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samedi, 31 octobre 2009

DOCTOR WHO : The Runaway Bride ; review du TV-film Special Christmas

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The Runaway Bride (TV-film Special Christmas) (61 min)

Sc : Russel T. Davies. R : Euros Lyn.

DW R3 2.jpgTerre, Noël 2006. Alors que Donna Noble, jeune femme énergique, est sur le point d' épouser son boyfriend Lance lorsque soudain, elle se trouve téléportée à bord du TARDIS, à la grande surprise du Docteur ! Donna est bien entendu furieuse, et exige du Docteur qu' il la ramène chez elle. Le Docteur parvient à poser le TARDIS sur Terre, mais pas au bon endroit. L' occasion pour Donna de découvrir les propriétés du TARDIS, plus grand à l' intérieur qu' à l' extérieur ! Alors que le Docteur et Donna se démènent pour trouver de l'argent pour pouvoir téléphoner aux invités du mariage pour les prévenir du "retard" de Donna, le Docteur découvre les mêmes robots que ceux qui avaient aidé à l'invasion des Sycorax l'année dernière. L'un d' entre eux enlève Donna, montée à bord d' un taxi. Le Docteur n'a d' autre choix que de lancer le TARRDIS à sa poursuite ! Bien sûr, le Docteur parvient à sauver à temps Donna. Une fois le sauvetage réussi, le Docteur et Donna font plus ample connaissance. L'occasion pour Donna de raconter comment elle rencontra Lance, et comment elle le supplia de l'épouser. Puis tous deux se présentent à la fête post-mariage. Mais le Docteur plutôt que de s'amuser, est hanté par le souvenir de celle qu'il a toujours aimé, sa tendre et bien aimée Rose Tyler. Mais la fête est rapidement interrompue par les robots-tueurs qui réapparaissent. Le Docteur parvient toutefois à les arrêter. Mais ces robots pourraient bien dissimuler une menace beaucoup plus dangereuse et inquiétante. Sous le Thames Barrier, le Docteur, Donna et Lance découvrent une base secrète de Torchwood. Cette base pourrait bien détenir la clé de la téléportation de Donna à bord du TARDIS. C'est alors que la menace se révèle, l'Impératrice alien the Racnoss. Et le Docteur et Donna découvrent que Lance, lassé de Donna, était de mèche avec the Racnoss. Alors que le Docteur et Donna parviennent à s'enfuir à bord du TARDIS, the Raconss se retourne contre Lance. Pour compenser la déception et le chagrin de Donna, le Docteur lui fait découvrir les merveilles de l'univers. Mais le danger menace encore, et Donna et le Docteur doivent affronter une nouvelle fois the Racnoss.

DW R3 3.jpgMon avis : Un épisode spécial Noël plus rythmé que le précédent, qui commence comme une comédie romantique américaine, avec une tension créée autour d'un mariage. Le Docteur et son interprète David Tennant se donnent à 200 %. Puis l'univers du Docteur reprend ses droits, avec une scène de poursuite hallucinante entre.. le TARDIS, et un taxi ! Une séquence digne de n'importe quel blockbuster américain. Un épisode mené tambour battant, à 200 à l'heure, où l'on n'a pas le temps de s'ennuyer. A se demander si Tennant ne se démène pas pour couvrir l'absence de Rose, et l'introduction forcée, dans son univers, de Donnan noble, nouvelle compagne qui devra être adoptée par le public le temps de cet épisode. L'épisode offre de plus une continuité bienvenue avec le premier Special Christmas, puisque réapparaissent des ennemis dont on n'avait pas eu vraiment d'explications avec leur sujet. Les nombreuses poursuites, portés par la musique, donnent un côté cartoon à l' épisode, et l'araignée géante servant d'ennemi n'aurait pas dépareillé (comme d' autres créatures vues précédemment) dans l' autre série barrée de S-F, Farscape. Seul regret, elle se révèle un trop caricaturale, mais on dira que c'est la loi du genre...
Donna change de Rose, plus âgée, survoltée, au caractère trempé dans l' acier, bien que colérique parfois, pouvant apparemment s'emporter. Une efficace side-kick à laquelle on accroche sans souci, comme le Docteur...
Continuité : Le Doctor mentionne Gallifrey, son monde d' origine (ainsi que celui des Time Lords, bien sûr), pour la première fois par son nom.
Trivia : Lors du générique de début de cet épisode, le logo Doctor Who a changé, étant désormais identique au logo utilisé pour le merchandising, plutôt que celui, différent, utilisé pour les deux premières saisons.
Continuité : Cet épisode révèle que la branche Londonienne du Torchwood Institute possédait une base sous le Thames Barrier. Donna remarque à quel point c'est étonnant qu' une archtecture touristique de Londres puisse dissimuler une base secrète, bien que le Docteur apporte une réponse toute aussi surprenante.

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vendredi, 30 octobre 2009

DOCTOR WHO : bientôt la suite, mais pas grâce à France Télévision (coup de gueule)

Vous aurez pu le remarquer, j' ai désormais terminé, non sans émotion, les reviews de la Saison 2 de DOCTOR WHO.

Si j' avais déjà vu à deux reprises les Saisons 1 et 2 de cette magnifique série, je n'ai vu qu' une seule fois la Saison 3, que je vais visionner cette fois... en VO. Par des moyens pas très dévoilables, je dois bien l' avouer. Mais je possède tout de même une édition de la série, car oui, je me suis fait avoir par l' éditeur France Télévisions qui, comme certain(e)s le savent, proposent de pitoyables éditions pour le marché français de la série, surtout en regard des remarquables éditions d' un petit éditeur, KOBA Films, qui détient les droits de la série dérivée TORCHWOOD (que je n'ai encore jamais vue). A l' heure où la loi HADOPI revient à la charge, à l' heure où des esprits bien pensants nous affirment qu' il faut se contenter de ce qu' on a, je ne considère pas que France Télévisions a joué en tant qu' éditeur de coffrets DVD on rôle de service public, en n'acquérant pas la VO de cette Saison 3. 
Bien sûr, l'éditeur s'est fendu de l'excuse de faibles ventes concernant la Saison 2. Mais comment pouvait-il en être autrement pour une série qui s'adresse dès le départ à une niche de spectateurs ? Et ce, même chez les Sériephiles ! Car il faut et s'habituer à l' humour et au ton particuliers de la série, "so british", aimer la S-F décalée, "tenter" la série. 
De plus, ce n'est pas en produisant des coffrets DVDs lacunaires, ne contenant ni bonus, ni les TV-films Spécial Noël, dont les histoires font partie intégrante de la continuité (!), que l' on peut espérer satisfaire les potentiels acheteurs de la série, qui, pour ceux qui le peuvent, se tourneront vers les coffrets britanniques. Ou d'autres moyens. 

Tiens, au passage, comment font ceux qui veulent absolument voir Dexter ? TF1 a acquis les droits de diffusion, certes, mais ne DIFFUSE PAS la série. Résultat, même les magasins grugent, en commandant des coffrets venus de pays limitrophes, possédant la VF et des Sous-titres français, pour offrir au public français ce qu' il souhaite. Donc, soit acheter ces éditions étrangères (ou commander des coffrets ailleurs, ce qui revient au même), ou... télécharger. 
Nous ne sommes plus dans une optique de découverte, pour ceux qui détiennent de façon tout à fair légale le droit des oeuvres, mais de bloquage des oeuvres, empêchant de la donner à voir au public, ce pour quoi elle est destinée au départ, pour des considérations purement matérielles. 
Et l' on voudrait punir ceux qui souhaitent découvrir ces oeuvres, utiliser Internet comme un vivier culturel à part entière...

Donc, pour conclure, un grand merci à France Télévisions, remarquable éditeur DVD, oeuvrant pour le respect et la présentation des oeuvres dans des conditions optimales (LOL) qui m'a obligé à me procurer autrement les Saisons 3 et 4 de Doctor Who, malgré le soutien financier dont j' avais fait preuve à leur égard en achetant les 2 premières saisons éditées par leurs soins.

KNIGHT

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HELLSING, la Série animée : Le Long Halloween envahit SériesVerse, partie VII

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" Cette nuit est magnifique... elle me donne envie de mordre et de boire... "

Série TV animée japonaise en 13 épisodes, produite en 2001.
Studio d'animation : Madhouse.

Petite présentation d'un animé marquant, et replongée dans un univers qui me tient particulièrement à coeur, à l'occasion d'Halloween, celui de Hellsing. Cela tombe bien, les Vampires regagnent en intérêt avec la sortie de Twilight en DVD, me direz-vous.
Mais avec Hellsing, les vampires laissent la place à de belles scènes gores, et dérangeantes, et nous sommes loin avec cet univers des bluettes et romances pour adolescentes (bien que respectables, il en faut pour tous les goûts, n'est-ce pas !).

A Londres, la Fondation Hellsing officie depuis des siècles dans le plus grand secret afin d'éliminer les vampires de tout poil. Integra Von Hellsing, digne descendante d'une longue lignée de tueurs de vampires, dirige la Fondation d'une main de fer au nom de Dieu et de Sa Majesté. Pour l'assister, elle peut compter sur ses escadrons paramilitaires, spécialisés dans la lutte anti-goule, et surtout sur Alucard... un des nosferatus les plus anciens et les plus puissants, rangé du côté des mortels. Contraint par les circonstances à transformer une jeune recrue des forces spéciales en demi-vampire, Alucard la fera incorporer au sein de la Fondation ; sous la houlette d'Integra, ils lutteront, ensemble, contre leurs semblables, maléfiques frères de la nuit, contre les suppôts du Vatican, ainsi que contre leur propre envie de sang frais...
(Texte de présentation de la série par Dybex, présenté sur la Jaquette du Volume I des DVDs.)

Avec ce titre donc, nous somme face à un anime d'horreur, souffrant de quelques "carences" : animation souvent limitée, et casting peu étendu, pour un titre pourtant fort réussi, et qui dénote dans l' univers de la Jap'animation. Mais l'univers est envoutant, et les personnages uber-charismatiques, que ce soit Alucard, bien entendu, Victoria Cela, Miss Integra Hellsing ou Walter, le majordome, sorte d'Alfred (celui de Batman) dopé aux hormones de tueur. La série est depuis un moment disponible en DVDs, et viennent de sortir récement chez Dybex des OAVs, Hellsing Ultimate, qui reprennent l'histoire depuis le début pour offrir une adaptation encore plus gore, violente, et fidèle aux mangas.

See You, Nosferatus...

(Hell)KNIGHT


Générique de début de Hellsing


Générique de fin de Hellsing