samedi, 31 janvier 2009
Présentation d' ALIAS
Sydney Bristow, qui semble n' être qu' une jeune étudiante comme les autres, partage sa vie entre ses amis, Will Tippin et Francie Calfo, et ses différentes missions d' espionne aux quatre coins du monde. Elle fut en effet recrutée, au début de ses études, dans les rangs du SD-6, ce qu' elle pensait être une division secrète de la CIA (et ce pourquoi elle s'est fait passer). Lorsqu'elle se décide à révéler la vérité sur sa double vie à son fiancé Danny, celui-ci est assassiné par des agents du SD-6, et Sydney découvre enfin la vérité sur ses employeurs : le SD-6 est en réalité une agence terroriste ennemie des Etats-Unis. Sydney approche alors la CIA et devient agent double ; elle continue à partir en mission pour le SD-6, mais opère également des contre-missions fournies par son agents de liaison de la CIA, Michael Vaughn.
Le père de Sydney, Jack Bristow, est également un agent double, travaillant pour la CIA à ronger le SD-6 de l' intérieur. Sydney est une jeune femme en perte de repères : sa mère s'est tuée dans un accident de voiture alors qu' elle entrait à la fac. Son père fu un père distant durant des années (puisqu' il était fréquemment parti en mission), et ayant eu peu de contacts avec sa fille, les relations entre eux sont difficiles, mais la situation présente (tous deux sont espions, et tous deux agents doubles pour le compte de la CIA) tend toutefois à les rapprocher. Sydney et son père luttent donc contre le SD-6, mais également contre d' autres organisations criminelles telles que le FTL et le K-Directorate (les services secrets russes). Toutes ces agences sont en concurrence afin de récupérer les diverses inventions d' un scientifique et prophète du XVème siècle, le mystérieux Milo Rambaldi. Sloane, l'homme à la tête du SD-6, qui connaît son "ami" Jack Bristow depuis longtemps, et représente une autre figure paternelle pour Sydney, est particulièrement fasciné, et même obsédé par les travaux de Rambaldi. Pourtant, tout se complique encore lorsqu' un nouvel ennemi entre en scène, le mystérieux "Monsieur", dont l'organisation, composée d' agents dévoyés de diverses agences, parvient à mettre hors-jeu FTL et K-Directorate, et à déclarer la guerre au SD-6, qui engage ses agents à la poursuite de ce nouvel adversaire.
Lors de la seconde partie de la saison 2, après avoir éliminé le SD-6 et toutes les autres cellules SD, Sydney, Marshall, Dixon, Jack, et Vaughn travaillent désormais tous ensemble pour la CIA.
Le cast de la série :
J.J. Abrams, le créateur d' ALIAS, a eu l’ idée de la série lors d’un brainstorming de son autre série, Felicity : et si Felicity menait une double vie sans que Ben et Noel ne soient au courant ? L’idée a germé dans son esprit et a fini par donner lieu à ALIAS, l’un des rares succès d' ABC durant la saison 2001-2002. Musicien accompli, il a d'ailleurs écrit le thème musical de la série.
Pour incarner son héroïne, il fait appel à Jennifer Garner avec il a déjà travaillé sur Felicity. En effet, l’ actrice interprétait le rôle d’ Hannah, l’ ex petite amie de Noel joué par Scott Foley qui, depuis, est devenu son mari dans la vie. Elle est aussi apparue aux génériques de deux productions de Christopher Keyser et Amy Lippman (Party of Five), Significant Others et Sarah, la série dérivée de Party of Five. On a pu la voir au cinéma dans Harry dans tous ses états, de Woody Allen, Eh mec, elle est où ma caisse ? et dans Pearl Harbor, aux cotés de Ben Affleck, qu’ elle retrouvera en 2003 dans le film Daredevil, où elle tient le rôle d’ Elektra. Dès le début de la série, l' actrice a reçu le Golden Globe de la meilleure actrice. On a pu également la voir dans le rôle d' une prostituée de luxe dans Catch Me If You Can, de Steven Spielberg, et dans le film Elektra de Rob Bowman.
Face à elle, on retrouve le neveu de Sylvie Vartan et cousin de David Hallyday, Michael Vartan. L’ acteur français a tourné avec Keri Russell (l’ interprète de Felicity) dans Cursus fatal et dans College attitude, aux côtés de Drew Barrymore. A la télévision, il fût le fils de Tom Selleck dans Friends, et était l’ un des prétendants d’ Ally dans sa quatrième saison.
Bradley Cooper a fait ses débuts à la télévision dans Sex & the City. Un an après, Darren Star l’ engage sur le plateau de The $treet. Mais la série ne dépasse pas le cap de la première saison. Au cinéma, il apparaîtra lui aussi aux cotés de Ben Affleck, dans le film Changing Lanes.
Kevin Weiseman est un visage familier dans le monde des séries TV. Ainsi, on a pu le voir dans Felicity, Voila !, Buffy the Vampire-Slayer, Roswell, Urgences, Love & Money, ... Au cinéma, il tenait un petit role dans 60 Secondes chrono, et dans Pearl Harbor avec Ben Affleck (!) et... Jennifer Garner !
Francine Calfo a eu des rôles récurrents dans deux sitcoms : Un gars du Queens, où elle interprétait Jenny, une amie de Carrie, et dans Malcolm, où elle était la mère de Stevie. Au cinéma, on a pu la voir dans En direct sur Ed TV de Ron Howard avec, entre autres, Jenna Elfman.
Carl Lumbly a commencé sa carrière au débuts des années 80 dans la série Cagney et Lacey et en plus de rôle régulier dans M.A.N.T.I.S. et EZ Street, on a pu le voir dans La Loi de Los Angeles, Urgences, Taxi, X-Files, Lazarus Man et The West Wing.
Pour incarner le père et le chef de Sydney, J.J. Abrams a engagé deux acteurs de grand talents : Le Canadien Victor Garber campe Jack Bristow. Même s’ il apparaît surtout au théâtre, il a été à la télévision, guest-star dans La Cinquième Dimension, la sympathique série canadienne E.N.G., Les Ailes du Destin (avec Sam Waterston), New York District (avec le même Sam Waterston) et Frasier. Sur le grand écran, il était le meilleur ami de Tom Hanks dans Nuits blanches à Seattle. On l’ a aussi vu dans Exotica, Le Club des ex, La Revanche d’ une blonde, mais surtout dans Titanic de James Cameron.
Quant à Sloane, il est incarné par Ron Rifkin (Le Dr Vucelich dans la deuxième saison d’ Urgences), également apparu dans Columbo, 200 Dollars plus les frais, Falcon Crest, Côte Ouest, Hill Street Blues, New York District et Leaving L.A. (avec Chris Meloni). Au cinéma, ainsi on a pu le voir dans JFK (avec Kevin Costner), Wolf (Avec Jack Nicholson & Michelle Pfeiffer), L.A. Confidential (avec Kim Bassinger), Le Négociateur (avec Samuel L. Jackson) et dans The Majestic (avec Jim Carrey).
23:41 Publié dans ALIAS (ABC, prod. Bad Robot 2001-2006) | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : alias, sydney bristow, j.j. abrams, jennifer garner, ron rifkin, kevin weisman
Présentation d' Angel
L' histoire :
Les vampires sont de véritables monstres sans âme commettant les pires atrocités et les pires tortures aux humains. Angel, un ténébreux vampire âgé de plus de 200 ans vint à Sunnydale et tomba passionnément amoureux d’ une Tueuse de vampires. Maudit par un clan de Bohémiens lui ayant rendu son âme, leur amour était dès le début condamné. Au premier instant de véritable bonheur, Angel perdrait à nouveau son âme et redeviendrait une bête sanguinaire assoifée de sang, Angelus. Comprenant, au cours de la troisième saison de Buffy the vampire slayer, Angel comprit qu’ il aimait à en mourir Buffy, au point de lui rendre insupportable la pensée de ne pouvoir concrétiser son amour. C’est pourquoi il prit la décision de quitter Sunnydale pour Los Angeles, la « Cité des Anges ». Il rencontre là-bas un démon à visage humain, Doyle, dépêché par les Puissances Supérieures pour guider et aider Angel à accomplir le Bien et à aider les âmes perdues qui peuplent la grande ville. Retrouvant une vieille connaissance de Sunnydale, Cordelia Chase, ayant elle aussi quitté la « petite » ville de Sunnydale dans le but de devenir actrice, tous trois fondent Angel Investigations, petite agence de détectives aidant les gens confrontés à des événements surnaturels et/des démons. Car Los Angeles est également une ville où l’ on peut trouver monstres et démons, ou simplement des individus particulièrement maléfiques ; et notamment, par exemple, les avocats. Un cabinet d‘ avocats en particulier, Wolfram et Hart, s’immisce peu à peu dans la vie du ténébreux vampire, d’autant plus que certains de leurs clients ne sont pas tout à fait humains et qu’ Angel semble être au cœur d’ une ancienne prophétie…
Description :
Au cours de la seconde saison de Buffy the Vampire-Slayer, Joss Whedon, impressionné par la prestation de David Boreanaz dans un épisode, se dit que ce dernier pourrait bien porter sur ses épaules un spin-off consacré à son personnage d’ Angel. De plus, au cours de la troisième saison, la relation entre Buffy et Angel, à cause de la malédiction du vampire, est condamnée à tourner plus ou moins en rond. Les scénaristes, conscients de cela, et encouragés par la chaîne WB qui ne demande pas mieux de voir naître une seconde série qui pourrait recevoir le même succès que Buffy the vampire slayer, créent la série Angel, qui permettra de développer et d’ étoffer encore davantage le Buffyverse.
Au personnage d’ Angel est adjoint celui de Cordelia Chase, qui commençait à tourner un peu en rond également dans la série de la Tueuse, ainsi qu‘ un tout nouveau personnage, Doyle, pour compléter ce casting. Ce dernier, construit sur le modèle d’ un personnage précédent (Whistler, lors du dyptique clôturant la saison 2 de Buffy), est un démon à visage humain ayant le don de visions d’événements futurs et sert de lien entre Angel et les Puissances supérieures, des entités incarnant les forces du Bien. Mais assez rapidement, le casting évolue. Doyle se sacrifie et meurt, non sans avoir transmis son don de vision à Cordelia. Devenu depuis avoir quitté le Conseil des Observateurs, Wesley Windham Pryce est devenu chasseur de démons et retrouve Angel et Cordelia à Los Angeles. Un quatrième membre rejoindra ensuite l’ équipe d’ Angel, un jeune homme noir ayant formé son propre gang chasseur de vampires, Gunn. Angel est un personnage qui apparaît dès la première saison de Buffy the Vampire-Slayer. Bien que ce personnage soit la plupart du temps énigmatique et silencieux, son interprête David Boreanaz ne manque pas de se faire remarquer par des demoiselles devenant bientôt légions. Au cours des trois premières saisons de la série, son personnage sera sans cesse développé. Il s'affirme, s'enrichit d'un passé des plus torturés, devenant de plus en plus passionnant. C'est pourquoi est rapidement prise la décision de lancer une série dérivée, avec ce personnage en guise de héros. Le vampire à l' âme solitaire quitte donc après trois années de tentative de rédemption le petit monde démoniaque de Sunnydale, pour s'en aller à Los Angeles, où les rues sombres et mal famées recellent elles aussi bien des mystères à résoudre.
Angel est dans un premier temps une série qui aligne au départ des épisodes indépendants les uns des autres et qui, pour tout dire, se cherche un peu elle-même. Hésitant entre un ton résolument plus sombre, capable d' être parfois comique, la seule chose sûre est que le show se veut plus adulte que Buffy. Mais les fans n'accrochent pas totalement. Aussi Joss Whedon fait-il évoluer le concept dès le 10ème épisode de la série, en se débarrassant d' un personnage peu connu du public, Doyle, pour le remplacer par Wesley Windham-Price, issu de la série mère puisqu' il y est apparu au cours de la saison 3. Et peu à peu, la série va se créer une "mythologie" propre, qui complètera celle de Buffy avec des personnages récurrents, des trames courant sur plusieurs épisodes, indépendamment de l' histoire de la semaine. Et une fois que la série a trouvé ses marques, on s'aperçoit qu' elle est au final devenue très différente de son modèle féminin. Certains épisodes se révèlent en effet davantage horrifiques, chose étant suffisament rare pour être signalée sur une chaîne non câblée.
La seconde saison, adjoignant au casting un nouveau personnages régulier, nous montre une équipe de production plus posée, plus sûre d' elle, avec des épisodes sachant à l' avance où aller, posant ça et là de petites touches d' humour souvent bien venues, et des acteurs qui sont désormais totalement à l' aise dans la peau de leurs personnages. Précisons que si les noms des personnages sont les mêmes, il n'en est pas exactement de même avec les personnages, qui ont évolué de même que n'importe qui dans la vie, et qui ne ressemblent plus à ceux que l' on connaissait dans Buffy the Vampire-Slayer.
Pour conclure :
En France, la série Angel fut malheureusement achetée par TF1, ce qui fait que les deux séries, diffusées sur la même chaîne (tout du moins au début) aux Etats-Unis, furent diffusés sur deux chaînes concurrentes. Le public français ne put alors profiter des quelques crossovers parsemant la saison 1 de ce spin-off.
De plus, au grand dam des téléspectateurs, Angel restera un long moment dans les cartons de TF1, la chaîne tardant à trouver une case-horaire afin de diffuser la série tout d'abord vue à la sauvette par une poignée d' abonnés à TPS qui doivent subir des rafales de trois épisodes chaque semaine. Mais devant la pression insistante des fans, la série débute sa programmation, dans une case horaire à priori acceptable, du samedi soir en seconde partie de soirée. Ce qui correspond à l' ambiance parfois sombre de la série.
Mais hélas, succès aidant, la série sera décalée pour la diffusion de sa seconde saison, le samedi en milieu d'après midi, pour une audience qui, si elle est des plus favorables, doit se contenter d' épisodes dont les scènes jugées difficiles ont soigneusement été censurées...
Bien qu' elle soit devenue une série à part entière, ayant su se détacher de l' influence de Buffy avec ses nombreux fans et ses sites Internet dédiés, et bien que ses indéniables qualités l' appellent à régner dans les mémoires des accros des séries télés, Angel voit cette cinquième saison clôturer de manière définitive la saga du séduisant vampire. Joss Whedon (créateur de Buffy et Angel), ayant voulu marquer un grand coup et faire un dernier baroud d’ honneur, truffe les 22 derniers épisodes de sa série de rebondissements pour le moins surprenants !
23:21 Publié dans Angel | Lien permanent | Commentaires (3)
mardi, 27 janvier 2009
Les "enfants" d'ALIAS : les séries plus ou moins inspirées de la série d'espionnage de J.J. Abrams...
Nouvelle rubrique, pour montrer du doigt les différents points de convergergence de diverses séries ou héros.
Pour débuter cette nouvelle rubrique, parcours croisé sur différentes séries d'action-aventures, à la mode ALIAS, mais pas forcément aussi brillantes ! Car depuis l'arrêt de cette mythique série, d'autres ont tenté de surfer sur la même vague. Déclinons-les, suivant les familles de cartes à jouer…
Côté Cœur : Chuck
De quoi ça parle ? (le pitch de la série) : Chuck Bartowski. Informaticien de génie, Geek, conseiller technique chez Buy More, un magasin vendant de l' électro-ménager et de la micro-informatique. Chuck, devenu espion par la force des choses, ayant reçu l'Intersect, une banque d' informations faisant de son cerveau le plus précieux des disques durs, puisqu'il contient des renseignements essentiels, lui procurant des flashs, à chaque fois qu'il rencontre de dangereux individus fichés par les agences gouvernementales. Chuck, chaperonné par le redoutable et grave John Casey, mais aussi et surtout la belle Sarah, tous deux chargés de sa protection.
Les raisons d'y jeter un oeil... ou pas ! (mon avis) : La plus sympathique. Parce que la plus amusante, et pour cause, on a affaire ici à une véritable comédie d'espionnage, chapeautée par Josh Schwartz, à l'origine de The O.C.. Les personnages y sont tous plus attachants les uns que les autres, et remarquablement interprétés. On se plaît à rire du massif Big Mike, patron de Buy More qui ne fait que déléguer et refuse toute responsabilité, à trembler pour Chuck, à espérer, enfin, qu'il tombe dans les bras de la belle Sara, tout comme on rêvait de voir Sydney et Michael enfin tomber dans les bras l' un de l' autre.
Hélas, au désavantage de la série, elle manque cruellement d'une certaine profondeur, se contentant de l'aspect comédie, restant en surface, ne tombant quasiment jamais dans le dramatique. A la différence de réussites certaines dans le domaine comme Scrubs et Buffy, the Vampire-Slayer. Dommage, la série est bonne, elle aurait pu être sublime. D'autant plus que, en général, les séries du genre souffrent d' un sérieux premier degré à pleureur, ne sachant faire preuve de second degré.
Et là, c'est exactement l'inverse…
Autre point désagrable, la série semble s'orienter vers des triangles amoureux à répétition, à tel point qu'on se croirait parfois face à une série pour ados. John Schwartz, toujours, qui en reste à ses marottes…
Côté (sur le) Carreau : Knight Rider
De quoi ça parle ? (le pitch de la série) : Remake (encore un autre) d'une série-culte des années 80, Knight Rider met en scène le jeune et beau Mike Traceur, brillant agent ayant la chance de faire équipe avec Kitt, voiture dôtée d'un ordinateur de bord intégré, qui parle, et capable de se transformer à volonté selon ses besoins. Celui-ci accomplit de multiples missions, en compagnie de sa super-voiture…
Les raisons d'y jeter un oeil... ou pas ! (mon avis) : Très vite, dès les dix premières minutes du premier épisode, on comprend à quel type de séries on aura affaire : une série digne des années 80, dont elle en a l'épaisseur. Au programme, bimbos au décolleté opulent, méchants caricaturaux que l' on reconnaît à la tête, héros quasiment sans défauts se tirant de toutes les situations. Un guilty pleasure idéal pour TF1 et préparer le téléspectateur à se gorger de pub.
Côté Pique : Bionic Woman
De quoi ça parle ? (le pitch de la série) : Jamie Sommers est victime d'un très grave accident de voiture. Une agence gouvernementale secrète décide de la "réparer", et introduit en elle des nano-robots, qui la dotent de membres bioniques. Dôtée d'une force surhumaine grâce aux miracles de la technologique, elle devient un super-agent, mais sera confrontée assez vite à celle qui l'a précédée, la première femme bionique, devenue rebelle et agissant pour son propre compte…
Les raisons d'y jeter un oeil... ou pas ! (mon avis) : La série qui promettait le plus sur le papier : remake d' une série des années 70 pilotée par les producteurs exécutifs de Battlestar GALACTICA, soit une véritable réussite, avec dans le rôle-titre la très belle Michelle Ryan, une guest-star de choix en la personne de Katee Souchkoff , parfaite Starbuck de la série précédemment citée, et des seconds rôles incarnés par des acteurs qu' on apprécie retrouver. Hélas, la série se veut effroyablement remplie de stéréotypes, et personnages sans réelle consistance. La série aligne les loners sans dérouler de véritable mythologie prenante.
Côté Trèfle : Dollhouse
Celle-ci est encore à venir. A découvrir. Cette fois, c'est au tour de Joss Whedon de s'essayer à la poupée transformable selon ses désirs, ses fantasmes. Dans le rôle-titre, la belle Eliza Dushku, ex-Faith dans le Buffyverse (c'est-à-dire l'univers fictionnel partagéé entre les séries Buffy, the Vampire-Slayer et Angel), ex-Tru Davis de Tru Calling. La Fox ayant pleine confiance en l'actrice, a souhaité mettre en scène Eliza dans une série dont elle aurait une fois encore la vedette. Et celle-ci a su convaincre Joss de lui écrire sa série. De revenir à la TV. Hélas, la Fox semble avoir peu confiance dans "notre maître à tous", et après avoir exigé un nouveau pilote moins abscons que celui réalisé à l' origine, a envoyé la série dans l' enfer du vendredi soir, soirée morte aux Etats-Unis. Reste à espérer un nouveau miracle à la X-Files ou Buffy…
Quoi qu'il en soit, la série semble être le meilleur concurrent pour succéder à la brillante et enthousiasmante ALIAS, en espérant qu' elle ait toutefois le temps, la possibilité de s'installer.
21:30 Publié dans Parcours croisés | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : chuck, dollhouse, bionic woman, knight rider, alias, srubs, buffy the vampire-slaye