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jeudi, 19 décembre 2013

ALMOST HUMAN : une Bromance Blade Runnerienne (Les Nouvelles Séries de la Saison 2013 – 2014)

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De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :  Dans un futur proche, la police de Los Angeles emploie des androïdes à la plastique semblable aux humains. John Kennex perd un de ses collègues et sa jambe lors d'une mission-piège tendue par la mystérieuse organisation, le Syndicat. Après 17 mois de coma, le policier s'efforce de rassembler ces souvenirs dans l'espoir de pouvoir venger son ami et retrouver sa bien-aimée disparue. Entretemps, il lui faut reprendre du service. Son retour est d'autant plus difficile qu'il lui faut faire équipe avec un de ces robots très attachés au règlement. Lui est alors exceptionnellement assigné un ancien modèle, retiré du marché suite à quelques défaillances... (source : Allociné.com)

Les raisons d’y jeter un œil… ou pas ! (mon avis critique sur les débuts de la série) :  ALMOST HUMANest l’une des dernières productions Blockbusters en date de la FOX, créée par J.H. Wyman, ayant déjà travaillé sur la série FRINGE. Les deux séries sont des productions Bad Robot, ayant J.J. Abrams comme producteur. Les séries Bad Robot n’ont jamais prétendu révolutionner le monde de la télévision, mais réutiliser de vieilles idées de séries et les revitaliser. C’est ainsi le cas d’ALMOST HUMAN, qui n’est finalement qu’une simple série policière mettant en scène un duo de flics, une « Buddy cop série », comme la télévision américaine a pu nous en offrir des milliers depuis une quarantaine d’années. On pourra penser en vrac à Starsky & Hutch, Un Duo d’enfer, Rick Hunter, Silk Stalkings,… La liste pourrait être longue comme le bras. Même X-Filesà l’époque, relevait plus ou moins du genre : on associe 2 policiers ou enquêteurs avec suffisamment de contraste, d’oppositions pour rendre intéressante leur association, et tous deux vont finir par s’apprécier au point qu’ils donneraient leur vie l’un pour l’autre. Et comme ce n’est jamais qu’une série policière de plus, on y retrouve les archétypes courants dans ce type de fiction, comme ils étaient déjà présents dans FRINGEd’ailleurs : les 2 héros, donc, dont l’un au fort caractère (John Kennex) tempéré par son coéquipier (Dorian), le chef un peu bourru (ici le Capitaine Maldonado. Dans FRINGE, nous avions Broyle), mais qui tient à ses hommes, le scientifique un peu barjo (Rudy Lom, qui vaut bien Walter Bishop). Et puis il y a la jeune flic assez mignonne, l’Inspectrice Stahl.

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Du coup, est-ce que la série en vaut la peine, puisqu’elle s’inscrit à ce point dans une longue tradition, et met en scène des personnages archétypaux ? Hé bien oui, si l’on aime le genre. Comme les autres séries policières actuelles, ce ne sont pas les intrigues qui vont attirer le téléspectateur, puisqu’elles sont là encore d’un classicisme éprouvé : on aura ainsi droit à l’épisode « prise d’otages », ou encore l’épisode « trafiquants de drogue » à infiltrer. Des intrigues très conventionnelles, finalement. Mais 2 points sauvent la série et en font l’intérêt : les personnages sont très vite attachants, bien plus déjà que dans Agents of S.H.I.E.L.D. par exemple. On a plaisir à les retrouver épisode après épisode. Le second point, intimement lié au 1er, est l’excellent casting de celle-ci, sans fausse note :  dans le rôle de John Kennex, on retrouve Karl Urban, interprète du Juge Dredd dans le film éponyme, et nouveau Dr McCoy de la saga Star Trek. Dans celui de son partenaire, Michael Ealy, habitué des rôles de flic, qui interprète brillamment Dorian. Le savant fou de la série est interprété par le très bon et efficace MacKenzie Crook, l’un des acteurs réguliers de The Office version britannique, croisé dans les Pirates des Caraïbes. Lily Taylor aura participé à l’excellente série Six Feet Under (à laquelle je n’ai jamais accroché. Mais, bien sûr, ce n’est pas parce qu’on n’aime pas une série que l’on ne peut pas en reconnaître les grandes qualités), ainsi qu’au film The Conjuring et à la série horrifique Hemlock Grove. Et puis il y a Valerie Stahl, interprétée par la mignonne et souriante Minka Kelly (Friday Night Light, le film 500 Jours ensemble, et la nouvelle mouture de Charlie’s Angels).

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La 3ème raison, enfin, qui donne une ambiance particulière à la série, est le fait de placer l’histoire dans le futur, de croiser une banale « buddy cop serie » avec une série de Science-Fiction, avec plein de petites trouvailles qui nous font ressentir ce futur. Les androïdes, bien sûr, mais aussi les trouvailles technologiques qui rendent la série plaisante à suivre, agréable à regarder. Les effets spéciaux sont bien réalisés, particulièrement efficaces et maîtrisés. Pour l’instant, la série se contente d’être constituée d’épisodes stand alone, avec à chaque nouvel épisode sa nouvelle enquête, sans aucune continuité ou mise en place de mythologie particulière. Peut-être cela viendra-t-il par la suite…

En bref :  ALMOST HUMANprésente de séduisants atouts, comme ses personnages, vite attachants, inteprêtés par un bon casting que l’on se plaît à retrouver. Mais ne nous voilons pas la face, hormis l’originalité de placer ses histoires dans un contexte futuriste, la série n’apporte dans le fond rien de vraiment neuf au genre, surtout au vu des premières intrigues, assez clichées.

Côté Cast :  Les fans de The SHIELDreverront avec plaisir au détour d’un épisode Benito Martinez, le Capitaine Aceveda de cette série.

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L’info en plus :  Pour ceux qui ne le sauraient pas encore, la série ALMOST HUMANn’est pas diffusée dans l’ordre de production aux Etats-Unis. Vu que la série ne dispose pas de véritable continuité, cela ne l’impacte pas, mais la pratique est toujours dommageable et critiquable. La chaîne FOX aurait-elle choisi de saborder à nouveau une de ses séries ?

" Les séries TV nous montrent parfois le futur, et c'est pour ça que nous les regardons. "

jeudi, 08 mars 2012

ALCATRAZ : plongée dans l'univers carcéral, mystérieux et violent.

Une note amère pour parler d’une série qui déçoit plus qu’elle n’intéresse, tout comme GRIMM d’ailleurs…

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De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :  302 prisonniers et gardiens de la célèbre prison d'Alcatraz disparaissent dans d'étranges circonstances en 1963. Cinquante ans plus tard, ils réapparaissent un à un à San Francisco de manière inexpliquée, sans avoir vieilli. Un agent du FBI, Rebecca Madsen, est alors chargé de mener l'enquête, aidé d'un geek spécialiste de la prison, Diego Soto, et d'un homme mystérieux au passé trouble nommé Emerson Hauser... (source : Allociné.com)

Les raisons d’y jeter un œil… ou pas ! (mon avis critique) :  Parmi les dernières séries à être diffusées au cours de cette saison 2011-2012, ALCATRAZ était une des plus attendues. Parce que le nom d’Abrams lié à une nouvelle série continue de susciter l’enthousiasme, de faire qu’on attend la série avec impatience. Et je dois dire que j’aurais aimé aimer, mais le déclic ne s’est pas encore fait. Les personnages sont assez ternes et ne dégagent pas de présence particulière, et surtout, tout dans la série sent et donne l’impression de déjà-vu. De une, la série n’est finalement jamais qu’une série policière constituée de semi-loners de plus, de deux elle donne l’impression d’un croisement improbable entre LOST et FRINGE. Pour les personnages, donc, on a Jorge Garcia qui incarne le Dr Diego Soto, un geek (caricatural) apparemment spécialiste de la prison d’Alcatraz. A ses côtés, Sarah Jones incarne la fliquette, l’Inspectrice Rebecca Madsen, sorte de cousine d’Olivia Dunham, aussi terne que sa consœur à ses débuts. Pour les chapeauter, un  acteur de talent ayant déjà prouvé sa valeur au cinéma et dans certaines mini-séries de luxe, Sam Neill, qui incarne l’ambigu Emerson Hauser. A leurs côtés, Parminder Nagra fera une apparition en début de saison avant d’être mise sur le carreau afin de développer, un peu, la mythologie de la série. Donc, ce trio va poursuivre un par un les anciens “résidents” d’Alcatraz, en fuite les uns après les autres, avant d’être interrogés par Hauser et emprisonnés dans une nouvelle prison de haute sécurité, aux murs d’un blanc aseptisé. (On notera d’ailleurs que souvent, les bases secrètes d’agences enfermant de vilains secrets sont de cette couleur : c’est le cas du QG des Men In Black dans la série de films éponymes, c’était le cas de l’Initiative dans Buffy, ainsi que de l’APO dans la Saison 4 d’ALIAS, et on pourrait citer beaucoup d’autre exemples).

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La série alterne donc entre la traque des criminels et une série de flash-backs, dans le style de LOST, nous présentant leur vie à la prison. Comme ça on a une ambiance années 60, c’est à la mode depuis le succès de Mad Men, et des scènes qui semblent tout droit sorties d’un film de prison (qui est devenu quasiment un genre à part entière) ou d’une déclinaison cinématographique en série tels que pouvaient l’être Oz et Prison Break. Ce qui permet des scènes d’une certaine violence graphique, également un des aspects des productions Abrams. D’ailleurs, la série reste profondément sombre et sérieuse. L’humour ne semble absolument pas avoir sa place dans ALCATRAZ, à la différence de FRINGE, qui pouvait laisser des respirations, des moments de franche comédie par le personnage décalé de Walter, ou la présence d’éléments incongrus. Comme si la série voulait nous rappeler que ce sont les pires criminels qui se retrouvèrent enfermés sur l’île d’Alcatraz. Si les prisonniers sortent tout droit des années 60, aucune référence ou presque ne sera faite au décalage technologique entre les 2 époques, pas de scène type les Visiteurs. Ce n’est pas le lieu. Et puisqu’il faut bien du mystère, de la mythologie, on a, outre la mystérieuse raison pour laquelle les prisonniers reviennent maintenant, au XXIème siècle, une salle mystérieuse, à la porte digne d’un coffre-fort, inviolable, qui s’ouvre avec des clés que le Directeur de la prison, qui semble aussi froid, dur et inquiétant que les hommes sur lesquels il veille, garde jalousement. Et on a un peu de mal à cerner tout ce que sait Emerson Hauser, qui tente lui aussi de percer certains des mystères entourant les lieux. Ce qui est clair, c’est qu’il ne révèle pas tout ce qu’il sait à Soto et à Madsen. Malheureusement, donc, ces situations et ces mystères font redite, surtout après ALIAS, LOST et FRINGE. Abrams collabore à des séries aux ingrédients éprouvés mais qui commencent à sentir le réchauffé, hélas. De même pour la bande-son que l’on doit une fois de plus à Michael Giacchino, qui peine lui aussi à se renouveler. Les productions Bad Robot, en faisant appel systématiquement à lui, sont reconnaissables entre mille, mais s’uniformisent.

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En résumé :  Bien sûr, il est peut-être un peu trop tôt pour juger vraiment la série, à laquelle il faut laisser le temps de s’installer, de se développer. Mais j’avoue avoir du mal à accrocher à la série, qui peine à trouver sa voie et à se démarquer vraiment des séries lancées par Abrams qui l’ont précédée. Des personnages pas encore assez attachants et une forte impression de déjà-vu pénalisent pour l’instant ALCATRAZ.

Côté Cast :  Outre les acteurs déjà évoqués donnant corps aux personnages principaux, on note également la présence de Robert Foster, habitué des rôles paternalistes, vu dans Fastlane ou la courte série  Karen Sisco, entre autres, souvent engagé pour jouer le rôle d’un père de l’un des personnages. Ici, il joue le rôle de l’oncle de Rebecca Madsen.

Générique :  L’un des points forts de la série, c’est son générique particulièrement envoutant. Sur des images de la prison, la voix grave d’Emerson Hauser (Sam Neill) nous rappelant le pitch de la série. Avant que des lettres ne coulissent, telles des portes de prison, pour constituer le nom de la série.

mardi, 05 juillet 2011

Mon Japan'expo, 2011 : récit d'un voyage épuisant mais exhaltant !

Comme l’année dernière, j’ai eu la chance de pouvoir aller à Japan’expo cette année, le dernier jour, le dimanche 3 juillet. Et comme l’année dernière, voici un petit résumé de cette journée, comment je l’ai vécue, cette Japan’expo…

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Et comme l’année dernière, je suis en partie en compagnie de mon amie Selene. Nous nous retrouvons devant la gare de Douai, pour prendre le TGV pour Paris ! Cette année, le voyage s’est déroulé sans incident, et nous sommes arrivés sans retard. A la Gare du Nord, nous devons retrouver Séverine, une amie qui nous attend. Nous arrivons vers 10h, et il est hélas trop tôt pour s’acheter à manger pour midi. Tant pis, nous fonçons vers la Japan’ ! Nous arrivons devant le quai afin d’attendre le RER qui conduit au Parc des expositions, et là… C’est l’épreuve la plus difficile. A la physiquement et mentalement. Déjà le quai est bondé de futurs visiteurs de la Japan’. Quand le RER arrive, il est lui aussi bondé ! Nous parvenons à monter vaille que vaille, mais alors pour être compressé comme des sardines à l’intérieur. Là, on peut se dire que ceux qui s’y rendent en voiture ne connaissent pas leur chance… Je ne sais pas combien de temps dure le transport, mais cela semble une éternité. En plus, ce qui est le plus emmerdant, ce sont ces personnes avec leurs valises. Elles prennent de la place, ces foutues valises. Car après le Parc des expositions, il y a l’aéroport Charles de Gaulles…Mais enfin nous arrivons, et c’est l’occasion de s’étirer et reprendre vie. Puis c’est parti pour la Japan’, où nous sommes très bien orientés pour une fois. Nous devons quitter temporairement Séverine, qui n’a pas acheté son ticket d’avance, et va rentrer d’un autre côté, tandis que nous pénétrons dans les lieux côté… Comic Con. Avec quand même pour nous accueillir un stand Déclic Collection, qui propose des prix imbattables, encore plus bas que ceux de l’année dernière ! Et l’on peut voir une cosplayeuse incarnant un sosie très ressemblant de Xena, se prêtant gentiment au jeu des photos. Selene appelle Séverine, entrée du côté Japan’. Une légère confusion s’installe, vue qu’elle est aussi au stand Déclic Collection, mais… celui de l’autre partie de l’évènement. Nous nous retrouvons tout de même, et donc nous explorons le côté Japan’…

Passage obligatoire pour moi, le stand Panini, où j’avais prévu l’achat de quelques albums librairie. Mais je suis relativement déçu du stand, constitué aux 3/4 de mangas, en particulier Vampire Knight, qui n’en a pas vraiment besoin. Les comics sont placé contre un mur, peu voyant, et proposent peu d’albums. Je ne trouve pas tous ceux que je souhaitais prendre, en plus. Mais contrairement à l’année dernière, les publications sont en libre accès, c’est à nous de prendre ce qui nous intéresse plutôt que de les demander. Tant mieux, cela permet de choisir soi-même et de feuilleter avant. A la caisse, deuxième mauvaise surprise : plus de cadeaux, de T-shirt, il n’en reste plus. Ils n’avaient même pas assez prévu pour 4 jours les goodies annoncés ! Je repars tout de même avec 3 ouvrage : l’album DC Deluxe de la Renaissance de Green Lantern, l’album FRINGE racontant la rencontre entre Walter Bishop et William Bell, excellent complément à la série TV, et le Monster Edition consacré à Shadowland. Puis passage sur divers stands qui nous intéressent, comme celui de Kaze, qui propose les mêmes prix magasins, et ses nouveautés comme Tsukihime, Eden of East ou Pandora Hearts. Et surtout le stand Dybex, où j’avais prévu là encore quelques achats.

Et après avoir fait le tour des stands qui nous intéressent, c’est là que le drame commence… LOL Hé oui, accompagner des girly geekettes, c’est pour un mec la catastrophe : parce qu’il faut les accompagner à la recherche d’un porte-feuille. Puis on s’arrête pour les sacs. Puis on s’arrête pour les bijous. Puis on s’arrête pour les chaussures. Avec en plus parfois Séverine qui ne prévient pas quand elle s’arrête. Mais arrive 12h30 et il faut penser à manger. Séverine et Selene souhaitent s’acheter un plat japonais, donc des plateaux de sushis. Pour ma part, un simple sandwich suffira largement ! Mais les sandwiches sont hors de prix (enfin sans surprises, je m’y attendais), mais en plus, pas bons du tout. Les filles ne s’en tirent pas mieux : leurs sushis sont… froid, encore limite congelés ! Une fois que nous avons fini de manger, les filles veulent aller regarder les kiminos. Comme ça commence à faire beaucoup, je pars de mon côté l’occasion d’aller traîner un peu côté Comic Con. J’ai trouvé plus calmes les Geeks traînant côté Japan’, et les Geeks traînant côté Comic Con plus… sauvages. Ca se bouscule bien plus, cette partie-là est bien moins agréable. Il y a bien plus de monde dans cette partie, avec des visiteurs pas forcément toujours passionnés de Cultures de l’Imaginaires d’ailleurs. Je passe devant la “salle” de projection (en fait des chaises et une toile coupées du reste par d’immenses rideaux), dont on ne cesse de rentrer et sortir. On y diffusait un épisode de la saison 5 de Doctor Who, en VOST, à fond les ballons. Juste derrière la toile, des chaises sont installées, où des personnes déjeunent, en plein bruit donc. Je m’aventure du côté “Jeux Vidéos”, où de gros stands très bruyants sont installés : de vielles consoles proposent de jouer à d’anciens jeux toujours aussi populaires, SEGA et Nintendo proposent une rétrospective de leurs jeux phares respectifs qui fêtent tous deux un anniversaire : les 20 ans de Sonic, et les 25 ans de Zelda ! C’est émouvant de revoir des jeux auxquels on a si souvent joué plus jeune… Pour Zelda, une sorte de salle-musée lui était dédiée, très très agréable…Mais je reçois un message de Celine, des Critikeurs, qui déjeune dans la cour intérieure, point de rencontre idéal. Quoi qu’il commence à faire très chaud, dehors. Nous nous retrouvons pour faire connaissance, chacun racontant à l’autre son Japan’ ! Elle me raconte certains évènements qui se sont déroulés la veille.

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Puis je retrouve les Girly Geekettes qui ont eu le temps de regarder ce qui les intéressait. Nous faisons un dernier tour pour voir encore quelques stands, dont une expo consacrée à l’une des auteures de Candy, Candy, le D.A. culte bloqué pour des questions de droit. Nous nous arrêtons au stand Déclic Collection, où les prix proposés sont trop attirants. Et puis nous nous posons pour nous reposer un peu. pour se rafraîchir, nous nous offrons une glace, et faisons un dernier tour. Puis, épuisés, nous repartons, et disons au revoir à la Japan’ ! Bien nous en prend, sur le quai du RER, le train est en retard, et nous patientons au soleil, en pleine chaleur, pendant 20 bonnes minutes. Le quai est bondé : quand le RER arrive, nous laissons malheureusement des gens sur le quai. Et l’épreuve de force est de retour : je suis obligé de me tenir le bras tendu toute la durée du transport. Heureusement, le RER est direct jusqu’à la gare. Mon bras me fait un mal de chien et je ne sentirai plus ma main à la descente. Là aussi, toute une épreuve : ceux qui transportent une valise qu’ils ne sont même pas capables de pousser ou tirer embêtent le monde, je vous le dis ! Et puis on remonte vers la Gare du Nord afin de pouvoir prendre notre train du retour…

Pour finir, je dirais que… : 1. Quand on accompagne quelqu’un, il faut se laisser une heure ou 2 chacun de son côté, afin de ne pas s’étouffer, et que chacun puisse aller voir ce qui lui plaît, de son côté. 2. Soit prévoir ses sandwiches, soit peut-être laisser tomber l’idée de manger. 3. Finalement, c’est tellement grand que 2 jours, ce n’est finalement pas de trop : un jour pour la partie Japan’, et un jour pour la partie Comic Con ! ^^ (à condition de dormir pas loin) 4. Le problème des achats est délicat : soit on achèt tout de suite de peur de ne plus trouver ensuite, mais on se charge inutilement pendant la journée, soit on achète en dernier avec le risque de ne pas tout avoir. 5. La Japan’, c’est du sport. C’est éprouvant psychologiquement et physiquement, mine de rien. Il faut un jour ou deux pour se remettre de la fatigue. Mais c’est une telle fête, une telle excitation qu’une fois remis, on est prêt à recommencer.  

KNIGHT, dont l’épaule droite est encore douloureuse.