Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 17 décembre 2013

The AMERICANS : Le couple d’espions qui venait du froid (Les Nouvelles Séries de la Saison 2013 – 2014 - Les espions sont toujours parmi nous)

Pendant ces vacances, j’ai décidé de redonner sa chance à The Americans, vu que je suis également grand fan des séries d’espionnage. Je n’avais pas accroché au Pilote, vu il y a quelque temps. Cette série a en général les éloges des sériephiles l’ayant vue jusqu’au bout. D’où mon avis personnel sur la série.

The AM 01.jpg

De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :  Phillip et Elizabeth Jennings, deux espions du KGB dont le mariage a été arrangé, s'installent avec leurs deux enfants dans la banlieue de Washington au début des années 80, juste après l'élection de Ronald Reagan à la Présidence. Se sentant une certaine affinité pour le mode de vie américain, le couple voit ses convictions mises à rude épreuve. Assumer une double identité va devenir de plus en plus difficile pour eux, d'autant qu'en cette période de Guerre Froide, le moindre faux-pas peut leur coûter la vie... (source : Allociné.com)

Les raisons d’y jeter un œil… ou pas ! (mon avis critique sur les premiers épisodes) :  The Americans, créée par Joe Weisberg pour la chaîne FX. Rien que l’annonce de cette chaîne nous fait attendre une série « haut de gamme », moins grand public que si elle était diffusée sur une chaîne de grand network américain. The Americans fait partie de ces série sur des familles à mystère ou secret, comme pouvaient l’être Breaking Bad, l’histoire d’un professeur de physique devenu par appât du gain dealer en métamphétamine, ou Big Love, l’histoire d’un père de famille polygame. Alors que dire de cette énième série d’espionnage, et vaut-elle la peine d’être vue ? Hé bien oui. Et non. Je vais en reparler à nouveau, mais c’est dire à quel point elle a au moins marqué l’histoire de la télévision, que désormais les fictions d’espionnage semblent s’inscrire à la fois dans sa lignée et contre elle. (Ceux qui n’ont pas compris que je faisais référence à ALIASune nouvelle fois me connaissent mal). Si The Americans peut séduire, c’est en raison de son côté « réaliste ». Pas de gadgets et d’actions à foison, on s’intéresse davantage à la psychologie des personnages. Pas d’action (il y en a aussi, mais à dose très mesurée) ou de péripéties extravagantes, et on apporte une dimension très adulte et mature à l’espionnage, en le faisant reposer davantage sur des enjeux politiques et idéologiques. Côté traitement de l’espionnage, la série peut rappeler d’ailleurs quelque peu l’excellente RUBICON. Les Jennings se retrouvent en effet par exemple dès le début de la série confrontés à un choix cornélien : vivre sans la pression de leur vie d’espion, d’être découverts, en se rendant et en passant à l’ouest, avec une forte somme d’argent à la clé, ou rester fidèles à leur mère-patrie. Côté interprétation, le casting est de haute volée : Matthew Rhys (vu dans Brothers & Sisters) joue à merveille les espions à multiples visages, une sorte de Sydney Bristow au masculin, tandis que dans le rôle féminin principal, on retrouve Keri Russell, ex-Felicity, qui livre une interprétation parfaite qui vaut bien celle de Claire Danes dans HOMELAND. D’ailleurs, sous couvert d’une série d’espionnage, The Americans est peut-être d’avantage une série féministe, avec une héroïne forte dans un tout autre genre, beaucoup plus réaliste et actuel, que Sydney Bristow par exemple, davantage créature fantasmatique que véritable jeune femme. Car dans le couple Jennings, la série laisse à entendre que c’est elle qui prend les principales décisions. Elle incarne une jeune femme émancipée, qui n’est pas là pour obéir simplement à son époux. Dans la série, et le couple Jennings, c’est surtout elle que l’on suit, dont on attend les réactions. Son époux, Philip, est beaucoup plus en retrait. Concernant le contexte de cette série, la reconstitution historique des années 80 est à la hauteur, même si la série manque profondément de chaleur et d’accompagnement musical.

the americans, elizabeth jennings, keri russell, mathew rhys, michael gaston, susans misner, espionnage, série dramatique, alias, sydney bristow, histoire des séries américaines

Il y a du très bon, donc, dans The Americans, et pourtant, je n’ai pas accroché à la série. Et ce, pour de multiples raisons :  j’ai toujours énormément de mal à regarder les séries dramatiques virant vers le plus grand réalisme, car la banalité, le quotidien (comme dans TREME par exemple), n’ont rien de profondément séduisant. Et c’est ce qui nous est proposé ici en partie. De plus, la série joue sur des effets un peu faciles et pas très originaux pour faire naître le suspense et se donner des enjeux dramatiques : comme par hasard, le voisin des Jennings, qui habitent dans une petite banlieue américaine tranquille, est un agent de la CIA chargé plus particulièrement de la lutte contre les espions russes. Découvrira-t-il la vérité concernant les Jennings ? Comme par hasard, le capitaine passé à l’ouest, que le couple se doit de retrouver et de livrer, était celui chargé de l’entraînement des cadets, l’homme auquel a malheureusement été confrontée Elizabeth. Comment ne pas imaginer un seul instant qu’elle se venge ? Les enfants finiront-ils par apprendre la vérité, et comment réagiront-ils ? Et le couple Jennings est-il un couple durable, vu que leur mariage a été arrangé ? Une véritable histoire d’amour peut-elle travers les affres des missions et des obligations qui y sont liées ? Bref, malgré son écriture résolument sérieuse, The Americans n’hésite pas à proposer quelques facilités scénaristiques. D’autre part, concernant le traitement accordé à l’histoire, j’ai eu l’impression de revoir des numéros d’IRON MAN, le comic, datant des années… 60, avec une vision très caricaturale des Russes et de l’opposition des 2 blocs. Surtout que la série ne peut que prôner le séduisant aspect du modèle de vie américain, puisque des espions russes infiltrés dans la société américaine prennent goût à ce mode de vie. C’est d’ailleurs l’un des problèmes de la série que ne montrer de la Russie que les militaires, ou les bureaux des dirigeants, pas ce que les Russes abandonnent. La réalité russe est-elle si triste et si austère que seule l’obéissance aveugle au Parti et à la Patrie puisse justifier la mission des agents secrets.

the americans, elizabeth jennings, keri russell, mathew rhys, michael gaston, susans misner, espionnage, série dramatique, alias, sydney bristow, histoire des séries américaines

En bref :  Voilà typiquement le type de série extrêmement bien réalisée, produite et interprêtée à laquelle, malgré ses évidentes qualités, je n’ai pas accroché. Une série qui malheureusement s’abaisse à des facilités scénaristiques, parce qu’en contrepartie de la banalité ordinaire (qui ne m’intéresse pas quand elle est mise en scène), il faut bien inclure des enjeux dramatiques, malheureusement déjà-vus. A vous de voir, donc, si vous accrocherez à cette série, qui présente, après celui de Carrie Mathison (Claire Danes dans HOMELAND), un nouveau personnage féminin séduisant et attirant.

 

Côté Cast :  On retrouve une nouvelle fois Michael Gaston, toujours sympathique, dans un rôle bureaucratique en costume, après ses participations aux séries UNFORGETTABLEet The Mentalist. Dans un rôle régulier, on se plaira également à revoir la belle Susan Misner, croisée dans bon nombre de séries, dont Rescue Me, Gossip Girl et Person of Interest.

dimanche, 02 juin 2013

CHUCK Vs le Bilan !! Troisièmes pensées sur la série.

Voilà, à l’occasion du Challenge Séries 2013, j’ai enfin terminé de visionner les 5 saisons de CHUCK. Pour tout dire, même si je considère celle-ci comme une excellente série, l’une des meilleures productions dans le genre “comédie d’espionnage”, elle ne me manquera pas particulièrement. Je ne m’y suis pas attaché particulièrement, et elle n’a pas été un coup de coeur comme Buffy, X-Files ou ALIAS pour moi, séries dont je reste absolument fan. Donc, que retiendrai-je de la série ? Petit passage en revue de ce que je retiendrai de la série, des points autant positifs que négatifs, qui justifient peut-être, pour chacun, au moins de la découvrir.

CHUCK 07.jpg

- Un couple des plus attachants du monde des séries !! :  Chuck et Sarah constituent un des couples du monde des séries TV auquel on ne peut que s’attacher. Oui, ils finissent bien entendu ensemble, et oui, je spoile, mais après tout, les spectateurs commençant la série qui ne s’y attendraient pas sont des ânes. Car de tels personnages, aussi éloignés l’un de l’autre au départ, ne pouvaient que faire fantasmer les shippers, et à un moment, il faut bien, tout de même, donner au public ce qu’il attend. Et puis sous couvert d’être une fort sympathique comédie d’espionnage, CHUCK est en réalité une comédie romantique et dramatique sur un couple en devenir. Comme CASTLE, finalement, que l’on suit non pas pour les enquêtes policières de chaque épisode, mais pour la relation entre Castle et Beckett.

- Good Buy Morons, I’ll miss you !! :  Les personnages secondaires que constituent le personnel du Buy More, c’est-à-dire le débonnaire et sympathique Big Mike, mais surtout Jeff et Lester, le duo magique ‘Jeffster’. Obsédés sexuels, quelque peu tire-au-flanc, crétins, de grands gosses attardés, ils auront leurs moments de gloire à travers la série. Et on ne peut que s’attacher aussi à ces sympathiques crétins, plus bêtes que méchants.

 - Tu l’as vu ??… - Quoi ?? - Mon placement de produit !! :  L’un des aspects un peu horripilants de la série, qui ne semblait même pas s’en cacher. Le plus notable aura été la pub gratuite pour la chaîne de distribution rapide Subway : Jeff et Lester étant particulièrement friands de leurs sandwiches. L’un des cas où la série n’aura pas cherché à créer de toutes pièces une nouvelle marque de sandwiches, comme ils auraient pu le faire.

CHUCK 08.jpg

- Hé, on ne s’est pas déjà vu ?? (les nombreuses guest-stars de la série) :  CHUCK aura permis de retrouver sur nos écrans de nombreuses guest-stars, certaines plutôt connues comme Mark Sheppard, Summer Glau (!), Ben Browder (!!) ou encore Carrie-Anne Moss (!!!) ! Des guests qui font bien plaisir à voir, qui montrent le côté fan des productions de genre. Mais tout comme LEVERAGE, la série aura pu aussi remettre le pied à l’étrier de noms très connus un peu disparus des écrans depuis, comme Linda Hamilton, Richard Chamberlain ou encore Timothy Dalton. Et de constater malheureusement le passage du temps, aussi.

- La Chuck team dans l’ensemble :  Adam Baldwin aura su incarner à merveille un rôle correspondant à un archétype dans lequel il aura été plus ou moins coincé, celui de la grosse brute au coeur tendre, celui de John Casey. Un rôle proche de celui de Ka D’argo dans Farscape, d’ailleurs. Les deux séries ont pas mal de points communs : un cast hétéroclite, une série s’orientant sur la relation du couple principal… Et puis le meilleur copain, Morgan Grimes, qui aura lui aussi gagné ses lettres de noblesses.

- Des méchants stéréotypés :   L’un des points faibles aura été de ne pas proposer de méchants véritablement durables ou charismatiques, à part peut-être Alexei Volkoff. Les vilains de la série auront finalement été interchangeables. Le problème d’une série veillant à faire évoluer le statu quo régulièrement, mais aussi à une série quasiment chaque année sous le couperet de l’annulation. Et puis c’est malheureusement un peu la loi du genre : dans une comédie d’espionnage, les méchants le sont forcément, caricaturaux.

- Intersect ou pas intersect ? :  L’un des aspects également qui m’aura agacé, ce sont les histoires de cet intersect que l’on installe et que l’on enlève d’un claquement de doigt. Le nombre de fois où Chuck aura eu l’Intersect, upgradé ou pas, ou bien en aura été privé.

- Des cascades et des combats chorégraphiés hallucinants !! : L’un des points forts de la série, mine de rien, qui aura su proposer son lot d’action, de bagarres, de cascades dignes d’un long-métrage parfois. Là encore, sur ce point, CHUCK aura su faire aussi bien qu’ALIAS. Proposer un spectacle très divertissant qui en donne pour son argent. Des productions d’action, on en fait plus autant qu’avant, cela manque, sur les écrans.

- Sarah ou Sydney, qui est la plus forte ?? :  Avec Sydney Bristow, la célèbre héroïne d’ALIAS, on avait une sacrée héroïne capable d’éliminer n’importe quel adversaire, une reine du Kung-fu et du gunfight. Mais Sarah Walker aurait de quoi lui tenir la dragée haute, et on peut se demander laquelle des 2, de Sydney ou de Sarah, gagnerait. La série aura su nous proposer son lot de Catfights (combats de filles sexys), rien que pour le plaisir des yeux !

CHUCK 09.jpg

- Un ton doux amer, avec le recul :  C’est le ton donné aux dernières scènes de la série, enfin comment je les ressens, finalement. Si Sarah et Chuck sont finalement bien ensemble à la fin, ils ne sont plus tout à fait, ni l’un ni l’autre, les mêmes. Là encore, ceux qui ne s’y attendaient pas sont des ânes :  CHUCK est aussi une série sur l’évolution. Sur un adolescent attardé qui accepte de quitter certains aspects gardés de l’enfance pour grandir et devenir un peu plus adulte. Cela passe par certains sacrifices, et un désenchantement, des scènes à l’ambiance douce amère. Tout comme les références musicales ou culturelles, toujours datées, nostalgiques, qui marquent le passage du temps, puisqu’elles évoquent un passé disparu, mais toujours vivace.

Bref, malgré quelques points négatifs, mine de rien et sans se prendre trop au sérieux, CHUCK est de ces très bonnes séries que la télévision nous offre. Une série à redécouvrir et à apprécier sans modération.

mardi, 17 mai 2011

COVERT AFFAIRS : Premières impressions... (Les descendants d'ALIAS, partie 2)

Il y a peu, je me suis décidé à découvrir Covert Affairs, une série créée par Chris Ord & Matt Corman, énième nouvelle série d’espionnage au pitch proche d’ALIAS, diffusée récemment sur TF1.

Covert affairs, piper perabo, christopher gorham, peter gallagher, annie walker, espionnage, histoire des séries américaines, alias, sydney bristow, nikitaDe quoi ça parle ? (Synopsis) : Jeune et jolie recrue de la CIA, Annie Walker fait ses premiers pas dans le monde l'espionnage. Dès son arrivée à Langley, elle se trouve un allié en la personne d'Auggie, un agent contraint de superviser les opérations de son bureau depuis qu'il a perdu la vue lors d'une mission en Irak. Entre autres difficultés, Annie va devoir éviter les erreurs de débutantes, cacher sa double vie à sa famille et surtout... affronter Ben Mercer, son ex, l'homme qui lui a brisé le coeur, qui n'est pas sans lui avoir caché quelques secrets. (source : Allociné.com)

Les raisons d’y jeter un oeil… ou pas ! (mon avis) : Aux Etats-Unis, on peut dire qu’il y a 3 grands types de séries : les séries des grands networks, en général de puissants blockbusters, les séries du Câble, moins grand public, plus matures, pour des téléspectateurs exigeants, et depuis peu, les séries USA Network. Soignées, avec de talentueux acteurs (comme les 2 autres catégories), à l’idée de départ qui ne casse pas trois pattes à un canard, avec un héros attachant en général, aidé par un sympathique cast l’entourant. Et un charme qui fleure bon les productions des années 80, où l’état d’esprit était le même, ce qui ne gâte rien. Covert Affairs, donc, pourrait rappeler de loin l’excellente série ALIAS : une jeune femme menant des missions d’espionnage pour le compte de la CIA. Mais elle s’en éloigne drastiquement, ce qui permet de s’attacher également à elle. Tout d’abord, il y a l’interprétation impeccable de la très belle Piper Perabo, parfaite pour le rôle, à la fois sexy et quelque peu maladroite. Car, première différence notable avec la série créée par J.J. Abrams, Annie Walker est loin d’être une agente experte, une über-espionne à la limite de la crédibilité comme pouvait l’être Sydney Bristow, ce qui la rend d’autant plus attachante. Ensuite, les séries américaines se doivent de maintenir un certain équilibre entre intrigues et personnages, équilibre pas toujours bien atteint.

Covert affairs, piper perabo, christopher gorham, peter gallagher, annie walker, espionnage, histoire des séries américaines, alias, sydney bristow, nikita

Dans les séries USA Network, les intrigues et la mythologie sont secondaires, passent au second plan. Afin de ne se consacrer qu’aux personnages, se focaliser sur eux. Seconde différence avec ALIAS, donc, pas de mythologie dévorante, d’intrigue générale sur le long terme. A peine quelques jalons posés dans le Pilote, histoire de s’assurer une marge de manoeuvre le cas échéant. Ainsi, Annie a vécu une belle histoire d’amour avant de se coir cruellement abandonnée, sans réelle raison, par un homme qui n’était pas exactement ce qu’elle croyait. L’attention est donc portée aux personnages, donc : aux côtés d’Annie, pour lui faire découvrir les secrets de la CIA, August ‘Auggie’ Anderson, interprété par Christopher Gorham, habitué aux seconds rôles dans les séries depuis l’échec de Jake 2.0 où il était l’acteur principal. Pour la superviser, Joan Campbell, une femme quelque peu autoritaire interprétée par Kari Matchett, mariée à l’un des directeurs de la CIA, interprété par Peter Gallagher, bien connu des fans de The O.C. (Newport Beach en VF). La série est d’ailleurs, je trouve, un peu plombée par les chamailleries de ce “couple”, mais ces scènes humanisent les personnages et montrent la CIA finalement sous un jour terriblement humain. Ce qui change d’autres séries d’espionnage dépeignant l’univers des Agents Secrets sous un jour terriblement noir, sombre, dénué de tout sentiment. On est loin ici avec Covert Affairs des très sombres Spooks ou La Femme Nikita. Et Questions intrigues, donc, il n’y a pas grand chose à dire : depuis autant d’années de séries d’espionnage, les sujets ne sont pas inépuisables, donc on a droit à des intrigues très traditionnelles, qui cèdent la place à la présentation de personnages plus ou moins attachants.

Covert affairs, piper perabo, christopher gorham, peter gallagher, annie walker, espionnage, histoire des séries américaines, alias, sydney bristow, nikita

En résumé : Comme les autres séries USA Network, Covert Affairs est une bonne petite série d’espionnage avec une héroïne très belle et attachante, une série sympathique sans prise de tête qui rappelle certaines séries des années 80 : pas d’intrigues compliquées à suivre, et une ambiance de comédie parfois, légère, et distrayante. Je dois bien le dire, j’ai vraiment bien accroché à cette série qui certes, ne vaut pas pour moi ALIAS, mais reste une alternative intéressante et séduisante… Et surtout, je suis fan du générique !

A propos de la série : À l'exception du pilote, tous les épisodes ont des titres de morceaux du groupe Led Zeppelin.


Générique d'ouverture de COVERT AFFAIRS