mardi, 08 février 2011
Les séries "Boobs & Ass", partie 6 : les séries policières.... sexy

Pour cette nouvelle note, 2 séries policières abordées que j’estime correspondre à des séries “Boobs & Ass”, puisqu’elles savaient attirer le chaland, le téléspectateur mateur.
Pacific Blue :

Les raisons d’y jeter tout de même un oeil… ou pas ! : L’une des séries qui aura le plus capitalisé sur le succès de Baywatch / Alerte à Malibu. Le principe de base reste sensiblement le même, sauf que les tenues moulantes de VTTistes remplacent les maillots de bains rouges, et les vélos haut-de-gamme et poursuites un plus produit, remplaçant les sauvetages en mer. Au programme, donc, des histoires policières des plus classiques, et des intrigues tournant autour de la vie professionnelle et sentimentale des différents membres de l’équipe. Au Québec, la série fut d’ailleurs rebaptisée Alerte à Santa Monica, où est censée se dérouler l’action de la série.
A propos de la série : Pacific Blue se déroule apparemment dans le même univers que Baywatch, puisque l’on a pu voir débarquer dans la série une de ses actrices, la belle Carmen Electra, toute droit sortie de la série, revêtue du célèbre maillot de bain rouge.

La série dura mine de rien 5 saisons et fut produite de 1996 à 2000. Deux des producteurs exécutifs de la série, Craig W. Von Sickle et Steven Long Mitchell, seront les créateurs et producteurs exécutifs de la série The Pretender. Un épisode dont l'intrigue est celle d'un enlèvement, verra un compte à rebours s'afficher à l'écran, bien avant 24 !!
Silk Stalkings / Les Dessous de Palm Beach :

Les raisons d’y jeter quand même un oeil… ou pas ! : Le titre français de la série joue volontairement sur la polysémie du terme “dessous”. Avec Silk Stalkings, et à en croire le générique, les téléspectateurs se sont retrouvés face à une série jouant volontairement sur le sexy, promettant quelques scènes… suggestives ou épicées. Au programme de cette série policière, donc, des crimes toujours liés à des histoires de sexe, de tromperie, d’adultère… Et pour nous conduire dans l’univers des riches et nantis de Palm Beach, autre caractéristique de la série, un duo de flics attachants, un homme et une femme : le Sergent Chris Lorenzo, interprété par Rob Estes, que l’on retrouva souvent à la télévision par la suite, notamment dans Melrose Place, et le Sergent Rita Lee Lance, interprétée par Mitzi Kapture, que l’on reverra dans… Baywatch / Alerte à Malibu. Tous deux portaient d’improbables costards ou tailleurs chics colorés très tape-à-l’oeil, sans hésiter sur la couleur, choix très particulier pour une série à ne pas trop prendre au sérieux. De même, ces 2 inspecteurs évoluaient dans un commissariat aux allures de night-club, avec néons !

L’un des attraits de la série, comme bon nombre d’entre elles mettant en scène deux personnages de sexe opposé, était de savoir s’ils allaient finalement tomber amoureux ou pas. La relation entre Chris Lorenzo et Rita Lee Lance déboucha sur uen histoire d’amour entre les deux partenaires, alors qu’une certaine tension sexuelle était présente entre Tom Ryan et Cassandra St-John, précédemment mariés ensemble.
Côté charme : La série fit défiler un certain nombre de jolies filles, en plus de Janet Gunn, qui étaient des attraits certains pour la série. En plus des scènes suggestives auxquelles Silk Stalkings nous donnait droit parfois.
La série fut créée par Stephen J. Cannell, et produite de 1991 à 1999, ce qui constitue tout de même un assez long parcours pour une telle série.
20:34 Publié dans Intégrales (séries d'une saison ou plus, oubliées | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cul, seins, sexy, pacific blue, paula trickey, darlene vogel, rick rossovich, shanna moackler, silkstalkings, dessous de palm beach, mitzi kapture, rita lee lance, rob estes, chris lorenzo, janet gunn, charlie brill, harry lipschitz, sliders, baywatch, alerte a malibu
samedi, 15 janvier 2011
Les séries "Boobs and Ass", partie 1 : définition, et bikinis...

Du coup, une question se pose : où s’arrête la mince frontière entre série proprement “Boobs and Ass”, et série utilisant une petite touche sexy de bon aloi ? Du coup, pour mes critères de sélection, ce seront : – un générique explicite présentant par le menu ce que le téléspectateur peut espérer. – la difficulté pour la série de se raccrocher à un genre précis qui la ferait sortir de cette catégorie.
Bien entendu, comme tout classement, les choix de séries traitées ici pourront être discutés, mais je tenterai pour chacune d’expliquer pourquoi ces séries apparaissent ici.
Baywatch / Alerte à Malibu :

Les raisons d’y jeter un œil, quand même : Incontournable. C’est la série-modèle par excellence de cette catégorie de séries. Série-phare des années 90, emblématique de cette période au même titre que bien d’autres (Beverly Hills 90210 ou X-Files, pour taper dans des registres bien différents), le monde entier la connaît, connaît certaines des actrices et des acteurs qui ont joué dedans. Que ce soit Pamela Anderson, Carmen Electra ou aussi le célèbre David Hasselhoff, déjà acteur emblématique d’une des séries les plus populaires des années 80. Et tout le monde a tendance à affirmer connaître la série, et à se moquer d’elle. Et moi, j’ai envie de la défendre. Oui, c’est vrai, en terme d’exposition de naïades en maillots de bain, la série se posait là. Surtout que les intrigues étaient parfois trop minces pour durer véritablement les 40 min de l’ épisode, et donc il arrivait souvent qu’on meuble avec des clips sexys ou des courses au ralentis filmant les actrices à leur avantage. Oui, c’est vrai, David Hasselhoff, un des producteurs de la série, interrogé sur le côté très sexy de la série, avait dit : “ pour vendre du jus d’orange, on n’hésite pas à montrer de belles oranges ? Ben moi je fais pareil. “


Les atouts charme de la série : Erika Eleniak, Pamela Anderson, Yasmine Bleeth, Nicole Eggert, Gena Lee Nolin, Donna D’Errico, Traci Bingham, Carmen Electra et d’autres encore côté filles, et David Charvet, Kelly Slater, David Chokachi et d’autres encore côté mecs.
Acapulco H.E.A.T. / Agence Acapulco :

Les raisons d’y jeter un œil, quand même – la Saison 1 : Agence Acapulco (Acapulco H.E.A.T.) est une série télévisée américaine en 48 épisodes de 42 minutes, créée par Max A. Keller et Micheline H. Keller. Coproduction internationale, la série fut produite en partie par et pour M6 qui la multi-rediffusa. Le concept : une série exploitant un des éléments de Baywatch, multiplier les plans sur la plage et les images de filles en bikini. Mais puisque cela ne suffit pas, il fallait un autre élément. Aux histoires dramatiques, ont succédé des histoires assez basiques d’espionnage. Car dans la série, Acapulco est la base d’opération de nombre terroristes, trafiquants, espions que l’équipe se doit de mettre hors-d’état de nuire. Du coup, on avait une série d’espionnage du pauvre (“pauvre” faisant référence au soin apporté aux intrigues) avec un peu d’action, quelques gunfights, et un côté sexy particulièrement marqué. La série ne dura que le temps d’une saison (dans un premier temps), mais proposait un casting sympathique et des personnages attachants. L’équipe avait deux chefs à sa tête, Ashley Hunter-Coddington, interprétée par Catherine Oxenberg, et Mike Savage, interprété par Brendan Kelly. Dans l’équipe, des gros bras, avec entre autres Nicolas Worth et Randy Vasquez, et côté filles sexy, Holly Floria et surtout Alison Armitage dans le rôle d’une ex-voleuse, Catherine “Cat” Pascal. La saison 1 confronta l’équipe à un Big Bad que l’on découvrait en début de saison pour le retrouver à la fin, Neil Strake.

11:23 Publié dans Intégrales (séries d'une saison ou plus, oubliées | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cul, seins, histoire de la télévision, histoire des séries télévisées, baywatch, alerte à malibu, david hasselhoff, pamela anderson, carmen electra, agence acapulco, alison armitage, sexy



