Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 11 août 2010

Doctor Who : review de "The End of Time, part. 1 & 2"

Je ne l'avais pas encore postée, donc je le fais aujourd'hui. La review du grand final de l'ère Davies-Tennant. Je dois dire que je n'ai pas procédé comme d'habitude, où ma review est écrite au moment du visionnage. J'ai préféré laisser se dérouler le spectacle, en profiter à fond, pour laisser les émotions me submerger. Je peux déjà vous dire que je n'ai pas pu résister à la tentation, et que j'enchaîne en ce moment les épisodes de la Saison 5, avec Matt Smith et Karen Gillan. Et que dire... Doctor Who reste Doctor Who, Smith, dans un style légèrement différent, fait tout de même un très bon Docteur, mais ce n'est pas Tennant. Tout comme Karen Gillan, qui fait une compagne assez fragile en apparence, mais déterminée. Mais n'est pas Rose.

DW RS4 3.jpg

The End of Time, part. 1 (Special Christmas 2009)
Sc : Russell T. Davies. R : Euros Lyn.
DW EOT 1.jpgNoël 2009. Suite des dernières minutes de "Waters of Mars" ; suite de l' ép. 3.13 "Last of the Time Lords". Les humains font de mauvais rêves. Des cauchemars. Signe d'une catastrophe prochaine. Le grand-père de Donna Noble, Wilfred Mott, guidé par on ne sait quelle présence, se rend dans une église. Il découvre sur l'un des vitraux... un TARDIS représenté. Une dame s'approche de lui, et lui raconte la légende de la Boîte bleue. Puis la dame disparaît. Et il est pris de visions. Le Docteur, de retour de vacances, se rend sur la planète des Oods, et revoit le Ood Sigma. Il a rendez-vous avec le destin. Il constate les progrès du peuple Ood, un peuple ayant bien trop vite évolué pourtant par rapport à leur stade normal. Participant à une méditation de Oods, il souffre soudain des mêmes visions que Wilfred. Car une partie du Maître a survécu. Mais  les Oods le retiennent : ils voient le temps, car le temps saigne. Et se profile à l'horizon du destin la Fin du Temps. Le Docteur fonce alors vers son TARDIS pour rejoindre la Terre. Pendant ce temps, Mme Saxon a la surprise d'être confrontée à des servantes du Maître. Celles-ci ont prévu de ressusciter le Maître. Ce qui se produit. Mais Lucy avait pris les devants et d'après les livres de Saxon, prévu de quoi l'arrêter, se sacrifiant par la même occasion. Le Docteur arrive malheureusement trop tard. Ailleurs, un père rassure sa fille : Noêl disparaîtra. Puis il demande aux scientifiques qui travaillent pour lui d' ouvrir un portail.

DW EOT 2.jpgPendant ce temps, le grand-père de Donna réunit les troupes, c'est-à-dire tous ses amis vieux, pour leur demander de retrouver le Docteur. Car tous ont eu des cauchemars, et ont besoin du Docteur. Pendant ce temps, le Maître est toujours vivant, ayant échappé à l'explosion. Et est désormais dôté de super-pouvoirs. Il appelle le Docteur, sachant qu'il tente de le retrouver, faisant résonner le tambour 4 fois. Le Docteur retrouve le Maître, mais celui-ci s'enfuit. Puis c'est Wilfred et ses amis âgés qui retrouvent le Docteur. Le Docteur et Wilfred Mott refont connaissance. Le Docteur se demande pourquoi Wilfred Mott est connecté à lui, pourquoi il l'a retrouvé si rapidement. Et lui apprend que seon une prophétie, sa mort est proche. L' occasion de revoir de loin Donna, désormais fiancée. Le Docteur fait part de sa grande solitude. La nuit venue, le Docteur retrouve le Maître. Un Maître toujours aussi fou, qui entend des bruits dans sa tête. Une force appelle appremment le Maître. Puis des commandos armés le kidnappent, sans que le Docteur puisse l'empêcher. Wilfred, alors que la famille Noble fête Noël, revoit la dame de l'église. Celle-ci le contacte car il devra prendre les armes et se battre. Afin de sauver le Docteur. Celui-ci se montre, le Docteur ayant pensé à lui pour l' aider. Mais sa présence affole la mère de Donna. Wilfred préfère alors accompagner le Docteur.
DW EOT 3.jpgMon avis : On respire, le Docteur est de retour... Avec sa légèreté, loin du Docteur plus noir devenu à la fin de "Waters of Mars". Tant mieux, je n'aurais pas aimé rester sur ce Docteur là. Le ton de l'histoire, de façon générale, se veut également plus léger, loin de la noirceur de l'histoire précédente. Et un personnage inattendu, secondaire, après être resté dans l'ombre, se voit upgradé au rang de compagnon d'infortune : Wilfred Mott, le grand père de Donna. Qui confirme ce que l'on pouvait soupçonner : les vieux (oui, les personnes âgées qui vous bloquent à la caisse du supermarché, ou demandent que vous leur laissiez la place dans le bus) fonctionnent en réseaux de renseignements, ave leurs différents contacts ! Une première partie très hollywoodienne, avec bon nombre de scènes-cultes, qui constitue une excellente première partie, au dénouement... surprenant, et totalement dans l'esprit de la série. Le retour du Maître est un peu tarabiscoté (au niveau de sa résurrection), mais c'est un choix pertinent. Sa présence a toujours ajouté une dimension tragique, le Docteur ne parvenant pas à le haïr, et souhaitant le garder en vie, puisqu'il est le seul autre Time Lord encore en vie. Et puis il aurait été difficile de faire revenir une nouvelle fois les Daleks ou les Cybermen...

DW RS4 5.jpg

The End of Time, part. 2 (Special Christmas 2009)
Sc : Russell T. Davies. R : Euros Lyn.
DW EOT 4.jpgSuite directe de la première partie. La situation est catastrophique : le Docteur est désormais captif du Maître, de même que Wilfred. Et la race humaine n'existe plus, puisque tous les Humains, à l'exception de Donna Noble, sont devenus... le Maître ! Donna, dont les événements entraînent le retour de ses souvenirs, neutralise les doubles du Maître : le Docteur l'avait dôté d'un système de défense pour la protéger, au cas où un tel cas se produirait. Sur Gallifrey, les Times Lords sont prêts à faire leur grand retour, menés par le Président. Un être sans pitié, qui appréhende plus que tout de mourir. Et qui est prêt à tout pour que cela n'arrive pas. Il donne l'ordre d'envoyer un signal vers la Terre, qui pourra les guider. Sur Terre, dans le Manoir, un sauvetage a lieu : les deux savants à tête de cactus qui étaient sous couverture sauvent le Docteur et Wilfred, et tous les 4 se téléportent à bord de leur vaisseau. Que le Docteur neutralise, alors que ses sauveurs voulaient s'enfuir. Ce qui permet de leur sauver temporairement la vie. Mais le Docteur n'a pas prévu de plan B, et ne sait pas quoi faire ensuite. Il se décide à réparer les systèmes du vaisseau. Et de retourner sur Terre attaquer le Maître ! Une fois arrivé sur place, le Docteur saute du vaisseau pour se retrouver nez-à-nez avec le Maître, mais également les Time Lords, arrivés sur place grâce à un portail dimensionnel. Dans l'espace, apparaît Gallifrey.

DW EOT 5.jpgLe but des Time Lords est de s'emparer de la Terre pour en faire la nouvelle Gallifrey. Le Président des Time Lords retransforme les humains, et le Docteur doit choisir : s'opposer aux Time Lords, ou au Maître. Qui a tenté de rallier les Seigneurs du Temps, en vain. Le Maître se retourne alors contre eux, éliminant le Président grâce à ses pouvoirs. Tout semble bien finir, mais Wilfred s'est sacrifié pour sauver un des savants. C'est au tour du Docteur de se sacrifier pour lui : il absorbe une dose massive de radiations, ce qui le condamne à plus ou moins long terme. Il choisit alors de consacrer ses derniers instants à revoir ses compagnons de route, une dernière fois...
Mon avis : Et voilà, la fin de l'ère Tennant, et celle de Davies également, est venue... Difficile de rester de marber devant un tel spectacle au dénouement terrible. Pleins de bons moments agrémentent le final, léger au début. Le sauvetage du Docteur ( " Worst. Rescue. Ever. "), la remise en route du vaisseau, le fameux Allons-y inattendu, les clins d'oeil à Star Wars... Avec un dénouement un peu facile de l'intrigue générale, et une déception par rapport à ce qui était annoncé par de bien grands mots. Comme d'autres, difficile de ne pas souligner la performance incroyable des acteurs lors de ce grand final : Tennant, excellent, John Simms, brillant dans le rôle du Maître, et un Timothy Dalton absolument parfait en Président des Time Lords, monstre de colère qui craint la mort pire que tout...
DW EOT 6.jpg Et puis vient l'instant des adieux, puisque tout a une fin : le Docteur qui visite les uns après les autres ses compagnons d'aventure... Des moments sublimes d'émotions. Même Rose n'est pas oubliée, le Docteur lui rendant visite avant qu'elle ne rencontre sa 9ème incarnation. Encore une fois, je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer devant cette scène. Et l'émotion me gagne rien qu'en y pensant. Doctor Who est une série cruelle : à chaque rencontre, il y aura une séparation. A chaque nouveau Docteur, on est condamné à le voir abandonner le rôle pour être remplacé par un autre, mais croire que l'on a toujours le même personnage devant nous.
Et c'est une série importante : elle aide à la fois les enfants à grandir, et les adultes à retrouver une part de leur enfance.

" This is my ship, and you're not moving it. Step away from the wheel !
- There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need.
- What's that, then ?
- Allons-y !! "

Le Docteur, à Addams ("The End of Time", part. 2).

DW RS4 4.jpg

lundi, 02 août 2010

Doctor Who : review des épisodes 4.10 "Midnight" et 4.11 "Turn Left"

DW RS4 1.jpg

4.10 : Midnight
Sc : Russell T. Davies. R : Alice Troughton.
DW 410 1.jpgÉp. bottle-show. Alors qu’ils sont en visite sur la planète Midnight, Donna Noble se relaxe dans un centre de cure. Le Docteur essaie au téléphone de la convaincre de le rejoindre, en vain. Le Docteur se retrouve ensuite à prendre… l’avion (?), comme n’importe quel passager ordinaire, gratifiant même au passage l‘hôtesse de l‘air s‘occupant des passagers de son traditionnel «  Allons-y ! ». La question est… Sommes-nous dans un avion ordinaire ? Difficile de le croire, lorsque l’hôtesse fait fermer les hublots, de sorte que les passagers ne voient pas ce qui se passe à l’extérieur lors du décollage. Le trajet devrait durer 4 heures, et les passagers ont à bord de quoi se distraire à coups de grands classiques musicaux ou cinématographiques. Mais le Docteur coupe discrètement le programme, et propose aux passagers de faire connaissance.

DW 410 2.jpgMais au xours du trajet, survient un problème apparemment mécanique. Le Docteur, assiste les conducteurs, et découvre avec eux une cité… de diamant. Les passagers s’inquiètent, mais le Docteur rétablit le calme. Jusqu’ à ce qu’on frappe aux parois du véhicule. Comme d’habitude, le Docteur prend les choses en main pour rassurer les passagers. L’une d’entre eux semble possédée, après que les bruits se soient rapprochés d’elle. Elle se met alors à répéter tout ce qu’on dit. Puis, après le rétablissement du courant, elle prononce les mêmes paroles que les passagers… exactement en même temps ! Puis la peur gagne doucement les passagers, qui se retrouvent prêts à tuer la passagère possédée, malgré les avis du Docteur. Les passagers finissent par se retourner contre lui, ne comprenant pas qui il est. Puis la passagère ne répète plus que les paroles du Docteur. Avant de redevenir elle-même, la créature la possédant étant apparemment passée dans le Docteur…
DW 410 3.jpgMon avis : Retour aux affaires et au scénario pour Russell T. Davies. L’épisode commence doucement, sans proposer de situation d’urgence à laquelle serait confronté le Docteur, comme c’est souvent le cas. Tennant est toujours formidable, mais ça, on en a l’habitude, je pourrais le dire à chaque épisode. L’épisode commence comme une comédie, mais donne la part belle au Docteur, Donna Noble, pour une mystérieuse raison (probablement le tournage de l‘épisode suivant pour Catherine Tate), est complètement évacuée de l‘ histoire ! L’épisode peine à démarrer et à raconter quelque chose de réellement intéressant, ne proposant qu’un pauvre bottle-show (l’action se déroule dans quelques décors seulement) Là encore, on devrait en avoir l’habitude, les épisodes précédant de peu le final de chauqe saison ne sont pas les plus intéressants. On a donc un épisode dans lequel il ne se passe quasiment rien, dont le suspense est construit à l’aide de la B.O. qui rappelle étrangement celle de  LOST. Seul fait marquant, pour UNE fois, on a un Docteur totalement démuni et impuissant qui ne peut rien contre l’entité extraterrestre de l’épisode, et dont le charme naturel qui lui permet habituellement de mettre tout le monde dans sa poche… ne fonctionne plus ici. Un épisode inutile, donc, mais la B.A. du prochain épisode annonce… le retour de… Rose Tyler !!! Du coup, on peut pardonner cet écart dans l’histoire du Docteur.

4.11 : Turn Left
Sc : Russell T. Davies. R : Graeme Harper.
DW 411 1.jpgLe Docteur et Donna Noble visitent un marché asiatique, passant du bon temps ensemble. Mais Donna s’éloigne du Docteur alors qu’il marchande. Elle se laisse entraîner dans la boutique d’une voyante. Et revit certains moments de son passé récent. Ceci était évidemment un piège : la voyante l’invite à changer un choix déterminant de son passé, tourner à droite plutôt qu’ à gauche. Puis Donna se voit à une fête avec ses amies, une fête proche de Noël. Un vaisseau en forme d’étoile apparaît alors dans le ciel, commençant à attaquer les villes. Un soldat de l’ UNIT contacte un de ses supérieurs de la mort du Docteur sous les yeux de Donna. Celle-ci est abordée par une jeune femme blonde bien connue… Rose Tyler !

DW 411 2.jpgLondres est frappé par une nouvelle catastrophe, donc, et tout le monde montre quelque sollicitude, excepté Donna, qui semble indifférente à tous ces morts. Le soir venu, elle sort se promener, et retombe sur Rose Tyler. Celle-ci connaît son nom. Le lendemain, Donna et sa famille partent se reposer en vacances. Une nouvelle catastrophe survient, frappant à nouveau l’ Angleterre : le Ttanic spatial, vu dans le Spécial Christmas « Voyage of the Damned » s’écrase sur Londres. De retour à Londres, Donna, sa mère et son grand-père se retrouvent à vivre dans une cuisine, partageant un foyer avec une autre famille. Tout va de mal en pis dans l’univers de Donna. Le soir venu, après une veillée, dérangés par des militaires faisant régner la loi martiale, Donna s’éloigne pour rencontrer une nouvelle fois Rose Tyler. Celle-ci lui parle du Docteur, du destin de compagne du Docteur qu’elle aurait dû avoir. Et d’une menace imminente. Et de sa mort prochaine. Le soir suivant, Donna accepte son destin, et de suivre Rose Tyler dans une base de l’UNIT. Rose l’invite à visiter le TARDIS. Un TARDIS mourant. Puis vient le temps de comprendre les changements de ce nouveau monde : une bestiole géante, en forme de cafard, s’est attachée au dos de Donna. Le plan est de la renvoyer dans le passé. Et de la faire rencontrer le Docteur, annulant ainsi du coup cette réalité parallèle. Mais Rose la prévient qu'elle finira tout de même par mourir... Mais Donna ne remonte pas au bon endroit ni au bon moment dans le temps...
DW 411 3.jpgMon avis : Antépénultième (avant-avant dernier) épisode de la saison 4. Encore une fois, le scénario est de Russell T. Davies, et l’épisode commence mal, ressemblant à un vulgaire clip-show, alors que la série nous avait habitué à mieux. Puis on a droit à une réalité parallèle, et on est à nouveau happé par l’univers du Docteur. Incroyable, un frisson m’a parcouru le corps alors que réapparaissait la plus géniale des compagnes du Docteur, Rose Tyler. Un épisode nimbé de mystère, où on assiste plutôt à un ensemble de clins d’œil à destination des fidèles, devant le nimbre de références à l’univers du Docteur qui se succèdent, mais qui tarde à présenter ses enjeux. Cette fois, c’est Donna Noble qui se retrouve au cœur de l’épisode. Après un épisode très « Twilight Zone », on se retrouve avec un épisode intimiste qui donne l’occasion à Catherine Tate de développer toute une palette d’émotions. Donc un épisode qui sacrifie à l'émotion : le retour de Rose Tyler, ce qu' a apporté au monde l'existence du Docteur, une sorte d'hommage à l' ère Russell T. Davies. Un bel épisode, qui souffre d'avoir mis trop longtemps à poser ses enjeux. Mais l'émotion de certaines scènes n'en est qu eplus forte.
Avec un superbe parallèle, Rose Tyler ayant remplacé le Docteur : elle introduit Donna à l'univers du Docteur, et utilise son nom comme "code" d'une confiance absolue. Idem, le même frisson m'a parcouru le corps à la révélation des deux noms répétés au Docteur, auxquels je ne m'attendais pas.

Un épisode qui est également un paradoxe en soi : censé nous montrer l'importance de Donna, pour le Docteur et l'univers, même, ce fait est quelque peu mis de côté quand on a d'yeux que pour Rose Tyler dont l'épisode marque le grand retour...

Bilan de la Saison 4 : Même si la saison n'est pas encore terminée pour moi, 2 épisodes restant à voir, j'ai pensé proposer un bilan de cette saison, ce que je n'avais pas fait pour les autres. Pour moi, la Saison 4 est malheureusement la plus faible et la plus décevante. Elle ne compte pas véritablement d'épisodes marquants. Pas d'épisodes mettant en scène les Daleks, ce qui n'est peut-être pas un mal, finalement, une saison sans eux. Mais le problème est qu'ils n'ont pas vraiment trouvé d'équivalent en terme de "grands méchants" du Docteur. (je n'ai pas trop aimé les Santarans). En fait, beaucoup de bonnes idées sur le papier n'ont pas tenu leurs promesses à l'écran : introduire la fille du Docteur (oui, et alors ? ), reprendre la géniale Catherine Tate pour en faire la nouvelle compagne, une compagne malheureusement un peu délaissée, devant partager la vedette avec des compagnes du passé ou du futur, comme Martha Jones ou River Song. Une saison à-demi loupée, donc, avec en plus des mécanismes qui commencent à devenir lassants : l'épisode avec une figure historique, l'épisode avec un cas de possession... Heureusement, il y a le final, comme toujours dantesque, avec ce retour inespéré, mais c'est comme si la saison entière avait capitalisé sur ce retour, laissant traîner les choses.

" Sometimes I think there's way too much coincidence around you, Donna. I met you once, then I met your grandfather, then I met you again. In the whole wide universe, I met you for a second time. It's like something's binding us together. "
Le Docteur, à Donna (ép. 4.11 "Turn Left").

DW RS4 2.jpg