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jeudi, 25 avril 2013

CHUCK : Secondes pensées, à l'issue de la Saison 2 - 5 raisons d'aimer (ou de poursuivre) CHUCK !

C’est toujours un réel plaisir de suivre l’évolution positive d’une série qui s’améliore au fil du temps. CHUCK est une de ces séries qui, mine de rien, ne cesse de modifier en douceur son concept de base et de proposer un spectacle fort divertissant. Une vraie bonne série pop-corn, en fait. En quelques points, les preuves d’une série qui gagne à être découverte (pour ceux qui ne la connaîtraient pas encore), voire revue.

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1 - La Mythologie :  CHUCK aura eu pour elle de développer mine de rien une mythologie solide, effleurée dès la 1ère saison. Ainsi, on jouera avec le concept d’Intersec, gigantesque base de données de connaissances transformant un esprit humain en ordinateur. Difficile de ne pas penser à MATRIX et ses téléchargements de données. Le Fulcrum est le grand ennemi de la “Chuck-Team”, un regroupement d’agents ennemis dont la caractéristique est qu’ils sont pour la plupart anonymes, et interprétés parfois par des visages familiers des sériephiles, comme Mark Pellegrino (vu dans bon nombre de séries de genre, il était notamment l’ex-mari de Rita dans DEXTER ou Jacob dans LOST). Le Fulcrum est présenté le temps d’un épisode comme une division secrète de l’Alliance. (tiens, tiens… ne voyais-je pas la série comme une des héritières d’ALIAS ?) On découvrira le créateur de l’Intersec, le mystérieux Orion. Seule la romance entre Chuck et Sarah, avec ses hauts et ses bas, ses tergiversations que ce soit du côté de Chuck ou du côté de Sarah sera un peu agaçante à la longue. Mais cela fait partie du genre, on se doute bien qu’ils finiront ensemble à la fin de la série, mais le chemin aura été bien long pour y parvenir. En écho, Ellie, la soeur de Chuck, et son petit-ami Devon, le “Captain Awesome”, le couple modèle et un peu trop parfait, stable de la série, se dirige vers le mariage, annoncé à la fin de la saison 2. CHUCK est une série semi-feuilletonnante, à suivre, les différents arcs narratifs avançant de concert, se croisant et se décroisant au fil des circonstances.

2 - Une série rétro et nostal-geek :  On avait beaucoup parlé d’une série mettant en scène un geek comme personnage principal. Si cet aspect était en réalité peu présent dans la série, les quelques références à la culture populaire qui émaillent la série ont comme point commun en général d’être des références à des oeuvres passées, emblématiques. Tel épisode tournera autour d’une borne d’arcade tout droit sortie des années 80, rappelant d’autres jeux phares de cette époque des débuts du jeu vidéo. Tel autre épisode invitera une DeLorean dans la série, soit la voiture mythique et emblématique de Back to the Future (Retour vers le Futur, en VF), sorti en 1985, alors que tel autre épisode aura fait jouer “Power of Love”, titre de Huey Lewis and the News, qui appartenait à la bande originale de cette trilogie. L’un des biens les plus précieux de Chuck dans sa chambre est un poster de TRON, le film sorti en 1982. Si les références à une certaine pop-culture sont présentes dans la série, elles le sont souvent en référence à une époque disparue. Cet aspect fanboyesque de la série se retrouvera également dans les acteurs invités.

3 - Côté Cast, c’est la fête :  Les acteurs invités, en nombre sont toujours étonnants, et souvent présentés sous la forme d’un hommage particulier. Ainsi, au fil des épisodes, on croisera Michael Clarke Duncan,  le tourjours excellent John Laroquette, Gary Cole ; Melinda Clarke (une habituée des productions télévisées apparue dans un grand nombre de séries TV : The OC, The Vampire Diaries, Entourage, Nikita, ou CSI, entre autres… ) ; Dominic Monaghan, vu dans LOST (il y incarnait l’ex-rock-star Charlie Pace), la trilogie du Seigneur des Anneaux et Flash-forward ; Carl Lumbly, le Marcus Dixon d’ALIAS ; Brian Thompson, vu dans bon nombre de séries lui aussi, dont entre autres Buffy, Charmed et X-Files ; Jenny McCarthy ; Arnold Vosloo, Tricia Helfer le temps d’un épisode ;  Bruce Boxleitner, vu entre autres dans TRON et Babylon 5 ; Morgan Faichild ; Arnold Vosloo (qui incarna la Momie au cinéma) ; Chevy Chase, célèbre pour sa participation régulière à Community ; et en guest-star de luxe le temps de quelques épisodes, le mythique Scott Bakula, toujours parfait, tout droit venu de Quantum Leap et Star Trek : Enterprise, qui poussera son célèbre “ Oh boy !! “ (réplique récurrente de la série Quantum Leap : Sam beckett, le personnage interprété par Scott Bakula, avait la fâcheuse tendance de se retrouver dans les situations les plus incongrues !).

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4 – entre espionnage et Buy More ; CHUCK, ou 2 séries en une ! :  Les scénaristes devaient se retrouver quelque peu coincés par le mélange des genres et des registres qu’ils voulaient proposer dans la série. Du coup, la série devient double sans perdre son identité : Chuck sera beaucoup plus investi dans les intrigues d’espionnage développant la mythologie, mettant sa vie en danger, ou compliquant sa relation avec Sarah. Au passage, alors que John Casey continue de jouer les gros durs à la mâchoire constamment crispée, Yvonne Strahovski se révèle merveilleuse dans le rôle de Sarah Walker, l’espionne au coeur d’or, à la fois rêve de geek, femme d’action d’abord et avant tout, et en même temps jeune femme perdue face à ses sentiments contradictoires. Sans aucun doute possible, le personnage peut rappeler Sydney Bristow (ai-je besoin de rappeler que je parle ici de l’héroïne d’ALIAS ?), et entre dans cette catégorie des personnages à la fois touchants, et fantasmatiques. Dans cette partie de la série, le ton se révèlera plus sérieux et “dramatique” au cours de la saison 2. Et pour la comédie, on suivra en général en parallèle la suite des aventures de Morgan et des autres “Buy Morons” au Buy More justement. Les personnages de Jeff et Lester se développent et prennent plus d’ampleur. Un nouvel ennemi apparaît, bien plus redoutable encore que le Harry Tang des débuts : Emmett Milbarge, interprété par Tony Hale, que les amateurs de l’excellente série Arrested Development connaissent bien. Seule ombre au tableau, les scénaristes ne savaient apparemment plus trop quoi faire d’Anna, et la Kelleyrisation du personnage est apparemment proche…

5 – Let’s rock, baby ! ou des choix musicaux qui valent le détour :  Outre les extraits d’anciens tubes à valeur nostalgique, comme le fameux “Eyes of the Tiger” de Survivor ou encore “Final Countdown” d’Europe, les morceaux choisis pour accompagner la série sont toujours très inspirés et relativement efficaces. C’est simple, CHUCK possède parmi les meilleurs musiques pouvant accompagner une série !

mardi, 02 avril 2013

CHUCK, ou le Geek qui jouait à l'espion. Premières impressions... (Les héritiers d'ALIAS)

Le Challenge Séries 2013 fut l’occasion pour moi de reprendre la série du début, vu que je n’avais vu que la Saison 1 il y a un bout de temps, et je repoussais le fait de me faire la série en entier.

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De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :  Employé dans une boutique de matériel informatique, Chuck Bartowski est propulsé du jour au lendemain dans le monde de l'espionnage, sa vie ennuyeuse laissant la place aux émotions fortes. Son cerveau renfermant, bien malgré lui, une base de données contenant des secrets gouvernementaux, la NSA et la CIA, soucieuses de protéger ces informations, envoient les agents John Casey et Sarah Walker pour veiller sur sa sécurité. Les informations qu'il détient nécessitent sa participation à de périlleuses missions, le confrontant à de multiples dangers. Tout ça sous le nez de son meilleur ami, Morgan, de sa soeur, Ellie, et de ses collègues de travail, qui ne se doutent de rien... (source : Allociné.com)

Les raisons d’y jeter un œil… ou pas ! (mon avis critique sur la saison 1) :  CHUCK est une série créée par Josh Schwartz et Chris Fedak, et dont le pilote fut réalisé par Mc G, également producteur. Josh Schwartz a également contribué au développement de la série Gossip Girl, avec cette fois Stephanie Savage. Elle fut diffusée sur la chaîne NBC, mais aurait très bien pu être produite et diffusée par USA Network, finalement. Car CHUCK est une de ces séries reposant moins sur ses intrigues que sur ses personnages, tous éminemment sympathiques. Si la série fut assez vendue au départ sur le fait qu’elle était une de plus, avec The Big Bang Theory, à mettre en vedette des Geeks, finalement, cet aspect est relativement secondaire dans la série. CHUCK n’insiste jamais lourdement sur cet aspect : on glisse une référence par-ci au Seigneur des Anneaux, un autre par là à Call of Duty. Jamais plus que ce qu’on avait pu avoir par exemple dans Buffy ou dans Farscape. En guise de Geeks, on a surtout des personnages mal-à-l’aise avec les filles, et qui sont des grands gamins. D’ailleurs, en guise de série, on a une sorte de menu qui mêle plein de petits ingrédients toujours dispensés juste ce qu’il y a de nécessaire, sans que l’on s’en lasse. La série est amusante juste ce qu’il faut (même si elle ne me fait jamais rire, comme elle n’insiste pas plus que de raison, ça passe), sexy juste ce qu’il faut mais sans plus, en dévoilant Sarah Walker, l’autre héroïne de la série, en train de se changer ou en tenue sexy, des gunfights et de la baston juste ce qu’il faut…

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La série navigue donc constamment entre plusieurs genres et registres (comique, espionnage, dramatique, action… ) sans jamais lasser. Le concept de départ pouvait sembler assez foireux, peut-être, et les facilités scénaristiques abondent : quelle idée folle d’entreposer en un seul et même endroit toutes les connaissances des services secrets américains et de développer la technologie pour pouvoir télécharger tout cela dans un cerveau humain. Comme par hasard, Casey parvient à faire engager sans aucun souci ni aucune compétence particulière chez Buy More. Comme par hasard, Sarah parvient à se faire engager comme serveuse dans un restaurant situé à quelques mètres du Buy More… Bref, la série ne se veut absolument pas sérieuse, et si j’avais considéré la série comme l’une des héritières d’ALIAS, elle serait plutôt à rapprocher d’UNDERCOVERS, dans le genre comédie d’espionnage. Côté intrigues, c’est pareil, la série brasse à peu près tous les éléments attendus d’un tel concept : femmes fatales, anciennes flammes de l’un des héros, bombe à désamorcer,

Mais alors c’est quoi, CHUCK, finalement ? Ni tout à fait une série d’espionnage, qui n’est jamais en général qu’un prétexte, ni une véritable série sur les Geeks, c’est d’abord et avant tout une solide comédie avec des personnages tous attachants sympathiques : que ce soit Chuck Bartowski lui-même, son comparse Morgan, cette brute épaisse de Casey à la mâchoire constamment crispée, la si jolie Sarah, qu’on aime à la regarder se battre, les autres employés du Buy More Anna, Lester et Jeff, une jolie brochette de bras cassés, le terrifiant Harry Tang (C.S. Lee, que l’on retrouvera dans DEXTER par la suite), toujours à fureter et empêcher de s’amuser en rond, le massif Big Mike, constamment enfermé dans son bureau, la belle sœurette Ellie… Des personnages interprétés par de bons comédiens dans l’ensemble.

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Le personnage de Chuck est interprété par Zachary Levy, un comédien qui apparemment ne travaillera jamais que dans ce registre (on a pu également le retrouver dans Alvin et les Chipmunks 2), Sarah Walker par la belle Yvonne Strahovski, Casey par Adam Baldwin, qui fut notamment Jayne Cobb dans Firefly. Et une comédie romantique d’abord et avant tout, tout n’étant que prétexte au développement de la relation entre Chuck et Sarah, que l’on espère fatalement voir tomber dans les bras l’un de l’autre au bout d’un moment. Une relation pour laquelle les obstacles sont nombreux : le statut d’agent de liaison de Sarah, et le retour de son ancienne flamme Bryce Larkin, copain de fac de Chuck, interprété par le beau-comme-un-dieu Matthew Bomer, avant qu’il ne participe à WHITE COLLAR.

En bref :  subtile comédie romantique aux personnages attachants, CHUCK est une série divertissante sans prise de tête, qui ne se prend pas au sérieux et qui pioche à différents genres pour offrir un spectacle fort sympathique et familial.

Côté Cast :  La série a vu participer quelques guest fort réjouissantes : Tony Todd, habitué des productions télévisées, en  particulier les séries S-F comme la saga Star Trek et Stargate SG-1, fait quelques apparitions très secondaire. La belle Rachel Bilson, plus connue pour sa participation à The OC, actrice principale de Hart of Dixie, viendra perturber la relation entre Chuck et Sarah le temps de 2 épisodes. Un épisode a accueilli Kevin Weisman, le Marshall Flinkman d’ALIAS. Anthony Ruivivar, l’un des acteurs principaux de la série Third Watch (New York 911, en VF), apparaît le temps de 2 épisodes pour incarner le représentant des forces du mal de la série, l’indéterminé Fulcrum, apportant un semblant de mythologie à la série.

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samedi, 07 février 2009

Dexter et ses "frères"

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Nouveau parcours croisé, destiné à mettre en lumière les rapprochements possibles entre Dexter et ses congénères… Non, pas les serial killers, mais d' autres héros de séries avec lesquels il partage de nombreux points communs.

 

Dexter et Jarod : le passé forme ce que l' on devient. 

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En visionnant la première saison de Dexter, l' une des découvertes marquantes pour moi de la fin 2008, mon frère et moi avons eu la même réaction : beaucoup d' éléments rapprochent le tueur du Caméléon. Dans les deux cas, nous est donné à voir le passé du "héros", au travers de nombreuses séquences, séquences mettant en scène Dexter comme Jarod aux côtés de leurs mentors respectifs, Harry dans un cas, Sidney dans l' autre. Figures paternelles de substitutions, tous deux feront l' éducation du personnage, "poulain" formé à suivre un but précis : ceux ayant échappé à la justice pour Dexter, devenir l' acteur principal de simulations liées parfois à des événements historiques.

Autre point commun entre les deux personnages, tous deux, de par leur nature même d' êtres à part, pour qui la vie en société ne va pas de soi, sont amenés à "jouer" le jeu social, souvent à la perfection. Mais à différence de nous, où il est naturel, intégré, chez Jarod comme chez Dexter, tout est soigneusement réfléchi, calculé. Ceci afin de "séduire" son entourage, comme lorsque Dexter fait la tournée des collègues pour leur offrir des donuts de bon matin. De s'approprier leurs bonnes grâces, passant pour le gars sympa d' approche facile. Approche qui, mine de rien, démontre une très juste connaissance de l' être humain, pour savoir à quel type d' individu on a affaire, et comment l' approcher.

Chez les deux personnages, on a également une même volonté de punir les "criminels" ayant échappé à la justice. Tous deux s'incarnent en justiciers, arrêtant ceux étant passé entre les mailles du filet. Mais là s'arrêtent les ressemblances, Jarod se contentant d' obtenir les aveux des criminels et les remettre à la justice, alors que Dexter se substitue à elle, et punit de mort les criminels, ce qui lui permet d' assouvir par la même occasion sa soiff de sang, son désir de tuer…

 

Dexter et Chuck : une double vie faite de mensonges à leurs semblables entourages

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Chuck était un simple informaticien travaillant pour un magasin d' informatique et électro-ménager. Par la force des choses, il est devenu espion, risquant sa vie et celle de ses proches. Tout comme Dexter, il voit sa vie se compliquer par des mensonges constants faits à son entourage. Et son entourage ressemble d'ailleurs de façon étonnante à celui du serial killer. Tous deux ont une sœur, brune, avec laquelle ils partagent une belle relation fraternelle. Tous deux sortent avec une très belle jeune femme, blonde, mais uniquement pour les apparences. Tous deux ont dans leur entourage une grosse brute aux sentiments ambivalents, dont le moindre d' entre eux est une méfiance certaine dont-ils ne se cachent pas. Et un horripilant collègue de travail d' origine asiatique, qui se mêle de ce qui ne le regarde pas (et pour cause, puique les deux personnages sont interprêtés par le même acteur !).

Autant de points communs pour deux séries (et deux personnages) bien différents dans le fond, mais se ressemblant sur la forme. Et pour cause, puisque toutes deux répondent à la même logique sérielle…

  

Dexter et Batman : deux héros… psycho !

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Deux personnages à la double vie. Arrêtant les criminelles. Au costume de nuit pour "servir" la justice. Deux personnalités psychotiques n'ayant parfois rien à envier à ceux qu' ils poursuivent. Pour marquer la différence et rupture entre les deux identités que les personnages incarnent, même voix grave prononcée, inquiétante, révélant leur personnalité bestiale, et chargée d' effrayer ceux qu' ils traquent.

 

Ce cher Dexter est donc le héros d' une série dont on a tant vanté l' originalité. Mais qui en fait est la dernière incarnation d' une lignée de personnages dont il reprend divers éléments, et qui ne présente uniquement une différence thématique, formelle. Car oui, Dexter est un serial killer, mais dont le traitement a été copié à diverses formes afin de pouvoir être suivi, afin que le personnage soit dans une certaine mesure "moralement acceptable" et qu' il puisse être adopté par le téléspectateur.