Séries 2015</em></strong>, j’ai eu envie de me replonger dans l’une des rares séries <em>Bad Robot</em> que je n’avais pas encore vues, à part quelques épisodes diffusés sur TF1. La série, en effet, faute de succès avait été rapidement déprogrammée. Les amateurs ne furent pas mieux servis en DVD, puisque seule la Saison 1 est disponible, malheureusement. Mais tout d’abord, voyons…</p><p style="text-align: center;"><img id="media-4918658" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/01/02/886782602.jpg" alt="felicity,alias,lost,mystère,keri russell,j.j. abrams,bad robot,histoire des séries américaines,comédie dramatique,matt reeves" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :</span></em></strong> Sur un coup de coeur, Felicity Porter a tout quitté pour rejoindre l'université de New York où Ben Covington - pour lequel elle nourrit des sentiments - y poursuit ses études. Mais une fois sur place, les choses ne se déroulent pas comme elle l'espérait. La jeune fille va devoir malgré tout s'adapter à cette nouvelle vie et se faire de nouveaux amis... (<em>source : <strong>Allociné.com</strong></em>)</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Les raisons d’y jeter absolument un œil ! (mon avis critique après visionnage de la Saison 1) :</span></em></strong> <strong><em><span style="color: red;">Felicity </span></em></strong>est, comme je l’indiquais en préambule, une des toutes premières séries <em>Bad Robot</em>, et celle qui lança véritablement la carrière de J.J. Abrams dans l’univers télévisuel. Parmi les autres noms que l’on peut mentionner parmi l’équipe ayant travaillé sur la série, on peut mentionner Matt Reeves, co-créateur de la série, réalisateur de <strong><em><span style="color: red;">Cloverfield </span></em></strong>et <strong><em><span style="color: red;">Dawn of the Planet of the Apes</span></em></strong><span style="color: red;"> </span>; Jennifer Levin, qui a travaillé comme scénariste sur les séries <strong><em>Brothers & Sisters</em></strong>, <strong><em><span style="color: #203864; mso-themecolor: accent5; mso-themeshade: 128; mso-style-textfill-fill-color: #203864; mso-style-textfill-fill-themecolor: accent5; mso-style-textfill-fill-alpha: 100.0%; mso-style-textfill-fill-colortransforms: lumm=50000;">Unforgettable </span></em></strong>mais aussi et surtout… <span style="color: #ff6600;"><strong><em>Beauty and the Beast</em></strong></span>, de la CW ; Ed Redlich a lui travaillé sur les séries <strong><em><span style="color: #203864; mso-themecolor: accent5; mso-themeshade: 128; mso-style-textfill-fill-color: #203864; mso-style-textfill-fill-themecolor: accent5; mso-style-textfill-fill-alpha: 100.0%; mso-style-textfill-fill-colortransforms: lumm=50000;">The Practice</span></em></strong>, <strong><em><span style="color: #203864; mso-themecolor: accent5; mso-themeshade: 128; mso-style-textfill-fill-color: #203864; mso-style-textfill-fill-themecolor: accent5; mso-style-textfill-fill-alpha: 100.0%; mso-style-textfill-fill-colortransforms: lumm=50000;">Without A Trace </span></em></strong>(<strong><em><span style="color: #203864; mso-themecolor: accent5; mso-themeshade: 128; mso-style-textfill-fill-color: #203864; mso-style-textfill-fill-themecolor: accent5; mso-style-textfill-fill-alpha: 100.0%; mso-style-textfill-fill-colortransforms: lumm=50000;">FBI : Portés Disparus</span></em></strong>, en VF) ou encore <strong><em><span style="color: #203864; mso-themecolor: accent5; mso-themeshade: 128; mso-style-textfill-fill-color: #203864; mso-style-textfill-fill-themecolor: accent5; mso-style-textfill-fill-alpha: 100.0%; mso-style-textfill-fill-colortransforms: lumm=50000;">Unforgettable </span></em></strong>également.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4918661" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/02/00/1937457242.jpg" alt="felicity,alias,lost,mystère,keri russell,j.j. abrams,bad robot,histoire des séries américaines,comédie dramatique,matt reeves" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">Quand on revoit <strong><em><span style="color: red;">Felicity </span></em></strong>désormais, et qu’on a connu le paysage télévisuel des années 90, on ne peut s’empêcher de penser à d’autres séries ayant mis en scènes des héroïnes à la fois fortes et fragiles, aux histoires de cœur compliquées. La voix-off et l’idée de la série, une étudiante décidant de choisir comme ville New York pour poursuivre ses études renvoient immanquablement à <span style="color: #ff0000;"><strong><em>Ally McBeal</em></strong></span>, ainsi que les personnages quelque peu extravagants, comme Javier, le responsable homosexuel du café où travaille Felicity, ou Sean, qui cherche à faire fortune en essayant d’inventer différentes inventions par exemple (<em>on croirait parfois voir une version masculine du personnage d’Elaine Vassal</em>), le caractère très introspectif et psychologique à <strong><em><span style="color: #ff0000;">Buffy</span></em></strong>. Et donc est-ce que la série vaut le coup ? Oui, parce qu’elle est la 4<sup>ème</sup> grande série des années 90 sur les tourments de l’adolescence et la difficulté à rentrer dans la vie adulte, après <strong><em><span style="color: red;">Buffy, the Vampire-Slayer</span></em></strong>, <strong><em><span style="color: red;">Ally McBeal </span></em></strong>(<em>même si les personnages sont de jeunes adultes, leur manque de maturité émotionnelle est flagrant pour certains, et leur comportement dans leur appréhension de relations sentimentales est digne d’adolescents parfois</em>), et <strong><em><span style="color: red;">Dawson’s Creek</span></em></strong>. Oui, parce qu’elle possède en germe toutes les qualités et certains des thèmes des séries initiées par J.J. Abrams, comme <strong><em><span style="color: red;">ALIAS </span></em></strong>ou <strong><em><span style="color: red;">LOST</span></em></strong>. En plus de nous permettre de faire découvrir plusieurs des acteurs et actrices que l’on reverra dans <strong><em><span style="color: red;">ALIAS</span></em></strong><span style="color: red;"> </span>: Greg Grunberg, bien sûr (<em>ami d’enfance de J.J., il apparaît dans plusieurs des productions Bad Robot</em>), Kevin Weisman le temps d’un épisode, Amanda Foreman, ou… Jennifer Garner, dont le talent, encore en germe, laisse percevoir tout son potentiel le temps des quelques scènes et épisodes où elle apparaît.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4918664" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/02/00/1310419434.jpg" alt="felicity,alias,lost,mystère,keri russell,j.j. abrams,bad robot,histoire des séries américaines,comédie dramatique,matt reeves" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">Oui, enfin, parce que <span style="color: #ff0000;"><strong><em>Felicity</em> </strong></span>est une comédie dramatique réussie sur le milieu étudiant, période de la vie aussi essentielle et formatrice que le lycée, finalement peu exploitée à la télévision. (<em>Est-il difficile d’écrire sur cette période ?</em>). La série traite ses sujets avec beaucoup de sensibilité et de justesse, portée par Keri Russell, absolument adorable et charmante dans le rôle de cette jeune étudiante parfois un peu naïve. L’ambiance particulière de la série (<em>ah, les années 90, où les séries se définissaient d’abord et avant tout par leur ambiance !!</em>) est douce-amère, mais jamais totalement triste, même si la plupart des histoires de cœur mises en scène sont malheureuses. Certaines scènes placent leurs personnages dans des situations parfois désagréables mais jamais méchantes. Dans <strong><em><span style="color: red;">Felicity</span></em></strong>, on est à l’école du ressenti, et l’on cherche à mettre des mots sur les sentiments épars que l’on vit. Tout comme <strong><em><span style="color: red;">Ally McBeal</span></em></strong>, la série creuse les tréfonds de la personnalité de ses personnages, irrémédiablement attachants, en particulier Felicity, jeune fille calme, douce et sensible (<em>à l’image de la série</em>), ainsi que Ben et Noël, les petits-amis idéaux de ce type d’aventures. De ce fait, tous les stratagèmes narratifs pour laisser s’exprimer les personnages se déploient : aussi bien les séances avec un conseiller, que les prises de paroles en cours, le regard face caméra lorsque Sean souhaite réaliser un documentaire, ou le gimmick introductif de chaque épisode de la Saison 1 : Felicity, seule dans une chambre, enregistre des messages audio sur un magnétophone, à destination d’une certaines Sally, que l’on devine plus âgée, dont on entend parfois les réponses. Une présence mystérieuse, réconfortante, qui pourrait rappeler peut-être aussi la manie de Dale Cooper dans <strong><em><span style="color: red;">Twin Peaks </span></em></strong>de procéder de même. Mais pour une fois, ce recours à la voix-off est pertinent et cohérent, là où dans d’autres cas, elle peut apparaître comme la solution de facilité. Concernant le fond des intrigues, pas de grandes surprises, les passages obligés auxquels on peut s’attendre apparaissent, révision et passages d’examens, fêtes étudiantes, ainsi que les traditionnelles fêtes rythmant l’année comme Thanksgiving. Ainsi que, comme pour toute série du genre qui se respecte, l’incompréhension de parents parfois lointains, absents, qui doivent bon gré mal gré suivre de loin leurs enfants grandissants sans eux, et les difficultés à communiquer que cela engendre.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4918665" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/02/01/4231771642.jpg" alt="felicity,alias,lost,mystère,keri russell,j.j. abrams,bad robot,histoire des séries américaines,comédie dramatique,matt reeves" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">En bref :</span></em></strong> <strong><em><span style="color: red;">Felicity </span></em></strong>est une série à voir et à revoir, à redécouvrir absolument. Elle fait partie des grandes séries des années 90, présentant une écriture et une interprétation de qualité, à servi de matrice à l’excellente série <strong><em><span style="color: red;">ALIAS </span></em></strong>bien entendu, et a révélé un scénariste brillant, que certains aiment à réduire à un simple producteur et créateur de concepts. Bien sûr, le ton de la série demande qu’on ait quelque peu la patience de s’y attarder, mais ce n’est pas la première ni la dernière. Son manque de succès, surtout en France à l’époque (<em>faute d’une diffusion adaptée, la série ayant été lâchée le samedi après-midi, dans la même case-horaire que Dawson’s Creek, horaire qui ne lui correspondait clairement pas</em>) est une véritable injustice pour une série fine et sensible. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Et le Mystère ?... :</span></em></strong> Une série produite par J.J. Abrams ne serait rien sans un grand mystère maintenant en haleine et suscitant l’intérêt du spectateur. Lui aussi est déjà présent en germe. A travers la Boîte Mystérieuse de Meghan, la colocataire de Felicity, qui tient à ce qu’elle ne soit pas ouverte, et met en garde à plusieurs reprises la jeune fille à ce sujet. Qu’’y a-t-il à l’intérieur ? Mystère. Ce que l’on sait, c’est que les parents de Meghan, croyant qu’elle appartenait à Felicity, confrontent la jeune fille, s’inquiétant de ce qu’ils y ont découvert. Le téléspectateur, lui, en restera sur sa faim. Au terme de la Saison 1.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Le Générique d’ouverture :</span></em></strong> à l’image de la série, accompagné par une chanson interprétée par… Amy Jo Johnson (<em>hé oui, la talentueuse Amy Jo chante aussi, la série permettra de le découvrir d’ailleurs</em>), il insiste sur les instants fugaces de la vie d’étudiants. Succession d’instants choisis, il fait se succéder des photos en noir & blanc de Felicity, seule ou avec ses amis, souriante ou mélancolique. Et illustre à merveille les thèmes de la série : rêverie, réalité, joie, tristesse, mélancolie. Chaque instant compte, <em>MAIS</em> ou <em>PARCE QU’</em>il est éphémère. </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4918666" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/00/00/3244006474.jpg" alt="felicity,alias,lost,mystère,keri russell,j.j. abrams,bad robot,histoire des séries américaines,comédie dramatique,matt reeves" /></p>
KNIGHThttp://seriesverseofknight.hautetfort.com/about.html(La Femme) NIKITA : Bienvenue chez les espions de la Section One. (Rétro-Séries)tag:seriesverseofknight.hautetfort.com,2015-01-02:55249592015-01-02T19:05:05+01:002015-01-02T18:56:00+01:00 La Femme Nikita , à ne pas confondre avec le film de Luc Besson, ni...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><strong><em><span style="color: red;">La Femme Nikita</span></em></strong>, à ne pas confondre avec le film de Luc Besson, ni avec la série de 2010 de la CW, est l’une des séries de mon Challenge Séries 2015. Première avis, après le visionnage des 7 1ers épisodes.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-4834341" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/00/00/374899393.jpg" alt="nikita,la femme nikita,peta wilson,espionnage,alias,arvin sloane" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :</span></em></strong> Accusée d'un crime à tort et condamnée à la prison à vie, Nikita est emmenée dans une organisation secrète de lutte contre le terrorisme où l'on fait d'elle un agent secret. Avec l'équipe de la Section Une, elle doit remplir des missions et lutter pour sa propre survie. (<em>source : <strong>Allociné.com</strong></em>)</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Les raisons d’y jeter un œil … ou pas !! (mon avis critique sur la série) :</span></em></strong> <strong><em><span style="color: red;">La Femme NIKITA </span></em></strong>est une série canadienne produite et diffusée à partir de 1997, développée par Robert Cochran d’après le célèbre film de Luc Besson. Les raisons qui m’ont fait choisir cette série dans le <strong><em>Challenge Séries 2015</em></strong> étaient que les <em>haters</em> d’<strong><em><span style="color: red;">ALIAS </span></em></strong>utilisaient entre autres comme argument une trop grande proximité entre les 2 séries. La 2<sup>ème</sup> raison est que cette série a vu travailler de nombreuses personnes que l’on a pu retrouver par la suite sur la série <strong><em><span style="color: red;">24</span></em></strong>. Au point que certains ont considéré cette série comme annonciatrice de la suivante. La 3<sup>ème</sup> raison est que j’ai toujours été curieux de redécouvrir enfin en intégralité cette série, dont je n’avais que des bribes, des épisodes à droite à gauche. Cette série a en effet été très mal diffusée en France, à des horaires indus sur F2. Alors qu’en est-il de cette série ? Après un 1<sup>er</sup> épisode qui imite quelques scènes-clés du film, dont la fameuse scène du restaurant, sans le talent de réalisateur de Luc Besson bien sûr, la série va développer au mieux ses propres intrigues. Au niveau du cast, des acteurs radicalement différents vont être engagés pour les rôles-clés : à la place d’Anne Parillaud, la sculpturale Peta Wilson, belle jeune femme blonde est engagé. Roy Dupuis, très différent de Tcheky Karyo, est engagé pour incarner Michael, l’agent de liaison de Nikita. Au niveau des ressemblances avec ALIAS, cela se résume à des éléments formels et factuels : un personnage d’agent de liaison s’appelant Michael, une héroïne espionne, et un chef de Section à l’attitude très ambiguë.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4834344" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/01/02/1375270929.jpg" alt="nikita,la femme nikita,peta wilson,espionnage,alias,arvin sloane" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">Mais les ressemblances s’arrêtent là : il n’y a pas de forte mythologie développée dans la série, la vie privée de l’héroïne n’existe que dans de très courtes scènes très basiques, pourtant essentielles dans le fait de contribuer à la personnalisation du personnage de Nikita. Les scènes d’appartement apportent en effet des coupures colorées par rapport à une série très sombre sinon. Ce qu’on pourrait regretter en effet dans cette série, c’est le manque de caractérisation des personnages au coeur de la Section One, qui n’apparaissent de toute façon pas suffisamment à l’écran pour que cet aspect soit développé. L’ensemble des personnages est d’ailleurs purement fonctionnel. Madeline le Mentor, Opérative le chef désagréable prêt à tout, Walter le concepteur des gadgets. Au moins ont-ils un look particulier créant un peu de corps à ces personnages. Les intrigues sont la plupart du temps assez simples, basiques, reposant essentiellement sur un simple pitch de départ. Mais la série a son charme, et on peut toutefois s’y attarder. Car il faut comprendre que <strong><em><span style="color: red;">La Femme Nikita </span></em></strong>est d’abord et avant tout une série d’ambiance, ou une série qui joue sur son ambiance. Une ambiance mélancolique, sombre, pesante : les hommes et femmes de la Section One sont loin d’être des enfants de chœur, utilisant les mêmes méthodes que leurs adversaires la plupart du temps : justice expéditive, séquestration, torture… La série ne prête jamais à rire, et c’est peu de le dire. Dans l’un des premiers épisodes, afin de faire parler une femme ayant prise Nikita sous son aile, les hommes de la Section One iront jusqu’à rouer de coups la jeune femme travaillant habituellement avec eux ! Et Opérative, le chef de Section laisse entendre à plusieurs reprises que Nikita, pour laquelle il ne semble avoir aucune compassion (<em>à la différence d’un Arvin Sloane par exemple</em>), est sacrifiable. Et bien sûr, Nikita le comprend assez vite. Série d’ambiance, donc, portée essentiellement par l’environnement sonore apporté par Mark Snow, le brillant compositeur de l’époque célèbre surtout pour sa participation à <strong><em><span style="color: red;">X-Files</span></em></strong>. Et puis il y a le personnage de Michael, et sa relation avec Nikita, eux aussi merveilleusement ambiguës. Certaines scènes suggèrent un rapprochement possible entre les deux personnages, mais Michael est un agent professionnel, et on peut toujours se demander s’il ne manipule pas la jeune femme.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4834348" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/00/00/1821954465.jpg" alt="nikita,la femme nikita,peta wilson,espionnage,alias,arvin sloane" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">En Bref :</span></em></strong> <strong><em><span style="color: red;">La Femme Nikita </span></em></strong>est une série d’espionnage très classique qui retiendrait à peine l’attention, si elle ne disposait pas de son ambiance si particulière et de son héroïne principale, autre modèle d’espionne à la beauté envoutante piégée dans un univers froid et désincarné, et si elle n’était marquée du sceau de l’ambiguïté pour de nombreux éléments la composant.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><span style="text-decoration: underline;"><em><strong>Les Guest-stars de l’ épisode :</strong></em></span> Rien que les premiers épisodes auront permis de croiser, entre autres, Simon McCorkindale (<em>célèbre pour avoir incarné le rôle principal de <strong>Manimal</strong></em>), Tobin Bell ou encore Von Flores (<em>le Sandoval de <strong>Earth Final Conflict</strong></em>).</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4834355" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/01/01/3736604081.jpg" alt="nikita,la femme nikita,peta wilson,espionnage,alias,arvin sloane" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"> </p>
KNIGHThttp://seriesverseofknight.hautetfort.com/about.htmlAu Pays des Géants : tout est si petit, tout est si grand… (Les Voyages Extraordinaires – Rétro-Séries)tag:seriesverseofknight.hautetfort.com,2015-01-02:55249272015-02-24T10:03:38+01:002015-01-02T18:03:00+01:00 Pendant ces vacances, ma curiosité m’a poussé à voir ou revoir les premiers...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">Pendant ces vacances, ma curiosité m’a poussé à voir ou revoir les premiers épisodes de séries d’autres époques. Coup d’œil dans le rétro, et quelques avis critiques !</p><p style="text-align: center;"><img id="media-4834283" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/01/00/2051017110.jpg" alt="Land of the giants, au pays des géants, irwin allen, au coeur du temps, voyage au fond des mers, lost, histoire des séries américaines" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :</span></em></strong> Lors d'un vol suborbital entre New York et Londres, trois membres d'équipage et quatre passagers sont projetés sur une planète semblable à la Terre, à la différence qu'elle est peuplée d'humains et d'animaux douze fois plus grands qu'eux. Tandis qu'ils tentent de réparer leur vaisseau endommagé afin de regagner la Terre, ils doivent faire face à la menace permanente que représentent les habitants de cette planète. (<em>source : <strong>Wikipedia</strong></em>)</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Les Raisons d’y jeter un œil… ou pas ! (mon avis critique sur les 1ers épisodes) :</span></em></strong> <strong><em>Au Pays des Géants</em></strong>, tout comme <strong><em>Voyage au Fond des Mers</em></strong> ou <strong><em>The Time Tunnel</em></strong>, est une création d’Irwin Allen, ayant duré 2 saisons, et qui fut produite et diffusée de 1968 à 1970. Irwin Allen est un des noms des producteurs et créateurs de séries des années 60 qui nous sont restés, au moins pour la productivité et l’inventivité des séries qu’il a produites. Et curieusement, certains éditeurs de séries en DVD pensent qu’il y aurait un public pour ses séries. Ainsi, quelques coffrets de <strong><em>Voyage au Fond des Mers</em></strong> ont été édités, ainsi qu’un coffret regroupant des épisodes de cette série. La principale qualité, qui constitue également le principal défaut des créations d’Allen, est d’être construite d’abord et avant tout sur un principe fort, propice à l’aventure et à l’imagination. Et après tout, c’était le cas d’autres séries de l’époque comme <strong><em><span style="color: red;">Star Trek </span></em></strong>ou <strong><em><span style="color: red;">Les Mystères de l’Ouest</span></em></strong>, aux personnages à la personnalité pas si creusée que ça. Ici, c’est un groupe de personnages perdus dans un monde où tout s’avère gigantesque. </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4834284" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/02/02/8411894.jpg" alt="Land of the giants, au pays des géants, irwin allen, au coeur du temps, voyage au fond des mers, lost, histoire des séries américaines" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">Ce qu’on pourra regretter, c’est le manque de réponses apportées aux questions posées par le show, parce que ce n’était tout simplement pas le but : Où se sont retrouvés les naufragés liliputiens ? Sur une autre planète ? Cela semble être le cas. Mais pourquoi cette planète a-t-elle connu une évolution quasiment semblable à la Terre ? Hormis la taille des « Géants », rien ne les distingue des êtres humains. On passera sur le fait que les Géants, comme c’est commode, parlent eux aussi Anglais. Et d’où vient le fait que eux, ont connaissance de la Terre et de ses habitants ? Bref, cette série demande à ne pas être trop regardant sur certains aspects qui doivent être acceptés tels quels, comme bon nombre d’autres séries de l’époque. Comme je l’ai indiqué, la série souffre de mettre en scène un cast étendu mais faiblement caractérisé. Au bout de 2 ou 3 épisodes, on en connaît finalement assez peu sur les différents personnages de la série, ce qui n’encourage pas à nous attacher à leur sort. A la différence d’un <strong><em><span style="color: red;">LOST</span></em></strong>qui reposait fortement sur la caractérisation des personnages, nous offrant surtout des parcours de vie. Et une fois que l’on a compris le principe de la série, celle-ci peut s’avérer quelque peu distrayante, mais elle a tout de même assez vieilli. J’avoue que terminer les 2-3 1ers épisodes une fois lancés n’a pas été évident.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4834285" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/01/02/1038119750.jpg" alt="Land of the giants, au pays des géants, irwin allen, au coeur du temps, voyage au fond des mers, lost, histoire des séries américaines" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">En résumé :</span></em></strong> <strong><em>Land of the Giants</em></strong> est une série qui repose uniquement sur son concept fantastique, et ses astucieux trucages. Ce qui rend son visionnage peu évident, une fois le concept apprivoisé, en raison de personnages très sommaires et faiblemen caractérisés. </span></p>
KNIGHThttp://seriesverseofknight.hautetfort.com/about.htmlChallenge Séries 2015 : le Choix de mes séries.tag:seriesverseofknight.hautetfort.com,2015-01-01:55242862015-01-01T18:23:55+01:002015-01-01T18:18:00+01:00 Bonjour à tous ! Comme les 2 années précédentes, je vais tenter...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">Bonjour à tous !</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">Comme les 2 années précédentes, je vais tenter le Challenge Séries organisé par Hellody, même si j’ai échoué à le réussir lors des 2 précédentes tentatives. Alors cette année, le choix de mes séries s’est porté sur… pas mal de séries mettant en scène des héroïnes fortes et indépendantes, comme vous pourrez le remarquer :</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4833257" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/00/02/4156735734.jpg" alt="CHALLENGE séries, Felicity, J.J. Abrams, Nikita, continum, black scorpion, NCIS LOS ANGELES, Spartacus, community" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong>Felicity</strong> : l’une des rares séries <em>Bad Robot</em> que je n’ai jamais vues en entier. Elle est d’une certaine importance historique, puisqu’elle fut la 1<sup>ère</sup> véritable production télévisée de J.J. Abrams, marqua la collaboration avec Matt Reeves, désormais cinéaste reconnue grâce notamment au réussi Dawn of the Planet of the Apes, et permit l’apparition d’<strong><em><span style="color: red;">ALIAS</span></em></strong>, série particulièrement chère à mon coeur. Je n’avais suivi que quelques épisodes sur TF1 à l’époque, lors d’une diffusion le samedi après-midi qui s’était vite arrêtée. J’espère accrocher à la série, même si le sujet me tenterait peu s’il n’y avait pas les conditions évoquées plus haut. Il s’agit en effet d’une série dramatique suivant de jeunes adultes dans surtout leurs histoires de cœurs, une série dans la lignée de Dawson’s Creek.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong>NIKITA</strong>, mais la version de 1997, avec Peta Wilson, série diffusée tard dans la nuit sur F2. J’ai toujours voulu la voir intégralement, au moins pour voir par moi-même tout ce que <strong><em><span style="color: red;">ALIAS</span></em></strong>lui doit, soi-disant… J’en garde un souvenir assez confus d’une série d’espionnage assez sombre et sérieuse pour son ambiance. J’avais regardé en effet quelques épisodes de ci de là. Ce fut une série très mal diffusée en France, et c’est donc l’occasion de la voir enfin en entier.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong>CONTINUUM</strong> : Je voulais la voir depuis un petit moment, je n’ai jamais vu que le Pilote. J’espère ne pas être déçu. Je l’ai choisie histoire d’avoir au moins une série S-F dans mon Challenge. Celle-ci est canadienne, mais regroupe bon nombre d’acteurs déjà croisés ailleurs. Là encore, le Challenge sera l’occasion de la juger par moi-même.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong>Black Scorpion</strong> : série des années 90 de Super-Héros, parodiant allégrement Batman, c’est LA merde que je m’impose, histoire de me cultiver le goût. Il s’agit d’une série oubliée, on verra si c’est à raison ou pas. Elle fut produite sauf erreur par Roger Corman, ce qui veut tout dire.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong>SPARTACUS</strong> : Histoire d’avoir une série pleine de sexe et de fureur, où le sang coule à flots. Sauf erreur, c’est la série-détente par excellence, vu qu’elle abuse en hémoglobine et scènes déshabillées.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong>Orphan Black</strong> : je vais essayer de la voir en entier. Depuis le temps que j’en entends parler. Il s’agit d’une autre série à mythologie et à conspiration. J’avais peu été emballé par le Pilote, même si je suis convaincu que c’est une série de qualité. On verra si je finis par accrocher. Beaucoup sont très fans de la série parmi ceux qui l’ont découverte, comme Ripleyaeryn, et on me la conseille. Sera-ce pour moi le UTOPIA de cette année ?</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><span style="color: red;">NCIS LA</span></strong><span style="color: red;"> </span>: Elle en est à sa S6 déjà, je l’ai adorée dès le début, et… je l’ai laissée tomber à la fin de la S2 ou au début de la S3, je ne sais plus. Il serait temps de la reprendre !! Les persos étaient géniaux, contrairement à l’inutile NCIS NOLA qui ne vaut que pour Scott Bakula, et encore, le pauvre, dans le rôle d’un pseudo-Horatio Caine, pour une série qui accumule les clichés. Brek, je suis ravi de sauter sur l’occasion pour rattraper mon retard sur cette série !</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong><span style="color: #2f5496; mso-themecolor: accent5; mso-themeshade: 191;">Without A Trace</span></strong><span style="color: #2f5496; mso-themecolor: accent5; mso-themeshade: 191;"> </span>: la série compte 7 saisons (<em>la dernière n’est d’ailleurs JAMAIS sortie en DVD !! Sans qu’on en ait su précisément la raison</em>), et je m’étais arrêté à la fin de la S4 : j’aurai donc 3 saisons à voir pour la finir.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong>Fairly Legal</strong> : Là encore, une série que j’avais commencée, et que je n’ai jamais terminée. Je n’ai même pas terminé la S1, qui ne compte que 13 épisodes ! Donc il faudra que je termine la S1 et visionne la S2. J’avoue que je ne vais la faire que pour Sarah Shahi. Elle est sinon fort sympathique, mais loin d’être indispensable quand on se dit sériephile. A la différence de l’exceptionnelle <strong><em><span style="color: red;">Person Of Interest</span></em></strong>, dans laquelle on retrouve désormais Sarah Shahi dans un registre radicalement différent.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">Pour les dernières, j’avais choisi <strong><em><span style="color: red;">Community</span></em></strong>, histoire d’avoir une sitcom, et <strong><em>Rizzoli & Isles</em></strong>, mais ce sont des choix par défauts, et ça me ferait encore 2 séries longues. Et… Je me dis que <strong><em>The Americans</em></strong> me tenterait bien, finalement, je n’ai vu que les 3 1ers épisodes. Donc je verrai bien celles que je visionne au final. Pour <span style="color: #ff0000;"><em><strong>Sons of Anarchy</strong> </em></span>et <span style="color: #ff0000;"><strong><em>LEVERAGE</em></strong></span>, je les répercute sur mon Challenge Séries 2015, histoire de les terminer également.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4833260" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/00/02/1172446438.jpg" alt="CHALLENGE séries, Felicity, J.J. Abrams, Nikita, continum, black scorpion, NCIS LOS ANGELES, Spartacus, community" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">Voilà, je risque une nouvelle fois d’échouer, mais tant pis, c’est fun de participer, en tout cas !! Et en général, j’en finis tout de même une dizaine sur 12, ce qui est quand même un bon score, tout de même, j’espère !! ^^</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;"><strong>KNIGHT</strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">PS : N’hésitez pas à participer vous aussi au Challenge Séries, en cliquant sur le lien : <a title="Challenge Séries 2015, Principe et Inscriptions" href="http://ms-kitty-fantastico.blogspot.fr/2014/12/challenge-series-2015-principe-et.html">http://ms-kitty-fantastico.blogspot.fr/2014/12/challenge-series-2015-principe-et.html</a></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">Pour rejoindre la page officielle du groupe Facebook, c'est par ici : <a title="Challenge Séries 2015, page officielle Facebook" href="https://www.facebook.com/groups/460533744056778/">https://www.facebook.com/groups/460533744056778/</a></span></p>
KNIGHThttp://seriesverseofknight.hautetfort.com/about.htmlChallenge Séries 2014 : mon bilan personnel !tag:seriesverseofknight.hautetfort.com,2015-01-01:55241042015-01-01T11:50:43+01:002015-01-01T11:49:00+01:00 Bonjour à tous ! Alors que l’année 2014 vient de s’achever,...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; line-height: 107%; font-family: 'trebuchet ms', geneva;">Bonjour à tous ! </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; line-height: 107%; font-family: 'trebuchet ms', geneva;">Alors que l’année 2014 vient de s’achever, voici une note pour proposer mon bilan personnel du Challenge Séries 2014 auquel je participais. Un Challenge que je n’ai pas réussi encore une fois pour différentes raisons : la sortie d’<strong><em><span style="color: red;">Assassin’s Creed Unity </span></em></strong>entre autres.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4832871" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://seriesverseofknight.hautetfort.com/media/01/00/1106374041.jpg" alt="challenge séries, prison break, highlander, jericho, suits, the good wife" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; line-height: 107%; font-family: 'trebuchet ms', geneva;">Dans l’ensemble, j’ai au moins apprécié de finir pas mal de séries qui ne l’auraient pas été sans le <em>Challenge Séries</em>. <strong><em><span style="color: red;">The Good Wife</span></em></strong>, que je voulais vraiment découvrir, à cause des nombreux éloges lus sur Twitter. Une très bonne série, c’est certain, mais à mon sens surestimée, tout de même inférieure aux séries de David E. Kelley, que les admirateurs de cette série ne doivent pas connaître ou avoir visionné. J’ai beaucoup plus apprécié <strong><em><span style="color: red;">SUITS</span></em></strong>, une série également judiciaire, pas forcément plus forte, mais beaucoup plus addictive. Même si dans les deux séries, on rebat régulièrement les cartes. D’ailleurs, ce serait surtout elle que je citerais si on me demandait quelle série j’ai préféré. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; line-height: 107%; font-family: 'trebuchet ms', geneva;">J’ai également beaucoup apprécié d’avoir au moins mené à terme deux séries feuilletonnantes, <strong><em><span style="color: red;">Prison Break</span></em></strong>et <strong><em><span style="color: red;">Jericho</span></em></strong>, que je voulais vraiment terminer. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; line-height: 107%; font-family: 'trebuchet ms', geneva;">Tout comme <strong><em><span style="color: red;">Earth Final Conflict</span></em></strong>, immense déception au final devant le gâchis que constitue la série, qui partait de si loin, et qui n’aura plus ressemblé à grand-chose en saison 5, hélas. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; line-height: 107%; font-family: 'trebuchet ms', geneva;">J’ai manqué de temps pour les 3 dernières séries, <strong><em><span style="color: #ffc000;">In Plain Sight</span></em></strong>, <strong><em><span style="color: red;">Sons of Anarchy </span></em></strong>et <strong><em><span style="color: red;">LEVERAGE</span></em></strong>, mais ce n’est pas grave, puisque je vais les remettre en jeu pour le <strong><em>Challenge Séries 2015</em></strong>.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; line-height: 107%; font-family: 'trebuchet ms', geneva;">Hors Challenge, j’ai vraiment aimé UTOPIA, excellente série britannique, et CHOSEN, au pitch de départ extrêmement fort. 2 séries pouvant se révéler très addictives. Et puis HIGHLANDER, un énième revisionnage, mais cette fois en VO. Une série qui a beaucoup compté pour moi, je le rappelle encore une fois, malgré ses nombreux défauts. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; line-height: 107%; font-family: 'trebuchet ms', geneva;">Voilà. En route pour le <strong><em>Challenge séries 2015</em></strong> !!</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 10.0pt; line-height: 107%; font-family: 'Arial',sans-serif;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">KNIGHT</span></span></strong></p>