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dimanche, 04 mars 2012

NCIS LOS ANGELES : Des super-agents au service du Bien. Encore !

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De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :  Le NCIS a également une division sur la Côte Ouest, à Los Angeles, avec de remarquables agents de terrain, tels que Callen G., Sam Hannah ou Kensi Blye. A la tête de ces hommes et femmes, la petite mais farouche Hetty Lange. Le quotidien de cette équipe est d’enquêter sur des affaires touchant à l’assassinat de Marines.

Les raisons d’y jeter absolument un œil ! (mon avis sur la série) :  Parmi le nombre incroyable de séries policières s’articulant autour d’un groupe de spécialistes, qui finissent par constituer une véritable famille, que l’on a pu nous proposer pas mal ces dernières années, ma préférée est sans conteste NCIS Los Angeles actuellement, même si d’autres comme CASTLE suivent pas loin derrière. J’avoue que je n’ai jamais vraiment suivi sa série-mère, NCIS, à cause des multi-rediffusions jusqu’à plus soif d’M6. Et ce, pour plusieurs raisons : tout d’abord, la série, tout comme CASTLE, jongle entre plusieurs registres, passant de l’un à l’autre avec une facilité déconcertante ; car la série est à la fois une série d’action, une série d’espionnage, une comédie, une série dramatique. Ensuite, les personnages sont très attachants, bien écrits je trouve. La série n’est pas simple buddy-show, même si on a tout de même 2 personnages forts menant les enquêtes sur le terrain, en la personne du séduisant Chris O’Donnell qui prête ses traits à Callen G., et celle du robuste LL Cool J qui interprète l’ancien marine Sam Hannah. A leurs côtés, on trouve la séduisante et charmante Daniela Ruah, alias l’agent Kensi Blye (hé oui, je suis sous le charme). Le geek de service est présent, à travers le personnage de Eric Beale, le geek préféré de Abby Sciuto, d’ailleurs. Malgré cela, on notera deux impairs : le personnage du psychologue travaillant avec l’équipe et le black de service, Dom Vail, personnage qui n’auront pas vraiment su trouver leur place. Pour le second, il disparaitra d’ailleurs assez vite de la série. Et pour chapeauter toute la bande, l’attachante Hetty (diminutif d’Henrietta) Lange, à la diction parfaite, vieille responsable d’agence sachant toujours trouver les mots justes pour réconforter ou aider ses troupes, les menant d’une main de fer. Et puisqu’il faut absolument, apparemment, un personnage quelque peu excentrique, elle récupère cette dimension, faisant preuve de certaines petites excentricités qui rendent le personnage indispensable. Par exemple, outre une passion inconditionnelle pour le thé, elle tient particulièrement au look de ses agents.

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Les nombreuses scènes se déroulant au QG de l’équipe, très réussi visuellement, contribuent à nous faire aimer ces personnages. Un autre aspect qui ne pouvait que me plaire dans la série, c’est son aspect “série d’espionnage” qui ne dit pas son nom. Car les agents du NCIS ne sont pas censés exister pour le grand public. Sam n’hésitera pas à se présenter comme un “fantôme”. Callen, Kensi et lui sont censés être de véritables experts dans le domaine de l’infiltration, être des caméléons capables d’assumer n’importe quelle identité. Callen a eu un nombre incroyable d’aliases, de fausses identités, qui sont parfois également légions pour certains ennemis. La série présente quand elle en a besoin de nombreux gadgets digne de ceux de James Bond. On pourra toutefois regretter que la série n’ait pas pris le soin d’imposer une véritable nemesis au groupe, ni exploité le fil rouge pourtant lancé aux tout débuts de la série, autour du mystère de l’identité de Callen, qui ignore tout de ses origines, comme son véritable nom de famille. Dommage, mais la série s’en passe fort bien. 

En bref :  NCIS Los Angeles n’est pas qu’une série policière, mais brasse et pioche dans différents registres pour proposer une série très agréables, même si une fois encore, les intrigues ne sont pas le point fort de la série, malheureusement. Mais il n’en reste pas moins que son humour salvateur, qui l’éloigne des bien trop sérieuses et sombres concurrentes, et l’absence d’un schéma “spécialiste” entouré de faire-valoirs font que cette série est ma préférée du moment, dans le genre série de network.

Côté Cast :  La série aura su replacer Chris O’Donnell sur le devant de la scène, lui qui peinait à véritablement percer au cinéma (en même temps, avoir été le Robin des films Batman de Schumacher n’aide pas), en plus de marquer une nouvelle carrière pour le rappeur LL Cool J. Et puis il y a la remarquable Linda Hunt, à la voix caverneuse, interprète à l’époque d’un personnage semi-récurrent dans  The Practice, qu’on aura pu entendre dans la saga God of War ou dans Carnivàle.

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samedi, 11 juin 2011

CASTLE : regard critique sur la Saison 3 et la série.

Souvenez-vous, l’année dernière débutait chez nous sur F2 lors des vacances d’été la série Castle. L’occasion pour nous de découvrir le sympathique et décontracté écrivain Rick Castle (Nathan Fillion), aux millions de livres vendus, et sa muse, la séduisante et très professionnelle Inspectrice Kate Beckett (Stana Katic). Récemment, je me suis lancé dans la Saison 3, et donc, j’en parle ici…

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Les raisons d’y jeter tout de même un oeil… ou pas ! (mon avis) :  Se présentant comme une série policière, la série peut être considérée comme un formula show : la séquence d’ouverture montre la découverte d’un cadavre, avant que Beckett et Castle n’arrivent sur les lieux. Les principaux suspects, après la découverte de quelques indices, sont arrêtés, puis interrogés, avant que le véritable coupable ne soit arrêté. Un déroulement très routinier, finalement, presque ennuyeux. Ce n’est certainement pas pour ses intrigues que l’on se souviendra de la série. Ajouté à cela, le cahiers des charges est rempli par son lot de scènes familiales : on découvre Castle, chez lui, qui veille sur sa fille et sa mère. En fait, tous les 3 veillent plus ou moins les uns sur les autres. En tombant dans les clichés pour ce qui est raconté dans ces scènes, heureusement portées par des acteurs et actrices de qualité, Molly Quinn et Susan Sullivan. Avec pour moi un défaut majeur, parce qu’utilisé bien trop souvent au point de relever du systématisme, c’est la résolution de l’énigme grâce à un dialogue de Castle avec sa fille, qui lui donner une sorte de révélation sur le véritable meurtrier ! Du coup, alors, pourquoi s’acharner à regarder tout de même la série, qui semble écrite assez facilement, et peut sembler répétitive à la longue ? Une série qui dévoile assez vite ses tics d’écritures au téléspectateur attentif, et perd du coup un peu de sa “légitimité” ?

Parce que, tout simplement, il y a le charme de ses interprètes. L’alchimie qui se dégage entre les acteurs et actrices, qui fonctionne à merveille. On se plaît à voir Fillion et Katic à l’écran, qui incarnent avec brio leurs personnages respectifs. Car en réalité, comme bien d’autres avant elle, Castle est une série romantique, à destination des shippers : ces fans qui suivent un couple à l’écran et se réjouissent de déceler certains indices sur une possible relation entre les deux, qui trépignent de rage quand un obstacle se dresse entre les deux, comme un troisième personnage. Ainsi, on n’attend qu’une chose, à chaque épisode, c’est de voir le regard plein de tendresse et de promesse qu’un personnage portera sur l’autre. Et cela, la série l’a bien comprise et sait parfaitement jouer au jeu du chat et de la souris avec le spectateur. Réjouissant ! D’ailleurs, souvent, les scènes familiales ont pour sujet l’amour : on “casse les pieds” avec le parcours sentimental d’Alexis, en pleine adolescence et qui commence une relation avec un jeune homme de son âge, ou avec les histoires de la mère de Castle. Là encore, aucune once d’originalité, mais il faut voir ces scènes comme un moyen d’exposer plus clairement le thème global de la série : comment fonder, construire, une relation à deux. La plupart des enquêtes placent Beckett et Castle en situation de danger, ou de réfléchir sur leur possibilité de couple, ou pas, finalement. Leur montrant, déjà, qu’ils fonctionnent parfaitement en duo.

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L’autre intérêt de la série, ce qui en fait également le sel, c’est son côté “geek” ou fanboy : la série aime à glisser quelques clins d’oeil ou références bien amusantes pour les initiés du genre, tel cet épisode sous influence X-Filienne, Rick n’hésitant pas à appuyer en fredonnant le célèbre générique, ou ces citations se glissant de façon anodine, telle une référence à Forbidden Planet. On s’amusera également en début de saison des théories les plus farfelues émises par l’écrivain, à l’imagination débordante, que doit tempérer la bien trop sérieuse Beckett. Malheureusement, la série a quelque peu perdu, progressivement, le côté grand gamin de Castle que l’on retrouvait avec bonheur dans les premières saisons. Pas de délires de la part de Castle, qui semble avoir quelque peu muri ici.

Troisième point, tentant de maintenir le difficile équilibre entre série non pas légère, mais pas déprimante (on est loin d’un CSI ou d’un Criminal Minds à la noirceur appuyée), et série véritablement dramatique, la série n’hésite pas à partir dans des directions inattendues : tel épisode proposera une explication ou l’exploitation d’un thème science-fictionnesque, tandis que tel autre confrontera la police de New York à une menace terroriste. Au point de se voir adjoindre l’aide d’un pseudo-Jack Bauer incarné par l’ex-Heroes Adrian Pasdar.La série commence à expérimenter, sortir du cadre confiné des enquêtes traditionnelles, faire explorer d'autres pistes à ses personnages. Même si c'est encore timide, et qu'on ne joue pas encore véritablement sur la narration, le déroulement du récit. Peut-être prochainement ?

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Enfin, et de toute façon la fin de saison appuie grandement cet aspect, avec Castle, on se retrouve avec tout un cast de personnages qui finissent par être plus ou moins attachants, que l’on soigne, plus réussis je trouve, que dans les séries concurrentes (The Mentalist, par exemple), qu’on se plaît à retrouver, et qui constituent une sorte de grande famille, tous tenant les uns aux autres. En fait, la série a retrouvé la recette, les ingrédients principaux des bonnes vieilles séries des années 80, dont elle est la digne héritière, elle aussi…

Côté casting (les guest-stars de la saison) :  Comme pour les saisons précédentes, la série se donne la peine d’inviter quelques guests appréciables : outre Adrian Pasdar, déjà cité, on retrouvera au détour d’un épisode Michael McKean (vu dans X-Files dans le rôle de Morris Fletcher, ou encore dans ALIAS), D.B. Sweeney (un habitué des productions télévisées, qui a participé aux séries Strange Luck et Harsh Realm, entre autres), Brendan Hines, que les spectateurs assidus de la concurrente Lie to me reconnaîtront. On notera aussi les participations de Lee Tergesen (Oz, entre autres), Lance Henriksen (MillenniuM ou la saga Alien, entre autres), Laura Prepon (That 70’s Show, entre autres), venue incarner la sublime Natalie Rhodes, qui sera l'occasion de scènes assez cocasses, Jason Wiles (Third Watch ou Persons Unknown), ou encore Dominic Purcell (Prison Break, entre autres).

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samedi, 01 janvier 2011

Le Billet du 1er Jour de la (nouvelle) année.

Bonjour à tous et à toutes !

Outre le fait que je vous souhaite bien entendu à tous et à toutes mes Meilleurs Voeux pour la nouvelle année, dont on attend la santé, le bonheur, je poste ce billet pour tracer un parcours rapide des séries visionnées, dont j’ai parlé ou pas sur ce blog. J’ai pris un immense plaisir à me replonger dans des séries-cultes des années 90 comme Buffy ou X-Files, dont je vais poursuivre le visionnage, ainsi que dans LOST.

Côté nouveautés, j’entends poursuivre le visionnage de V, prometteuse, de The Vampire Diaries, et de Caprica, pour sa fin. J’ai passé un très bon moment devant les saisons 1 de True Blood et Dexter, que je devrais poursuivre.Côté Doctor Who, j'ai passé une partie de l'été à voir la Saison 5, Matt Smith et Moffat laissent une très bonne impression, même si la série a légèrement évolué : moins de spectaculaire, plus de place pour l'intime.

J’ai été enthousiasmé par Castle, énième série policière, mais qui dégage un charme indéniable. Pourtant, elle arrivait en 3ème après les pourtant réussies The Mentalist et Lie to me.

Pendant les vacances de Noël, je me suis livré à un visionnage acharné de Babylon 5, que je compte bien terminer, alors que j’en arrive à la conclusion de la Saison 4, qui possède un début et une fin flamboyantes, malgré un petit coup de mou au milieu, histoire de redémarrer la série. Une série totalement maîtrisée, qui nous fait vivre plusieurs guerres s’imbriquant les unes dans les autres, l’une succédant à l’autre en peu de temps.

Et j’ai profité de refaire un peu d’anciennes séries, comme Earth Final Conflict, Les Mystères de l’Ouest, Felicity, et très tenté de refaire Highlander.

Côté blog, je n’ai malheureusement pas posté autant de notes ou de reviews que je l’aurais souhaité, mais tant pis. Je compte en tout cas les poursuivre, bien sûr. J’ai pris plaisir à consacrer une série de notes thématiques consacrées aux X-Files (il me reste d’ailleurs à publier une ou deux dernières notes), et ça m’a donné envie de poursuivre. Joey, qui tient les rênes des blogs 720 Lignes et Des séries et des hommes, m’a donné d’ailleurs une idée de notes thématiques. On devrait prochainement parler ici de… Cul et de seins ou nichons, histoire de faire grimper temporairement le nombre de visites du blog. Au passage, quelques chiffres d’ailleurs : Ce blog a quand même attiré 1468 visiteurs uniques en novembre, et 1840 en décembre, pour venir lire un blog constitué de 377 notes et 683 commentaires (par contre, pour les commentaires de spams qui conduisent par lien à des sites de jeux en ligne, je les jette automaitquement).

Si je ne suis pas sûr que l’ensemble des visiteurs revienne régulièrement au vu des mots-clés tapés ayant conduit ici ( je ne sais pas trop comment on peut arriver ici en tapant “les points communs entre ares dieu de la guerre et bruce lee” ou “melinda culea video sexy” (en novembre) ou “conseille pour renouer des relations interrompues avec une copine” (en décembre), en plus de recherches de bannières de noël ou de vêtement : le blouson de Dwight Schultz, l’écharpe du Docteur), c’est toujours agréable de savoir qu’on est lu, donc Merci à vous.

Et à bientôt !

KNIGHT