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dimanche, 29 août 2010

SLIDERS : bilan de la Saison 4

Cet été, suite à la sortie de la saison 5 en DVD, j'ai voulu visionner la fin de la série Sliders. Du coup, j'ai commencé une sorte de mi-intégrale de la série, recommançant mon visionnage après la mort d'Arturo. C'est là que j'en étais resté personnellement la dernière fois, et tout a été dit sur les 2 premières saisons, ainsi que sur l'évolution au sein de la saison 3. Du coup, cette note traitera surtout de la Saison 4, que j'avais finalement peu vu, la dernière pour Jerry O'Connell / Quinn Mallory, et donc du coup la dernière saison de la série diffusée par M6.

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Précédemment dans Sliders : Le dernier épisode de la saison 3 clôt l'influence de la Fox grandissante sur la série, qui a beaucoup perdu du départ de John Rhys Davies, départ ayant suivi celui des créateurs de la série, Robert K. Weiss et Tracy Tormé. Il marque la fin de l'arc Rickman, le militaire renégat que traquaient les Glisseurs à travers les différents mondes. Les scénaristes à l'époque ont pensé que la quête du retour à la maison, sur la Terre d'origine, ne suffisait plus, et ont donc imaginé donner un ennemi récurrent à l'équipe, ce qui manquait à la série. Mais le dernier épisode conserve l'approche qui a gangrené la fin de la Saison 3 : confronter les Glisseurs à une série de périls échappés de films d'horreur de série Z. Dans le cas présent, nos amis découvrent un mauvais remake de L'Île du Dr Moreau, ainsi que des créatures mi-animales, mi-humaines. Il était temps que le massacre s'arrête. L'épisode se termine sur un cliffhanger : Maggie et Quinn se retrouvent dans un monde futuriste, séparés de Wade et Rembrandt.

Bon alors, qu'est-ce qui change ? :
La Saison 4 débutera sur Sci-Fi, qui a racheté la série, et poursuivra la série en tenant compte à moitié de ce cliffhanger. Maggie et Quinn glissent tous les 2 depuis 3 mois, à la recherche de leurs amis, sans avoir pu les retrouver. Au passage, Maggie a vu sa personnalité évoluer, et affiche désormais une nouvelle coupe de cheveux, étant désormais brune. Ils reviennent sur la Terre d'origine, mais celle-ci est ravagée, ayant fait l'objet d'une guerre. Car les scénaristes ont décideé de donner aux Glisseurs à nouveau un ennemi récurrent, et de construire une nouvelle mythologie à la série. Ainsi, ils finiront par retrouver Rembrandt, profondément affecté et diminué. Et pour cause, celui-ci a fait l'objet de tortures (qu'on imagine physiques et mentales) de la part des Kromaggs, les ennemis vus en fin de Saison 2, dans un épisode particulièrement sombre qui trnachait déjà avec ce que proposait Sliders à ses débuts. Quant à Wade, elle a été emmenée ailleurs, dans un autre camp, et ne sera pas retrouvée. Les Glisseurs, curieusement, en feront assez vite leur deuil, et ne partiront jamais à leur recherche ou la mentionneront à peine dans le dialogue. En coulisses, Sabrina Lloyd, qui se disputait avec Kari Wuhrer, aurait fini par poser un ultimatum à la production : c'était elle ou Kari. Les producteurs ont préféré garder la babe. A noter que la belle sera particulièrement bien servie en tenues sexy ou metant son anatomie en valeur...

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Pour cette nouvelle saison, donc, les Glisseurs ne sont dans un premier temps plus que 3, mais puisqu'une mystérieuse loi à décrété que les Glisseurs devaient être 4 (ce qui permet des interactions 2 + 2), il faut un nouveau membre à l'équipe. Jerry O'Connell, devenu producteur de la série, pistonne son frère, qui a déjà fait quelques apparitions dans la série, et Quinn mallory retrouvera son propre frère Colin au 6ème épisode de la saison. Car dans le season premiere, on réinvente les origines de Quinn, façon Superman : celui-ci aurait été en réalité adopté par les parents qu'on lui a connus précédemment, envoyé sur la Terre de Rembrandt par ses parents, des scientifiques en lutte contre les Kromaggs, qui auraient choisi cette solution pour sauver leurs fils. Et Colin, malheureusement, a été envoyé dans un monde Amish. Du coup, suite aux retrouvailles, on a droit à un humour "Visiteurs" (le film de Jean-Marie Poiré, avec Christian Clavier et Jean Reno), avec le neuneu qui découvre les nouvelles technologies, comme la télévision. Heureusement, cela ne dure pas toute la saison. Mais du coup, aussi, il n'y a plus que Rembrandt qui aura de réelles raisons de retrouver sa Terre. Personnellement, ce rebondissement idiot pour imposer une nouvelle "mythologie" à la série m'avait fort déplu à l'époque, et c'est un peu encore le cas maintenant...



Bon alors, pourquoi tu glisses ?
Du côté de la série en elle-même, 2 tendances majeures : les scénarios faisant appel à la S-F sont de retour, et cela fait du bien. De nombreux épisodes mélangent différents niveaux de réalité, à la façon de Matrix ou de Inception. Mais le manque de moyens se fait parfois sentir, on voit que la série ne passe plus sur la même chaîne et a un budget moins important. Du coup, beaucoup d'épisodes se déroulent dans le même coin de rue, à proximité de l'Hôtel Chandler, voire carrément à l'intérieur. On perd en décors naturels, avec beaucoup de scènes qui se déroulent en intérieur. Donc au niveau des histoires, Sliders redevient une série S-F, et on retrouve un peu du charme des premières saisons, même si cen'est pas encore cela. A noter aussi, le retour de la critique sociale, mais qui est parfois paresseuse : certains épisodes font appel de manière caricaturale à des civilisations craignant la technologie, la voyant comme quelque chose de maléfique. Mais on nous a trop souvent fait le coup, Stargate SG-1 en tête, et cela ne fonctionne plus... On tente de faire comme lors des premières saisons, sans réellement y parvenir. Un épisode consacre l'essentiel de son histoire à la mode galopante des talk-shows. Mais il est surtout prétexte à mettre en vedette Charlie Brill, le commissaire déjanté des dernières saisons des Dessous de Palm Beach, qui avait été pour une bonne part dans le changement de ton de cette série. Le personnage qu'il interprète a d'ailleurs le même nom : Lipschitz. Est-ce pour attirer les fans de l'autre série ?

Du côté des Glisseurs, donc, on ne sait plus trop vraiment pourquoi ils glissent. Un coup, c'est pour retrouver les parents de Quinn et Colin, un autre c'est pour prévenir des mondes du danger des Kromaggs... Qui apparaissent et disparaissent au gré des épisodes. Pour imposer une métaphore nazie, grand classique de la S-F là aussi, guère originale. Le Minuteur leur permet d'ailleurs de glisser un peu dans tous les sens, puisqu'il est capable de retrouver les coordonnées d'une Terre déjà visitée. Reste la fameuse nécessité de glisser avant le décompte final.

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Donc quel bilan en tirer ? :

La Saison 4 est dans l'ensemble une bonne saison, donc, avec quelques fois de très bons épisodes, mais avec également des passages où l'on s'ennuie. Mais en tout cas, ce n'est plus la consternation devant les idioties de la Saison 3. Mais en la revoyant, on se rend compte que Inception n'a finalement rien inventé, et a beaucoup emprunté. Et un chef-d'oeuvre : un épisode Western très bon, l'un des meilleurs épisodes de la série, à voir et revoir. Comme quoi... Dommage que les scénaristes aient trop souvent tombé dans une certaine paresse et une certaine facilité. Comme dans le dernier épisode de la saison, où il ne se passe pas grand chose, au point que l'action commence vraiment au bout d'un quart-d'heure au moins, et qui n'a comme seul mérite que de faire participer deux sympathiques guest-stars, la belle Kristanna Loken, et Jerry Hardin, le Gorge Profonde la première saison d'X-Files.

mardi, 24 août 2010

LOST : review de l'épisode 1.06 "House of the Rising Sun"

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1.06 : House of the Rising Sun
Sc : Javier Grillo-Marxuach. R : Michael Zinberg.
LOST 106 1.jpgJin & Sun. Suite des épisodes précédents. Sur la plage, un groupe composé de Charlie, John Locke, Kate et Jack s'organise pour aller chercher de l'eau. Sun assiste aux événements de loin. Soudain, sans réelle explication, Jin s'en prend à Michael et le frapper brutalement, sous les yeux de son fils Walt. Très vite, les deux hommes sont séparés. Jack conduit le petit groupe à l'endroit qu'il a découvert, où se trouvent d'autres débris de l'appareil.Locke découvre alors le secret de Charlie. Jack et Kate, séparés de Locke et Charlie, font une macabre découverte : deux squelettes désséchés, avec deux pierres, une blache et une noire. Pendant ce temps, Sayid tente de tirer la dispute au clair : mais Michael se défend d'avoir fait quoi que ce soit pour provoquer Jin. Dans la clairière, Jack a une idée : cela serait le lieu de vie idéal pour les survivants. Suite à la dispute, Michael et Walt essaient de se connaître davantage : les relations entre le père et le fils restent difficiles. De retour sur la plage, Jack et Kate apprennent la dispute entre Michael et Jin. Jack fait part de son projet d'installer les surivants dans la clairière, mais Sayid voit d'un mauvais oeil le fait que Jack semble prendre des décisions sans consulter personne. D'autant plus que s'ils quittent la plage, ils pourraient manquer les secours envoyés pour les sauver. Sun, qui en réalité parle et comprend l'Anglais, décide d'aller parler à Michael, qui a en fait récupéré la montre de Jin sans savoir qu'elle lui appartenait. Michael met alors les choses au point avec Jin. Locke souhaite tenter d'aider Charlie à décrocher, en lui montrant que l'Île peut être généreuse...
LOST 106 2.jpgFlashbacks (Sun) : Sun se revoit, princesse, succomber au charme de Jin, qui ne vient pas du même milieu qu'elle. Celui-ci se faisait passer pour serveur afin de pouvoir l'approcher. Elle se souvient également le jour où elle apprit que son père avait accepté de donner sa main à Jin. Mais alors qu'elle vit avec lui, elle comprend que quelque chose cloche quand Jin nettoie un soir du sang sur ses mains. Elle comprend alors que Jin, pour avoir la main de Sun, a dû accepter de devenir un homme de main pour son père. Peu de temps après, elle se revoit, après avoir pris des leçons d'Anglais, concrétiser son projet de fuir Jin et son père. Et elle se revoit, arrivée au moment du choix crucial, suivre finalement son mari, qu'elle n'a pu se résoudre à abandonner...
Guide Musical : La chanson entendue dans cet épisode est "Are You Sure" par Willie Nelson.
LOST 106 3.jpgInfos sur les personnages : On apprend que Sun sait parler Anglais.
Boone (Ian Somerhalder), Shannon (Maggie Grace) et Claire (Emile de Ravin) n' apparaissent pas dans cet épisode.
Mon avis : Un épisode qui s'attarde cette fois à développer les relations autour de certains couples-clés de la série : Michael et Walt, Kate et Jack, Sun et Jin, Charlie et Locke. Un épisode un peu plus mou que les précédents, qui continue de mettre en place quelques mystères, comme le couple de squelettes. Cette fois, on s'attache plus particulièrement à deux personnages qui faisaient surtout partie du décor, destinés à mettre en avant un certain racisme sous-jacent. Les flash-backs de Sun ne sont guère passionnants. La série se poursuit donc sur sa lancée, mais accuse un petit coup de mou. Normal, quand le ton se fait un peu plus intime. Mais la scène entre Locke et Charlie, quand Locke montre au jeune homme que tout est possible sur l'Île, est absolument géniale, et magnifiquement interprétée.

" Tu ne jugeais pas utile de nous consulter avant de fonder ta propre civilisation ? "
Sayid, à Jack (ép. 1.06 "House of the Rising Sun").

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lundi, 23 août 2010

LOST : review de l'épisode 1.05 "White Rabbit"

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1.05 : White Rabbit
Sc : Christian Taylor. R : Kevin Hooks.
LOST 105 1.jpgJack Shepard. Suite de l' épisode précédent. Jack se réveille brutalement réveillé par des cris. Une jeune femme est en train de se noyer. Mais quand il plonge pour la retrouver, et arrivé à sa portée, c'est Boone qu'il sauve des eaux. Tandis que la jeune femme est encore plus loin. Puis, après cette tentative de sauvetage, Jack culpabilise. Et semble voir son père sur la plage. Sun fait part de ses inquiétudes à Jin, son mari. Elle pense que personne ne viendra les sauver finalement. Sur la plage, Kate et Claire font plus ample connaissance. Hurley et Charlie font part à Jack que les bouteilles d’eau restantes devraient être rationnées, et qu’elles ne suffiront probablement pas. Puis c’est au tour de Boone de confronter Jack. Si Hurley et Charlie reconnaissent en lui naturellement leur leader, ce n’est pas son cas. Mais la discussion est interrompue car Jack a une nouvelle vision de son père, cette fois dans la jungle. Il court à sa poursuite, voulant en avoir le coeur net. Et il finit par le retrouver en pleine jungle. Jack n’en revient pas. Pendant ce temps,  Claire est victime d’un étourdissement. Kate s’occupe d’elle, et Charlie découvre que les dernières bouteilles d’eau ont disparu. Informé de la situation, John Locke décide de partir à la recherche de Jack, lui-même à la recherche de son père. Etourdi, hagard, hanté par les souvenirs et le rapport douloureux qu’il entretenait avec lui, Jack finit par tomber au bord d’une falaise. Heureusement, John Locke l’a retrouvé à temps. Sur la plage, Charlie veille sur Claire. Tous deux continuent de s’interroger sur John Locke. Concernant le vol de l’eau, les soupçons s’orientent assez naturellement et rapidement vers Sawyer, qui est devenu en quelque sorte le commerçant de l’ïle. Par la force des choses, tous finissent par prendre ou se voir attribuer un rôle... Jack et Shepard se remettent de leurs émotions et se confient l’un à l’autre. Pour Locke, l’Île est « spéciale », et tous le ressentent inconsciemment. Puis Locke abandonne Jack, afin de trouver de l’eau, et pour que Jack puisse finir ce qu’il a commencé.

LOST 105 3.jpgLorsque la nuit vient, Jack retrouve au milieu de la jungle encore des débris de l’appareil, et le cercueil de son père... vide... De rage, Jack détruit le cercueil. Sur la plage, on découvre que c’est Boone qui avait les bouteilles d’eau. Sur le point d’être lynché, il est sauvé par l’intervention de Jack, qui, après 6 jours sans l’ombre d’ un seul secours, décide d’organiser la vie sur l’ïle. Et assume enfin son rôle de leader...
Flash-backs (Jack Shepard) : Jack se revoit enfant, victime d'une bagarre à l'école. Puis face à son père, qui lui demande de ne pas jouer les héros ou les sauveurs. Car pour lui, Jack n’a pas les tripes pour ça. Jack se revoit ensuite adulte, confronté à sa mère qui lui demande de le ramener à la maison, alors que les ponts semblent avoir été rompus entre les deux hommes. Mais sa mère l’accable, et Jack finit par accepter. Mais son père est en Australie. Sur place, il a du mal à retrouver son père. Jack se revoit enfin identifier son père, mort, à la morgue. Les difficultés à faire embarquer son corps dans l’avion qui devait les ramener tous deux à Los Angeles.
Les références de l'épisode : Le titre original fait référence au lapin blanc qui emmène Alice au « Pays des Merveilles » dans le conte pour enfants écrit par Lewis Carroll. Le lapin blanc après lequel court Jack, en l’occurrence, c’est son père.
Sawyer donne à Kate le badge du marshall mort ; elle est le nouveau sheriff en ville.
LOST 105 2.jpgMon avis : Après un premier épisode nous introduisant l'univers de la série et ses principaux personnages, et des focus sur Kate et sur John Locke, on revient sur Jack Shepard. Pour le coup, on a droit à un début d'épisode à la fois surprenant et fidèles aux épisodes précédents (!) : l'épisode s'ouvre en effet sur un oeil qui s'ouvre, mais c'est celui d'un 'moi' passé d'un des personnages. Avant le retour sur l'ïle. Contrairement aux épisodes précédents, on se préoccupe plus des passagers sur la plage que du passé d’un personnage. Si l’épisode semble manquer de liant, on comprend quand même que Jack est confronté au rôle de leader ou de sauveur que certains aimeraient le voir endosser, ainsi qu’une partie de lui-même. Jack s’inscrit ainsi dans une longue tradition de personnages (Cyclope, des X-Men, Kirk dans Star Trek... ), soumis au poids des responsabilités, faits pour le rôle, mais qui, dans l’ombre aimeraient être parfois être déchargés de ce poids. En plus de ce thème très classique, on a encore une fois un autre thème fréquemment employé, surtout dans les séries d’Abrams (ou de Joss Whedon) : le rapport difficile au père, à la figure paternelle, avec laquelle on se confronte. Ce sera également, curieusement, le cas de Cyclope, qui s’affranchira de la tutelle et de l’influence de Xavier. Un a donc ici un épisode psychanalitique qui ne dit pas son nom ou ne se présente pas comme tel. Pour finir, difficile de considérer les flash-backs comme chiants, puisqu’ils sont liés à ce qui se passe sur lÎle et participent à la construction des personnages. Ils sont donc indispensables, fonctionnant un peu de lâ même façon que ceux d‘Highlander...
Les surnoms de Sawyer : Sawyer appelle Shannon 'allumette', faisant référence à ses jambes.
Infos sur les personnages :  Claire se révèle passionnée d’ astrologie.
Continuité et Infos sur les personnages :  On apprend dans cet épisode le nom de famille de Jack, Shepard, qui peut être vu dans les flashbacks sur la bouse blanche de Jack. Son nom est encore répété dans l' ép. "All The Best Cowboys Have Daddy Issues".
Une citation de Worf dans  Star Trek : The Next Generation illustre à merveille le propos de l'ép. : " Selon le rite MajQa des Klingons, rien ne compte plus qu' une révélation à propos du père. Votre père fait partie de vous. Toujours. Le connaître, c'est vous connaître. C'est pourquoi, où qu' il soit, quoi qu' il ait fait, vous devez le retrouver. " Worf, à Data (ép. 6.16 "Birthright, part. I").

" (...) Tout le monde comptait sur ton père pour prendre des décisions. j'ai pu prendre ces décisions parce qu' en fin de journée, après la mort du gamin, j'ai pu me laver les mains et rentrer pour le dîner, regarder Carol Burnett à la télé en me fendant les côtes. Comment je peux faire ça ? Même quand j' échoue, comment je peux faire ça, Jack ? Parce que j'ai des tripes. Ne choisis pas, jack. Ne décide pas. Ne joue pas les héros. N'essaie pas de sauver le monde. Parce que si tu échoues... Tu n'auras pas les tripes pour ça. "
Le Dr Christian Shepard à son fils Jack (ép. 1.05 "White Rabbit").

" Vous avez besoin de finir ce que vous avez commencé.
- Pourquoi ?
- Parce qu' un leader ne peut pas diriger tant qu' il ne sait pas où il va. "
John Locke, à Jack (ép. 1.05 "White Rabbit").

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