jeudi, 04 novembre 2010
Les séries que je mate en ce moment : reviews et avis critiques rapides d’un Sériephile (extra)ordinaire…
Pour tout dire, je “pique” le principe de cette note à Pierre Serisier, du Monde des Séries. Outre les séries que je visionne afin de proposer des critiques et reviews pour le blog, j’en regarde d’autres également, et dont je ne parle pas (encore ou toujours) ici. Je vais peut-être en toucher quand même quelques mots ici, avec des reviews plus rapides, moins détaillées que d’habitude. Enjoy !
Conviction : j’en ai déjà parlé ici, je reviens rapidement dessus. Plus j’avance dans la série, plus, à tort ou à raison, j’ai tendance à résumer la série à “ Ils sont jeunes, ils sont sains, ils sont beaux, et donc ils baisent. “ La série accumule quand même beaucoup les scènes de drague, séduction, et histoires de coucheries. Les histoires judiciaires passent au second plan, de toute façon, elles sont stéréotypées et ne sont pas le cœur de la série. Par contre, au sujet d’ Alexandra Cabot, SPOILER, voir cette belle blonde froide et stricte “ façon Scully “ se faire fougueusement embrasser et se faire prendre sur son bureau est plaisir sans nom… FIN DU SPOILER La série se permet avec les personnages ce qu’on osait pas dans les autres séries du vieux Loup…
Grey’s Anatomy et Ugly Betty : amateur sans être fan, je regarde quand je tombe dessus, quand je zappe… Le talent américain, sans doute : je ne me sens pas forcément concerné par ces séries, dans leur “cible” peut-être, mais il y a des éléments qui me séduisent, comme l’humour ou les situations…
Babylon 5 : j’avais repris la série depuis le début et je poursuis mon intégrale. J’en suis à mi-parcours de la Saison 2, la saison introduisant le nouveau personnage du Capitaine John Sheridan. déjà. J’avais prévu une note générale sur la saison 1, elle est toujours en cours d’écriture. Sic. A revoir la série, je la trouve inégale. On sacrifie pour la saison 2 la dimension métaphorique et philosophique de la saison 1 la rentrée de front dans la guerre et la mythologie qui prend deux formes : le combat contre les Ombres, et la conspiration chère à X-Files qui contaminait les autres séries de l’époque. L’intérêt que l’on porte à l’épisode que l’on visionne dépendra de l’importance de l’épisode (en plus de son écriture) dans ces arcs. Bien sûr, exceptionnels G’Kar et Londo, ils dominent et brillent dans toutes les scènes où ils apparaissent, Andreas Katsulas et Peter Jurasik livrant une interprétation remarquable, pour des rôles finalement et mine de rien complexes.
Les Pingouins de Madagascar : soit les aventures de Commandeur, P’tit Gars, Kowalsky, Ricco, Marlène, et les autres. Pendant les vacances, c’est devenu mon rendez-vous culte. J’adore littéralement ce “dessin animé”, remarquablement drôle et écrit. Et pourtant je n’avais jamais vu les 2 films d’animation Madagascar. La présentation doit peut-être aider à l’écriture, chaque épisode regroupant 2-3 petites histoires. Tous les personnages sont touchants, en plus d’avoir leur personnalité bien trempée. C’est vraiment un gros coup de cœur pour moi. Une série dans la tradition des cartoons américains WB, comme on pouvait les suivre il y a quelques années : à l’époque on avait les Tiny Toons, et Minus & Cortex, là, on a les Pingouins.
Voilà pour les séries que je regarde en ce moment…
19:11 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : conviction, alexandra cabot, babylon 5, g'kar, londo mollari, peter jurasik, andreas katsulas, pingouins de madagascar
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