Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 01 mars 2015

BLACK SCORPION : Une Super-héroïne (in)digne de Batman !! (Les Super-héros en Série – Rétro-Séries)

Dans mon Challenge Séries 2015, j’ai voulu ajouter une série de Super-héros, et Oh mon Dieu, que m’a-t-t-il pris de déterrer de l’oubli Black Scorpion ? Je ne m’en remettrai peut-être pas !

black scorpion,michelle lintel,roger corman,super-héros,histoire des séries américaines,batman,adam west,knight rider

De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :  Agent de police le jour, Darcy Walker se transforme en une justicière masquée la nuit. Sous le nom de Black Scorpion, cachée derrière son masque et son justaucorps de cuir, elle met fin aux agissements des criminels d'Angel City grâce à sa maîtrise des arts-martiaux et à sa Scorpio-mobile, son bolide bourré de gadgets... (source : Allociné.com)

Les Raisons de laisser reposer Black Scorpion dans les limbes… (mon avis critique sur la série) :  Avant de commencer, en préambule, je vais rappeler ma position très claire sur les séries. A l’heure actuelle, on a en effet l’habitude d’afficher un discours très tiède sur tout et n’importe quoi, en réduisant les choses à «  les goûts et les couleurs », ou tout n’est qu’une question de goût. Hé bien NON. Tout n’est pas toujours qu’une question de « goût », et c’est confondre le « goût », ce qu’on peut aimer ou pas, du jugement, de savoir trancher, juger des choses, grâce à l’expérience et certains critères. Toutes les séries ne se valent pas, et il y a des bonnes comme de mauvaises séries, des séries médiocres et d’autres excellentes. En cuisine, un plat peut être réussi ou pas, il en est de même pour les livres, les films ou les séries TV. Et Black Scorpion EST une mauvaise série. OBJECTIVEMENT. On ne peut pas la juger réussie sans faire preuve de la pire mauvaise foi.

black scorpion,michelle lintel,roger corman,super-héros,histoire des séries américaines,batman,adam west,knight rider

Mais revenons-y, à cette série nanardesque que constitue Black Scorpion. Il s’agit d’une série produite par Roger Corman, un réalisateur hollywoodien spécialiste des productions à petit budget. Black Scorpion est à l’origine un film de 1995, qui avait pou actrice principale Joan Severance dans le rôle-titre, celui de Darcy Walker, une Inspectrice de police qui combat également le crime sous l’identité secrète de Black Scorpion, une justicière urbaine vêtue d’une combinaison de cuir. L’idée sembla intéressante de décliner ce film en série télévisée, après une première suite donnée au film initial en 1997. L’esprit du film, et de la série par la suite, est proche de celui de la célèbre série télévisée Batman de 66 dans l’intention. Une intention se manifestant par le recours en guest-stars de luxe, à Adam West, qui incarnait Bruce Wayne / Batman dans ladite série, ainsi que Frank Gorshin, l’interprète du Riddler dans la même série. Mais dans l’intention seulement, car si le Batman de 66 peut sembler encore regardable, à condition d’être dans l’esprit de la série, le visionnage de Black Scorpion se révèle particulièrement pénible. Cette série, diffusée sur Sci-Fi, et qui donne cette fois la vedette à Michelle Lintel, qui incarne désormais la belle héroïne, est véritablement indigente : les scénarios sont complètement idiots, de même que la plupart des personnages. Le Capitaine de police, supérieur hiérarchique des héros, est ici caricatural au possible, et un idiot incompétent. Le partenaire de Darcy, amoureux d’elle, Steve Rafferty, est incapable de faire le lien entre Darcy et Black Scorpion, justement. Alors oui, ce sont peut-être tout simplement des clichés liés de toute façon au genre que la série réinvestit, mais elle les traite de telle manière qu’ils en deviennent ridicules. La série ne comprend pas la notion de personnage régulier, puisque le générique de début propose une liste étendue de noms qui n’apparaîtront pas tous dans les épisodes, et qui n’auront pour la plupart qu’un rôle secondaire. Les acteurs sont en totale roue libre la plupart du temps, cabotinent à outrance, surjouent. Les dialogues sont ridicules. Les effets spéciaux sont d’une laideur exécrable, font terriblement cheap (et dire qu’on a attaqué des séries plus récentes sur ce point !!) de même que les costumes des Super-vilains en général. La direction artistique est minable, affreuse. A titre de comparaison, dans la série Batman de 66, un certain soin était au moins apporté à ces éléments. Les combats, qui devraient être le point fort de la série, sont mous, mal chorégraphiés (l’impression de force et de puissance que l’héroïne devrait dégager ne se ressent jamais). Et on sera sensibles ou pas à l’humour de la série, mais les scènes prétendument comiques ne le sont jamais en réalité. Et puis le principe du véhicule qui se transforme et est équipé d’armes intégrées, sur le modèle de la Batmobile ? En fait, la série semble tout droit issue d’une faille spatio-temporelle. Je pensais naïvement au départ sans avoir pris quelques renseignements, que cette série datait des années 90, vu que cette décennie a produit ce qu’il y a de meilleur et de pire en terme de série TV, et des séries du style de Black Scorpion, donc. Mais la série date de… 2001. Et donc comment peut-on proposer en 2001 une série mettant en scène une héroïne avec un super-véhicule, digne du KITT de Knight Rider ??…

black scorpion,michelle lintel,roger corman,super-héros,histoire des séries américaines,batman,adam west,knight rider

Cette série est donc un vrai plaisir coupable, une série essentiellement « Boobs & Ass ». Mais si, rappelez-vous, ce type de série mettant en scènes des héroïnes et jeunes filles au formes généreuses, dans des tenues sexy, surtout destinées pour le public masculin à se rincer l’œil !! Rien que la tenue de Black Scorpion, qui ne couvre pas grand-chose, sauf l’essentiel, finalement, en est preuve, de même que l’aéropage d’actrices poumonnées que cette série fait défiler. Au point qu’en poussant un peu, la série pourrait fort bien tourner facilement au film érotique. D’ailleurs, en toute honnêteté, le costume de l’héroïne, j’ reviens encore une fois, fait bien plus penser à la tenue d’une dominatrice S-M, à qui il ne manquerait que le fouet, et aurait fort bien sa place dans ce type de production.

En résumé :  Black Scorpion fait partie de ces vraies belles daubes télévisuelles, une série nanardesque au possible à regarder si on veut vraiment voir à quoi ressemble une Mauvaise série, et pour se cultiver le goût, elle qui transpire le mauvais goût, justement, et qui aligne tous les pires clichés du genre.

L’info en plus :  Aucun des acteurs principaux de la série n’a véritablement fait carrière ou n’a été aperçu ailleurs. Michelle Lintel, l’actrice principale de la série, a quasiment disparu ayant très peu tourné par la suite. 

black scorpion,michelle lintel,roger corman,super-héros,histoire des séries américaines,batman,adam west,knight rider

mardi, 24 février 2015

FELICITY : Le temps rêvé des étudiants (rétro-séries – Challenge Séries 2015)

Parmi les séries que j’avais choisies pour le Challenge Séries 2015, j’ai eu envie de me replonger dans l’une des rares séries Bad Robot que je n’avais pas encore vues, à part quelques épisodes diffusés sur TF1. La série, en effet, faute de succès avait été rapidement déprogrammée. Les amateurs ne furent pas mieux servis en DVD, puisque seule la Saison 1 est disponible, malheureusement. Mais tout d’abord, voyons…

felicity,alias,lost,mystère,keri russell,j.j. abrams,bad robot,histoire des séries américaines,comédie dramatique,matt reeves

De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :  Sur un coup de coeur, Felicity Porter a tout quitté pour rejoindre l'université de New York où Ben Covington - pour lequel elle nourrit des sentiments - y poursuit ses études. Mais une fois sur place, les choses ne se déroulent pas comme elle l'espérait. La jeune fille va devoir malgré tout s'adapter à cette nouvelle vie et se faire de nouveaux amis... (source : Allociné.com)

Les raisons d’y jeter absolument un œil ! (mon avis critique après visionnage de la Saison 1) :  Felicity est, comme je l’indiquais en préambule, une des toutes premières séries Bad Robot, et celle qui lança véritablement la carrière de J.J. Abrams dans l’univers télévisuel. Parmi les autres noms que l’on peut mentionner parmi l’équipe ayant travaillé sur la série, on peut mentionner Matt Reeves, co-créateur de la série, réalisateur de Cloverfield et Dawn of the Planet of the Apes ; Jennifer Levin, qui a travaillé comme scénariste sur les séries Brothers & Sisters, Unforgettable mais aussi et surtout… Beauty and the Beast, de la CW ; Ed Redlich a lui travaillé sur les séries The Practice, Without A Trace (FBI : Portés Disparus, en VF) ou encore Unforgettable également.

felicity,alias,lost,mystère,keri russell,j.j. abrams,bad robot,histoire des séries américaines,comédie dramatique,matt reeves

Quand on revoit Felicity désormais, et qu’on a connu le paysage télévisuel des années 90, on ne peut s’empêcher de penser à d’autres séries ayant mis en scènes des héroïnes à la fois fortes et fragiles, aux histoires de cœur compliquées. La voix-off et l’idée de la série, une étudiante décidant de choisir comme ville New York pour poursuivre ses études renvoient immanquablement à Ally McBeal, ainsi que les personnages quelque peu extravagants, comme Javier, le responsable homosexuel du café où travaille Felicity, ou Sean, qui cherche à faire fortune en essayant d’inventer différentes inventions par exemple (on croirait parfois voir une version masculine du personnage d’Elaine Vassal), le caractère très introspectif et psychologique à Buffy. Et donc est-ce que la série vaut le coup ? Oui, parce qu’elle est la 4ème grande série des années 90 sur les tourments de l’adolescence et la difficulté à rentrer dans la  vie adulte, après Buffy, the Vampire-Slayer, Ally McBeal (même si les personnages sont de jeunes adultes, leur manque de maturité émotionnelle est flagrant pour certains, et leur comportement dans leur appréhension de relations sentimentales est digne d’adolescents parfois), et Dawson’s Creek. Oui, parce qu’elle possède en germe toutes les qualités et certains des thèmes des séries initiées par J.J. Abrams, comme ALIAS ou LOST. En plus de nous permettre de faire découvrir plusieurs des acteurs et actrices que l’on reverra dans ALIAS : Greg Grunberg, bien sûr (ami d’enfance de J.J., il apparaît dans plusieurs des productions Bad Robot), Kevin Weisman le temps d’un épisode, Amanda Foreman, ou… Jennifer Garner, dont le talent, encore en germe, laisse percevoir tout son potentiel le temps des quelques scènes et épisodes où elle apparaît.

felicity,alias,lost,mystère,keri russell,j.j. abrams,bad robot,histoire des séries américaines,comédie dramatique,matt reeves

Oui, enfin, parce que Felicity est une comédie dramatique réussie sur le milieu étudiant, période de la vie aussi essentielle et formatrice que le lycée, finalement peu exploitée à la télévision. (Est-il difficile d’écrire sur cette période ?). La série traite ses sujets avec beaucoup de sensibilité et de justesse, portée par Keri Russell, absolument adorable et charmante dans le rôle de cette jeune étudiante parfois un peu naïve. L’ambiance particulière de la série (ah, les années 90, où les séries se définissaient d’abord et avant tout par leur ambiance !!) est douce-amère, mais jamais totalement triste, même si la plupart des histoires de cœur mises en scène sont malheureuses. Certaines scènes placent leurs personnages dans des situations parfois désagréables mais jamais méchantes. Dans Felicity, on est à l’école du ressenti, et l’on cherche à mettre des mots sur les sentiments épars que l’on vit. Tout comme Ally McBeal, la série creuse les tréfonds de la personnalité de ses personnages, irrémédiablement attachants, en particulier Felicity, jeune fille calme, douce et sensible (à l’image de la série), ainsi que Ben et Noël, les petits-amis idéaux de ce type d’aventures. De ce fait, tous les stratagèmes narratifs pour laisser s’exprimer les personnages se déploient : aussi bien les séances avec un conseiller, que les prises de paroles en cours, le regard face caméra lorsque Sean souhaite réaliser un documentaire, ou le gimmick introductif de chaque épisode de la Saison 1 : Felicity, seule dans une chambre, enregistre des messages audio sur un magnétophone, à destination d’une certaines Sally, que l’on devine plus âgée, dont on entend parfois les réponses. Une présence mystérieuse, réconfortante, qui pourrait rappeler peut-être aussi la manie de Dale Cooper dans Twin Peaks de procéder de même. Mais pour une fois, ce recours à la voix-off est pertinent et cohérent, là où dans d’autres cas, elle peut apparaître comme la solution de facilité. Concernant le fond des intrigues, pas de grandes surprises, les passages obligés auxquels on peut s’attendre apparaissent, révision et passages d’examens, fêtes étudiantes, ainsi que les traditionnelles fêtes rythmant l’année comme Thanksgiving. Ainsi que, comme pour toute série du genre qui se respecte, l’incompréhension de parents parfois lointains, absents, qui doivent bon gré mal gré suivre de loin leurs enfants grandissants sans eux, et les difficultés à communiquer que cela engendre.

felicity,alias,lost,mystère,keri russell,j.j. abrams,bad robot,histoire des séries américaines,comédie dramatique,matt reeves

En bref :  Felicity est une série à voir et à revoir, à redécouvrir absolument. Elle fait partie des grandes séries des années 90, présentant une écriture et une interprétation de qualité, à servi de matrice à l’excellente série ALIAS bien entendu, et a révélé un scénariste brillant, que certains aiment à réduire à un simple producteur et créateur de concepts. Bien sûr, le ton de la série demande qu’on ait quelque peu la patience de s’y attarder, mais ce n’est pas la première ni la dernière. Son manque de succès, surtout en France à l’époque (faute d’une diffusion adaptée, la série ayant été lâchée le samedi après-midi, dans la même case-horaire que Dawson’s Creek, horaire qui ne lui correspondait clairement pas) est une véritable injustice pour une série fine et sensible.

Et le Mystère ?... :  Une série produite par J.J. Abrams ne serait rien sans un grand mystère maintenant en haleine et suscitant l’intérêt du spectateur. Lui aussi est déjà présent en germe. A travers la Boîte Mystérieuse de Meghan, la colocataire de Felicity, qui tient à ce qu’elle ne soit pas ouverte, et met en garde à plusieurs reprises la jeune fille à ce sujet. Qu’’y a-t-il à l’intérieur ? Mystère. Ce que l’on sait, c’est que les parents de Meghan, croyant qu’elle appartenait à Felicity, confrontent la jeune fille, s’inquiétant de ce qu’ils y ont découvert. Le téléspectateur, lui, en restera sur sa faim. Au terme de la Saison 1.

Le Générique d’ouverture :  à l’image de la série, accompagné par une chanson interprétée par… Amy Jo Johnson (hé oui, la talentueuse Amy Jo chante aussi, la série permettra de le découvrir d’ailleurs), il insiste sur les instants fugaces de la vie d’étudiants. Succession d’instants choisis, il fait se succéder des photos en noir & blanc de Felicity, seule ou avec ses amis, souriante ou mélancolique. Et illustre à merveille les thèmes de la série : rêverie, réalité, joie, tristesse, mélancolie. Chaque instant compte, MAIS ou PARCE QU’il est éphémère. 

felicity,alias,lost,mystère,keri russell,j.j. abrams,bad robot,histoire des séries américaines,comédie dramatique,matt reeves

vendredi, 02 janvier 2015

Au Pays des Géants : tout est si petit, tout est si grand… (Les Voyages Extraordinaires – Rétro-Séries)

Pendant ces vacances, ma curiosité m’a poussé à voir ou revoir les premiers épisodes de séries d’autres époques. Coup d’œil dans le rétro, et quelques avis critiques !

Land of the giants, au pays des géants, irwin allen, au coeur du temps, voyage au fond des mers, lost, histoire des séries américaines

De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :  Lors d'un vol suborbital entre New York et Londres, trois membres d'équipage et quatre passagers sont projetés sur une planète semblable à la Terre, à la différence qu'elle est peuplée d'humains et d'animaux douze fois plus grands qu'eux. Tandis qu'ils tentent de réparer leur vaisseau endommagé afin de regagner la Terre, ils doivent faire face à la menace permanente que représentent les habitants de cette planète. (source : Wikipedia)

Les Raisons d’y jeter un œil… ou pas ! (mon avis critique sur les 1ers épisodes) :  Au Pays des Géants, tout comme Voyage au Fond des Mers ou The Time Tunnel, est une création d’Irwin Allen, ayant duré 2 saisons, et qui fut produite et diffusée de 1968 à 1970. Irwin Allen est un des noms des producteurs et créateurs de séries des années 60 qui nous sont restés, au moins pour la productivité et l’inventivité des séries qu’il a produites. Et curieusement, certains éditeurs de séries en DVD pensent qu’il y aurait un public pour ses séries. Ainsi, quelques coffrets de Voyage au Fond des Mers ont été édités, ainsi qu’un coffret regroupant des épisodes de cette série. La principale qualité, qui constitue également le principal défaut des créations d’Allen, est d’être construite d’abord et avant tout sur un principe fort, propice à l’aventure et à l’imagination. Et après tout, c’était le cas d’autres séries de l’époque comme Star Trek ou Les Mystères de l’Ouest, aux personnages à la personnalité pas si creusée que ça. Ici, c’est un groupe de personnages perdus dans un monde où tout s’avère gigantesque.

Land of the giants, au pays des géants, irwin allen, au coeur du temps, voyage au fond des mers, lost, histoire des séries américaines

Ce qu’on pourra regretter, c’est le manque de réponses apportées aux questions posées par le show, parce que ce n’était tout simplement pas le but : Où se sont retrouvés les naufragés liliputiens ? Sur une autre planète ? Cela semble être le cas. Mais pourquoi cette planète a-t-elle connu une évolution quasiment semblable à la Terre ? Hormis la taille des « Géants », rien ne les distingue des êtres humains. On passera sur le fait que les Géants, comme c’est commode, parlent eux aussi Anglais. Et d’où vient le fait que eux, ont connaissance de la Terre et de ses habitants ? Bref, cette série demande à ne pas être trop regardant sur certains aspects qui doivent être acceptés tels quels, comme bon nombre d’autres séries de l’époque. Comme je l’ai indiqué, la série souffre de mettre en scène un cast étendu mais faiblement caractérisé. Au bout de 2 ou 3 épisodes, on en connaît finalement assez peu sur les différents personnages de la série, ce qui n’encourage pas à nous attacher à leur sort. A la différence d’un LOSTqui reposait fortement sur la caractérisation des personnages, nous offrant surtout des parcours de vie. Et une fois que l’on a compris le principe de la série, celle-ci peut s’avérer quelque peu distrayante, mais elle a tout de même assez vieilli. J’avoue que terminer les 2-3 1ers épisodes une fois lancés n’a pas été évident.

Land of the giants, au pays des géants, irwin allen, au coeur du temps, voyage au fond des mers, lost, histoire des séries américaines

En résumé :  Land of the Giants est une série qui repose uniquement sur son concept fantastique, et ses astucieux trucages. Ce qui rend son visionnage peu évident, une fois le concept apprivoisé, en raison de personnages très sommaires et faiblemen caractérisés.