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mardi, 05 juillet 2011

Mon Japan'expo, 2011 : récit d'un voyage épuisant mais exhaltant !

Comme l’année dernière, j’ai eu la chance de pouvoir aller à Japan’expo cette année, le dernier jour, le dimanche 3 juillet. Et comme l’année dernière, voici un petit résumé de cette journée, comment je l’ai vécue, cette Japan’expo…

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Et comme l’année dernière, je suis en partie en compagnie de mon amie Selene. Nous nous retrouvons devant la gare de Douai, pour prendre le TGV pour Paris ! Cette année, le voyage s’est déroulé sans incident, et nous sommes arrivés sans retard. A la Gare du Nord, nous devons retrouver Séverine, une amie qui nous attend. Nous arrivons vers 10h, et il est hélas trop tôt pour s’acheter à manger pour midi. Tant pis, nous fonçons vers la Japan’ ! Nous arrivons devant le quai afin d’attendre le RER qui conduit au Parc des expositions, et là… C’est l’épreuve la plus difficile. A la physiquement et mentalement. Déjà le quai est bondé de futurs visiteurs de la Japan’. Quand le RER arrive, il est lui aussi bondé ! Nous parvenons à monter vaille que vaille, mais alors pour être compressé comme des sardines à l’intérieur. Là, on peut se dire que ceux qui s’y rendent en voiture ne connaissent pas leur chance… Je ne sais pas combien de temps dure le transport, mais cela semble une éternité. En plus, ce qui est le plus emmerdant, ce sont ces personnes avec leurs valises. Elles prennent de la place, ces foutues valises. Car après le Parc des expositions, il y a l’aéroport Charles de Gaulles…Mais enfin nous arrivons, et c’est l’occasion de s’étirer et reprendre vie. Puis c’est parti pour la Japan’, où nous sommes très bien orientés pour une fois. Nous devons quitter temporairement Séverine, qui n’a pas acheté son ticket d’avance, et va rentrer d’un autre côté, tandis que nous pénétrons dans les lieux côté… Comic Con. Avec quand même pour nous accueillir un stand Déclic Collection, qui propose des prix imbattables, encore plus bas que ceux de l’année dernière ! Et l’on peut voir une cosplayeuse incarnant un sosie très ressemblant de Xena, se prêtant gentiment au jeu des photos. Selene appelle Séverine, entrée du côté Japan’. Une légère confusion s’installe, vue qu’elle est aussi au stand Déclic Collection, mais… celui de l’autre partie de l’évènement. Nous nous retrouvons tout de même, et donc nous explorons le côté Japan’…

Passage obligatoire pour moi, le stand Panini, où j’avais prévu l’achat de quelques albums librairie. Mais je suis relativement déçu du stand, constitué aux 3/4 de mangas, en particulier Vampire Knight, qui n’en a pas vraiment besoin. Les comics sont placé contre un mur, peu voyant, et proposent peu d’albums. Je ne trouve pas tous ceux que je souhaitais prendre, en plus. Mais contrairement à l’année dernière, les publications sont en libre accès, c’est à nous de prendre ce qui nous intéresse plutôt que de les demander. Tant mieux, cela permet de choisir soi-même et de feuilleter avant. A la caisse, deuxième mauvaise surprise : plus de cadeaux, de T-shirt, il n’en reste plus. Ils n’avaient même pas assez prévu pour 4 jours les goodies annoncés ! Je repars tout de même avec 3 ouvrage : l’album DC Deluxe de la Renaissance de Green Lantern, l’album FRINGE racontant la rencontre entre Walter Bishop et William Bell, excellent complément à la série TV, et le Monster Edition consacré à Shadowland. Puis passage sur divers stands qui nous intéressent, comme celui de Kaze, qui propose les mêmes prix magasins, et ses nouveautés comme Tsukihime, Eden of East ou Pandora Hearts. Et surtout le stand Dybex, où j’avais prévu là encore quelques achats.

Et après avoir fait le tour des stands qui nous intéressent, c’est là que le drame commence… LOL Hé oui, accompagner des girly geekettes, c’est pour un mec la catastrophe : parce qu’il faut les accompagner à la recherche d’un porte-feuille. Puis on s’arrête pour les sacs. Puis on s’arrête pour les bijous. Puis on s’arrête pour les chaussures. Avec en plus parfois Séverine qui ne prévient pas quand elle s’arrête. Mais arrive 12h30 et il faut penser à manger. Séverine et Selene souhaitent s’acheter un plat japonais, donc des plateaux de sushis. Pour ma part, un simple sandwich suffira largement ! Mais les sandwiches sont hors de prix (enfin sans surprises, je m’y attendais), mais en plus, pas bons du tout. Les filles ne s’en tirent pas mieux : leurs sushis sont… froid, encore limite congelés ! Une fois que nous avons fini de manger, les filles veulent aller regarder les kiminos. Comme ça commence à faire beaucoup, je pars de mon côté l’occasion d’aller traîner un peu côté Comic Con. J’ai trouvé plus calmes les Geeks traînant côté Japan’, et les Geeks traînant côté Comic Con plus… sauvages. Ca se bouscule bien plus, cette partie-là est bien moins agréable. Il y a bien plus de monde dans cette partie, avec des visiteurs pas forcément toujours passionnés de Cultures de l’Imaginaires d’ailleurs. Je passe devant la “salle” de projection (en fait des chaises et une toile coupées du reste par d’immenses rideaux), dont on ne cesse de rentrer et sortir. On y diffusait un épisode de la saison 5 de Doctor Who, en VOST, à fond les ballons. Juste derrière la toile, des chaises sont installées, où des personnes déjeunent, en plein bruit donc. Je m’aventure du côté “Jeux Vidéos”, où de gros stands très bruyants sont installés : de vielles consoles proposent de jouer à d’anciens jeux toujours aussi populaires, SEGA et Nintendo proposent une rétrospective de leurs jeux phares respectifs qui fêtent tous deux un anniversaire : les 20 ans de Sonic, et les 25 ans de Zelda ! C’est émouvant de revoir des jeux auxquels on a si souvent joué plus jeune… Pour Zelda, une sorte de salle-musée lui était dédiée, très très agréable…Mais je reçois un message de Celine, des Critikeurs, qui déjeune dans la cour intérieure, point de rencontre idéal. Quoi qu’il commence à faire très chaud, dehors. Nous nous retrouvons pour faire connaissance, chacun racontant à l’autre son Japan’ ! Elle me raconte certains évènements qui se sont déroulés la veille.

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Puis je retrouve les Girly Geekettes qui ont eu le temps de regarder ce qui les intéressait. Nous faisons un dernier tour pour voir encore quelques stands, dont une expo consacrée à l’une des auteures de Candy, Candy, le D.A. culte bloqué pour des questions de droit. Nous nous arrêtons au stand Déclic Collection, où les prix proposés sont trop attirants. Et puis nous nous posons pour nous reposer un peu. pour se rafraîchir, nous nous offrons une glace, et faisons un dernier tour. Puis, épuisés, nous repartons, et disons au revoir à la Japan’ ! Bien nous en prend, sur le quai du RER, le train est en retard, et nous patientons au soleil, en pleine chaleur, pendant 20 bonnes minutes. Le quai est bondé : quand le RER arrive, nous laissons malheureusement des gens sur le quai. Et l’épreuve de force est de retour : je suis obligé de me tenir le bras tendu toute la durée du transport. Heureusement, le RER est direct jusqu’à la gare. Mon bras me fait un mal de chien et je ne sentirai plus ma main à la descente. Là aussi, toute une épreuve : ceux qui transportent une valise qu’ils ne sont même pas capables de pousser ou tirer embêtent le monde, je vous le dis ! Et puis on remonte vers la Gare du Nord afin de pouvoir prendre notre train du retour…

Pour finir, je dirais que… : 1. Quand on accompagne quelqu’un, il faut se laisser une heure ou 2 chacun de son côté, afin de ne pas s’étouffer, et que chacun puisse aller voir ce qui lui plaît, de son côté. 2. Soit prévoir ses sandwiches, soit peut-être laisser tomber l’idée de manger. 3. Finalement, c’est tellement grand que 2 jours, ce n’est finalement pas de trop : un jour pour la partie Japan’, et un jour pour la partie Comic Con ! ^^ (à condition de dormir pas loin) 4. Le problème des achats est délicat : soit on achèt tout de suite de peur de ne plus trouver ensuite, mais on se charge inutilement pendant la journée, soit on achète en dernier avec le risque de ne pas tout avoir. 5. La Japan’, c’est du sport. C’est éprouvant psychologiquement et physiquement, mine de rien. Il faut un jour ou deux pour se remettre de la fatigue. Mais c’est une telle fête, une telle excitation qu’une fois remis, on est prêt à recommencer.  

KNIGHT, dont l’épaule droite est encore douloureuse.