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lundi, 11 février 2013

The MENTALIST, Saison 1 : premières impressions...

The MENTALIST est une série que je voulais visionner depuis un moment, aimant pas mal les séries policières à consultant, et histoire de découvrir enfin Patrick Jane, l’équipe du CBI, et le mystérieux Red John.

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De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :  Patrick Jane est un mentaliste, c’est-à-dire un manipulateur, un hypnotiseur. Ayant provoqué la colère d’un tueur en série, le mystérieux Red John, après l’avoir rabaissé lors d’une émission télévisée, il en a payé chèrement le prix, celui-ci s’étant en effet vengé en assassinant sa femme et sa fille. Afin de pouvoir enfin se venger, Patrick Jane est devenu consultant pour le CBI, travaillant avec les agents Lisbon, Rigsby, Van Pelt et Cho, espérant qu’une de leurs enquêtes les mène au terrifiant Red John.

Les raisons d’y jeter un oeil… ou pas ! (mon avis critique sur la série :  The MENTALIST est une série policière extrêmement classique mettant en scène un consultant aidant un groupe de policiers à résoudre des crimes. Elle a été créée par Bruno Heller, également à l’origine de ROME, une série très bien produite et divertissante, qui repose entièrement, une fois de plus sur la forte personnalité de son héros principal. J’avoue que j’oublie les enquêtes aussi vite que je les regarde, comme pour beaucoup d’autres séries policières. Mais peu importe car l’intérêt n’est pas là.

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L’intérêt est de s’amuser de Patrick Jane, au comportement souvent très badin et puéril, qui peut agacer autant que charmer. On dirait qu’il prend un malin plaisir à faire tourner en bourrique Lisbon, ne cessant de lui désobéir à l’occasion, mais aussi les autres membres du CBI. Mais comme il ne souhaite pas rester fâché avec eux, il trouve le moyen de se faire pardonner, comme un enfant. Ce qui plaît également beaucoup avec ce personnage, c’est son côté extrêmement classe, toujours bien habillé et élégant, aux bonnes manières. Les seules fois où il contrevient aux règles de la bienséance est pour dire tout le mal qu’il pense d’individus imbus d’eux-mêmes qui blessent leurs proches en se comportant de façon égoiste. Et puis il y a tous ces moments, rares, où le spectateur a la possibilité d’accéder aux fêlures du personnages, ce qu’il dissimule aux autres, mais qu’on nous donne de temps en temps à voir. Personnage charmant, donc, badin, mais aussi agaçant, disais-je : là où la série pêche, c’est que comme il est censé être le héros, il est systématiquement le plus malin et le plus observateur, donnant l’impression désagréable que tous les autres individus autour de lui sont des incompétents ou des imbéciles. La résolution des enquêtes reposent sur ses dons d’observation, son intuition, et ses suggestions hypnotiques. La série est extrêmement divertissante, grâce à son héros profondément attachant, et aux membres du CBI, tous attachants, sympathiques et bonnes-pâtes. D’ailleurs, sauf erreur, c’est l’une des rares séries dont le supporting cast n’ait pas connu de modifications au cours des saisons. Là où le bas blesse est qu’elle s’oublie tout aussi facilement qu’elle se regarde, disais-he également. Il s’agit d’une série à l’ancienne, qui aurait tout aussi bien pu être produite dans les années 80 ou 90.

Le trauma :  Là où je fus surpris en découvrant la saison 1 (mais quelque part j’aurais dû m’y attendre), c’est que très peu d’épisodes ont un lien avec la traque de Red John, finalement, tout comme dans Castle on ne consacre en fait qu’un ou deux épisodes par saison (en général le season finale d’ailleurs) à cet arc narratif. On n’est plus dans le cas d’une série-feuilleton comme Profiler, où l’ombre de Jack de tous les coups pesait lourdement, à l’aide de scènes lui étant consacrées, mais vraiment dans le cas d’une série constituée essentiellement d’épisodes indépendants les uns des autres. Seulement, si Red John intervient peu, c’est surtout au trauma qu’a vécu Patrick Jane que l’on fait référence, expliquant certaines de ses actions, une partie de sa personnalité. Peut-être est-ce en effet pour ne pas sombrer qu’il se comporte avec tant de légèreté (mais souvent en empathie). Ce trauma, rappelons-le, est dû en partie à la profonde arrogance du personnage, qui a cru pouvoir se moquer impunément de Red John, à une époque de sa vie où il se présentait et gagnait sa vie en tant que medium, utilisant ses dons de mentaliste pour abuser de la crédulité des gens étant en souffrance la plupart du temps. Le fait d’avoir perdu aussi brutalement sa femme et sa fille, sauvagement assassinés, font que pour lui, malgré son charme et la séduction dont il fait preuve, toute relation est impossible : s’estimant toujours marié, fidèle à celle qu’il aimait, il est inaccessible.

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Les ships de la série :  On l’a vu plus haut, Patrick Jane aime à se comporter souvent comme un grand enfant, au grand dam de Lisbon. Il y a un peu de Fox Mulder (le célèbre héros des X-Files), chez lui, et sa relation avec elle rappelle parfois celle qu’il pouvait y avoir entre Mulder et Scully. Sauf qu’il semble que toute relation sentimentale entre eux est impossible : Patrick Jane n’est absolument pas attiré par elle, tout comme Lisbon ne semble pas éprouver que de l’affection amicale pour lui. Du coup, en guise de ship possible dans la série, tous les regards se tournent vers deux personnages qui semblent avoir été créés pour se tourner autour, et qui se récupèrent la dimension shippesque de la série : Rigsby en pince complètement pour la jeune et magnifique Grace Van Pelt, pleine de grâce et de charme. Du coup, la série ne cessera de mettre en scène un jeu du chat et de la souris entre ces deux personnages, que même Patrick Jane essayera de mettre ensemble à plusieurs reprises ! Leur realtion, que l’on s’attend à voir évoluer, donnant lieu à quelques scènes cocasses et amusantes quand la jalousie de l’un ou l’autre est mise à rude épreuve, est l’un des charmes de la série.

En bref :  The MENTALIST est une série policière très agréable et divertissante, extrêmement bien produite, qui se révèle tour-à-tour légère, agréable et sérieuse. Une vraie détente, loin de la noirceur des CSI et autres Criminal Minds, et une série que l’on regarde surtout pour ses personnages et leurs interprètes, plutôt que pour les enquêtes, qui s’oublient aussi vite qu’elles se suivent.

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Côté Cast :  Après sa participation au Pilote de Dr House et à la Saison 1 de Prison Break, on retrouve une nouvelle fois la brune Robin Tunney dans le rôle de la chef d’équipe Lisbon. A ses côtés, on retrouve la sublime rousse Amanda Righetti, véritable atout de charme pour la série. Dans la Première saison, on aura eu l’occasion de voir apparaître de nombreuses guest-stars familières des séries TV : Zeljko Ivanek, vu un peu partout en tant que guest-star voir dans des rôles semi-récurrent (une apparition dans la Saison 1 d’X-Files, la Saison 1 de 24, The Event, True Blood, le rôle du Gouverneur Devlin dans Oz… ), Xander Berkeley (un épisode de la Saison 1 d’X-Files, le rôle de Matheson dans 24, un rôle semi(récurrent dans CSI… ), Michael O’Neill, Andrea Parker (la Mlle Parker du Caméléon), Leslie Hope (la Saison 1 de 24 encore une fois, The River… ), Deborah Ann Woll (pour connue pour sa participation à True Blood), J.R. Bourne (Stargate SG-1, Teen Wolf, The Secret Circle… ), Elizabeth Rohm (Law & Order, la Saison 1 d’Angel… ), John Alwyard (E.R., ALIAS… ), Sebastian Roché, Marguerite McIntyre, Muchael Trevino et Gregory Itzin, connu pour ses apparitions dans Covert Affairs et 24.

mercredi, 19 décembre 2012

BEAUTY & The BEAST, premières impressions : une nouvelle Bête est en ville. (Les Nouvelles Séries de la Saison 2012-2013)

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De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :  En 2003, la jeune Catherine et sa mère sont attaquées par un homme. Si Catherine parvient à avoir la vie sauve grâce à l'aide d'une créature étrange, sa mère meurt cette nuit-là. Neuf ans plus tard, elle est devenue détective et reste déterminée à retrouver le responsable. Lors d'une enquête, elle suit la piste d'un certain Vincent Keller, décédé en 2002 en Afghanistan. Elle découvre que ce dernier n'est pas mort, qu'il vit depuis 10 ans en totale réclusion et surtout le reconnaît comme celui lui ayant sauvé la vie. Il s'avère que, sous l'effet de la colère, Vincent se transforme en une bête enragée et incontrôlable. Catherine accepte de protéger son identité et son secret s'il l'aide à découvrir le meurtrier de sa mère. Tous deux entament alors une relation complexe et extrêmement dangereuse... (source : Allociné.com)

Les raisons d’y jeter un oeil… Ou pas ! (mon avis critique sur la série) :  Si ARROW était incontestablement une bonne surprise pour cette nouvelle saison sérielle, il est difficile d’être aussi enthousiaste devant Beauty & the Beast, vaguement inspirée de la série des années 80 imaginée par Ron Koslow, adaptée par le duo de scénaristes Sherri Cooper et Jennifer Levin (toutes deux ont travaillé précédemment, entre autres, sur Unforgettable et Brothers & Sisters). Ici, on a droit à une variation moderne et contemporaine du mythe, produite par la CW, ce qui est un indice fort de ce que proposera la série. Celle-ci recycle 2 genres porteurs, celui du super-héros, et celui du policier. Le genre Super-Héros parce que Vincent (la fameuse “Bête” du titre) est plus ou moins un Super-héros de l’ombre, sans costume, ayant des Super-pouvoirs (des sens ultra-développés), vole au secours de la veuve et de l’orphelin, et cite dans le texte, un peu lourdement même, Batman, comme s’il était besoin de surligner au stabilo, pour les spectateurs peu attentifs, l’une des directions voulues par la série. Car Vincent a été soumis à des expérimentations secrètes ayant pour but de créer un Super-soldat, expériences développant la part animale du soldat qu’il était (là encore, rien de nouveau, on pensera rien que pour les années 90 à Dark Angel par exemple). Du côté individu avec un côté obscur qui apparaît à des moments inopportuns, Beauty and the Beast rappelle également beaucoup Hulk, en particulier la série des 70’s. Il vit d’ailleurs dans un repaire secret, et ne sort, la nuit, que pour sauver des vies, le plus souvent celle de Catherine, la “Belle”.

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Et le genre policier est fortement présent, car Catherine est inspectrice de police, et la série propose à chaque épisode une nouvelle enquête, comme n’importe laquelle d’entre elles. Puisqu’il faut un trauma à l’un des personnages, une quête qui servira de fil rouge ou qui explique des fêlures permettant de s’attacher à lui, Catherine a malheureusement perdu sa mère, assassinée alors qu’elle était adolescente. Mais, innovation par rapport à d’autres séries du même genre, on nous propose ici de suivre un duo d’enquêtrices, Catherine travaillant avec la séduisante Tess. Mais tous ces éléments ne servent que de cadre, finalement, à un teen drama de plus, déguisé, destiné à accompagner la série The Vampire Diaries, les deux séries étant diffusées le même soir aux Etats-unis. Car bien vite, les deux personnages vont tomber amoureux l’un de l’autre, d’autant plus qu’ils se sont rencontrés alors que Vincent lui sauvait la vie, et qu’il sera toujours prêt à l’aider en cas de besoin. Un amour non pas impossible, mais rendu compliqué par le statut de fugitif de Vincent, qui en plus se métamorphose parfois en créature monstrueuse. Le thème classique de l’amour contrarié car une situation particulière nous est donc resservi ici. Et donc est-ce que la série vaut vraiment le coup ? Hé bien les intrigues policières sont assez fades et inintéressantes. Ce qui serait vrai pour la plupart des séries policières, qui s’appuient sur d’autres éléments. Hélas, ici, les autres éléments ne sont pas assez forts pour soutenir le tout. Parce que la série abuse tellement de clichés vus ici et là qu’on finit par ne plus s’y intéresser. La série n’apporte absolument rien de nouveau aux genres dont elle s’inspire, pompant des éléments à droite et à gauche et ne proposant pas de personnages suffisamment forts ou complexes pour qu’on s’intéresse véritablement à eux. Beauty & the Beast n’est pas désagréable à regarder en soi, surtout en raison de son séduisant casting. On se plaira à retrouver une fois de plus la charmante Kristin Kreuk, accompagnée d’un assez beau gosse, Jay Ryan, à peine “abîmé” sous sa forme humaine par une cicatrice sur la joue. Les scènes d’actions sont assez bien tournées, la série pouvant se permettre de capitaliser sur l’entraînement de Kristin Kreuk, qui fut notamment l’interprète de Chun-Li lors d’un piètre Street Fighter de sinistre mémoire. Mais la comédienne, encore peut-être un peu jeune pour ce type de rôle, n’est pas toujours très crédible en inspectrice. En fait, la série rappelle beaucoup une autre série, Tarzan & Jane, qui proposait elle aussi une relecture d’un mythe à la sauce contemporaine, celui de Tarzan, afin de surfer sur le succès à l’époque de la série Smallville. Là aussi, on avait une Jane inspectrice de police, interprétée par la belle Sarah Wayne Callies, et un Tarzan gravure de mode / au physique de mannequin. Cette série n’avait d’ailleurs pas duré longtemps, ayant été annulée après la production d’à peine 8 épisodes. 

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En bref :  Un casting séduisant et un recyclage d’idées prises un peu partout ne suffisent pas à proposer une bonne série. Si Beauty & the Beast se laisse regarder, elle est loin d’être une série indispensable ou brillante pour l’instant (à force d’intrigues inintéressantes, alors que toute la partie “mythologie” sent le réchauffé), visant surtout à offrir un sympathique complément à The Vampire Diaries

vendredi, 14 septembre 2012

WHITE COLLAR : Premières impressions / Un buddy cop-show à l'ancienne !!

Il y a peu, est enfin sortie en DVD la Saison 1 de la série WHITE COLLAR, rebaptisée chez nous FBI : Duo très spécial, et la Saison 2 devrait bientôt débarquer ! L’occasion de se replonger dans la série.

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De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :  L'association inattendue entre un agent du FBI et son pire ennemi, un malfaiteur-gentleman qu'il poursuit depuis des années ! Quand Neal Caffrey s'échappe d'une prison de haute sécurité pour retrouver son amour perdu, l'agent du FBI Peter Burke l'arrête à nouveau. Pour éviter de retourner en prison, Neal propose à son rival une solution alternative : sa liberté en échange de son aide pour traquer d'autres criminels... (source : Allociné.com)

Les raisons d’y jeter un oeil… ou pas !! (mon avis sur la série) :  Il suffit de dire que cette série produite à partir de 2009 est une série produite par USA Network, et l’on a tout dit. Ou presque ! WHITE COLLAR, création de Jeff Eastin, réintroduit dans l’univers des séries policières le concept des buddy movies, histoires mettant en scène 2 “potes”, 2 partenaires que tout oppose. Ou presque. Le concept a très bien vécu dans les années 70 et 80, et l’on pourrait citer en vrac : The Persuaders / Amicalement Vôtre, Starsky & Hutch, Miami Vice / 2 Flics à Miami, Simon & Simon, CHiPs, L.A. Heat, et bien d’autres… Dans les années 2000, le concept s’était atténué, au vu de la déferlante fulgurante des séries à “experts”, poussée par le succès de la franchise CSI, et par des séries policières associant un consultant à un département de police. Ici, donc, avec WHITE COLLAR, on est face à une série policière des plus classiques, avec tout de même cette particularité que les enquêtes vont plutôt concerner le monde de l’art. Et que cette fois, le concept du buddy-cop-show associe un voleur, en liberté surveillée (Neil Caffrey porte en permanence un bracelet électronique) à un policier. Série USA Network oblige, le slogan “characters welcome” prévaut : ce n’est pas du côté des intrigues que l’on se régalera (tout comme pour la plupart des séries de ce style apparues dans les années 80, d’ailleurs), mais de ses personnages, le fameux duo donnant son titre français à la série. On s’amusera ainsi de la relation de Neal avec son responsable, l’Agent du FBI Peter Burke (Tim de Kay), modèle de vertu et de droiture contrastant avec son “partenaire”.

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Et on se plaira à suivre le personnage de Neal Caffrey, interprété par le séduisant Matt Bomer (vu auparavant dans les séries Tru Calling et Chuck : il y interprétait le rival et idéal de Chuck, Bryce Larkin), au regard bleu magnétique, hypnotique. C’est bien simple, dans la série, aucune femme ne résiste à son personnage. Enfin, la galerie de ces attachants personnages ne serait pas complète sans l’évocation du fantaisiste Mozzie, ami de longue date de Neal qui lui est entièrement dévoué, interprété brillamment par Willie Garson (vu dans Sex & the City et Stargate SG-1, entre autres). Seule déception pour la distribution régulière, la belle Tiffani Thiessen en est réduite à un rôle convenu et superficiel d’épouse idéale et parfaite de Peter Burke. Concernant le ton de la série, il s’agit, comme d’autres séries signées USA Network d’une série légère, qui lorgne vers la comédie (sans être jamais drôle), éminemment sympathique, mais c’est tout. Non pas une grande série, mais un divertissement de qualité, soigné, devant lequel on passe un bon moment en général. On pourra donc regretter le manque de profondeur ou de drôlerie de cette série, vu qu’elle reste le plus souvent bien trop sage pour faire partie des grandes séries.

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La Quête du héros :  Tout cela en ferait peut-être, finalement, une série anecdotique, s’il n’y avait pas la quête de Neal qui apporte une touche supplémentaire à la série, permet de s’y accrocher finalement (outre le regard bleu de son héros, dont on ne se détache si finalement) et demande absolument un visionnage dans l’ordre des épisodes : Kate Moreau (la charmante Alexandra Daddario), amour éternel de Neal, l’a quittée pour de mystérieuses raisons alors qu’il était en prison, après une visite des plus “étranges” au parloir, où elle annonçait qu’elle le quittait, sans lui donner de véritable raison. Depuis, Neal Caffrey n’aura de cesse de la retrouver, tentant de trouver dans tout ce qu’elle a pu laisser des messages codés lui étant destinés. Au point que le spectateur doute. Est-ce que Neal refuse désespérément d’accepter qu’elle l’ait quitté et faire le deuil de leur relation ? Ou est-ce que Kate lui a bien laissé ces messages que Neal croit déchiffrer ? Surtout qu’un message débouche sur un autre, puis un autre, ouvrant un jeu de piste des plus vertigineux !

En bref : WHITE COLLAR est une série policière des plus sympathiques, devant laquelle on passe un bon moment, rappelant à certains égards les séries du style proposées dans les années 80. Un fil rouge ténu mais addictif et le charme certain de son acteur principal l’empêche d’être totalement convenue.

Côté Cast : Dans des rôles réccurrent, on peut noter la présence de Sharif Atkins, le Dr Gallant d’Urgences et de Marsha Thomason, vue dans Las Vegas, dans des rôles finalement très anecdotiques. On notera également la participation pour un rôle semi-réccurrent de la belle Hilarie Burton, célèbre pour sa participation à la série One Tree Hill.

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