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mardi, 28 septembre 2010

X-Files : review de l'épisode 2.15 " Fresh Bones"

review d'un seul épisode de la série, afin de ne pas couper la review du dyptique consacré à la colonie.

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2.15 : Fresh Bones
Sc : Howard Gordon. R : Rob Bowman.
XF 215 1.jpgFolkstone, en Caroline du Nord. Dans une maison d'apparence ordinaire, un couple dont le mari est militaire, et apparemment malade et souffre d'hallucinations, finit par se disputer. Le mari quitte le domicile, mais pris d'une nouvelle hallucination, se tue en emboutissant un arbre, sur lequel est gravé un étrange symbole. Mulder et Scully vont enquêter sur cette mort des plus suspectes. Le militaire tué faisait partie du détachement chargé de veiller sur un camp de réfugiés haïtiens. Lorsqu'ils arrivent sur les lieux de l'accident, Mulder montre le symbole à Scully, puis tous deux interrogent la femme de la victime. Celle-ci leur confie que travailler au camp affectait son mari, d'autant plus plusieurs morts étranges ont eu lieu. Elle leur montre également un coquillage sur lequel a été peint le même symbole que sur l'arbre. Mulder et Scully finissent par se rendre au camp de réfugiés. Sur place, un jeune garçon choisit de veiller sur les deux agents, leur vendant un pendentif censé les protéger du mauvais sort. Le responsable du camp, le Colonel Wharton, explique aux deux agents que les choses ne se déroulent pas bien au camp, où les conflits sont multiples. Les soldats doivent subir la haine des réfugiés, hostiles. Lors d'une visite à la morgue, une mauvaise farce attend le médecin légiste et Scully, lorsque le corps du marine mort a été remplacé par celui d'un animal.

XF 215 2.jpgPendant ce temps, Mulder apprend auprès d'un réfugié suspect dans l'affaire, un certain Bauvais, la signification du symbole : une porte entre les mondes. Celui-ci met en garde les deux agents. Scully refuse de donner du crédit à ces croyances. Mais sur la route, Mulder et Scully tombent sur... le Soldat McAlpin, censé être mort, de retour. Mulder soupçonne une histoire de zombie derrière cette résurrection. Au cimetière de Folkstone, Mulder et Scully découvrent qu'une tombe a été ouverte. Ils tombent sur le jeune garçon du camp, Chester Bonaparte, qui capturait des grenouilles. Ils emmènent le jeune Chester manger. Mulder confie alors à Scully qu'ils sont suivis, avant d'aller confronter le militaire les suivant. Celui-ci met en garde Mulder et Scully, leur expliquant que Bauvais a menacé les marines. Chester s'enfuit alors, et Mulder part à sa poursuite, en vain. De retour au camp, le Colonel Wharton est particulièrement mécontent d'apprendre qu'une tombe a été profanée. Mulder et Scully se demandent si les marines n'infligent pas volontairement des mauvais traitements aux réfugiés. Après un nouveau tour, vaudou, Wharton confronte Bauvais, tandis que Scully est victime d'une "tentative d'intimidation" en prenant le volant de la voiture : une branche à épines attachée au volant la pique. Plus tard, Mulder prend des renseignements auprès de X, apprenant ainsi que Wharton a perdu des hommes à Haïti, et pourrait bien utliliser le camp pour se venger. Scully retrouve le corps d'un militaire dans sa baignoire, tandis que Mulder arrête le responsable : un autre marine. Les deux agents rendent une autre visite à Mme McAlpin, qui leur confie une photo où apparaissent ensemble Bauvais et Wharton : les deux hommes se sont connus à Haïti....
XF 215 3.jpgMon avis :  Avec cet épisode, la politique entre de nouveau dans les X-Files, puisque l'épisode se déroule en partie dans un camp de réfugiés. Sujet classique pour un épisode d'X-Files, c'est au sein des rites et croyances vaudous que nous sommes ici invités à plonger pour un épisode qui se traîne quelque peu. Pas exceptionnel, sufisamment prenant pour qu'on le suive, l'épisode se révèle tout de même un peu mou. La cause étant à un épisode mal construit, aux rebondissements pour la plupart prévisibles, aux personnages quelque peu caricaturaux, à la dimension politique quelque peu envahissante. Et la dimension fantastique n'est que trop légèrement esquissée pour impressionner, et c'est dommage, car le thème choisi pouvait donner lieu à mieux. En fait, c'est l'une des principales qualités de la série qui dessert ici cet épisode : traiter sous un angle nouveau ou différent des sujets classiques du Fantastique, ou y ajouter en plus une autre dimension. Et puis la présence de (M.) X dans l'épisode est presque inutile. Habituellement, l'informateur apporte un soupçon de conspiration à l'épisode, mais ce n'est pas vraiment le cas ici. Clairement pas, donc l'un des meilleurs épisodes de la série, malheureusement. Dommage, les 8 dernières minutes de l' épisode sont particulièrement réussies.
La Guest-star de l' épisode :  Callum Keith Rennie, qui apparaît ici dans un petit rôle, participera plus tard à la série  Battlestar GALACTICA.

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dimanche, 26 septembre 2010

X-Files : review des épisodes 2.13 "Irresistible" et 2.14 "Die Hand Die Verletzt"

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2.13 : Irresistible
Sc : Chris Carter. R : David Nutter.
XF 213 2.jpgép. "MilleniuM". Une jeune fille, Jennifer, est morte, et la famille et les proches rendent un dernier hommage à la défunte. Donnie Pfaster, un employé des pompes funèbres engagées pour l'occasion, ne peut s'empêcher de couper une des mèches de cheveux du corps de la jeune femme. Son patron, qui l'a pris sur le fait, le renvoie aussitôt, le traitant de monstre. Plus tard, Mulder et Scully sont appelés sur une enquête concernant une profanation de sépulture : une tombe a été ouverte, avec à l'intérieur le corps d'une jeune femme dont on a coupé les cheveux. Mulder comprend très vite qu'ils ont ici affaire à un fétichiste. Mais son attirance pour ces trophés va bientôt encore empirer, au point de s'en prendre à des jeunes femmes vivantes, et plus eulement des corps de jeunes femmes mortes... Curieusement, Scully se montre particulièrement choquée par cette affaire. Donnie Pfaster trouve un nouveau trvail qui pourra éventuellement lui permettre de trouver de nouvelles victimes. Le soir venu, il entraîne dans son appartement une prostituée, et lui fait couler un bain. Celle-ci, trouvant Donnie Pfaster étrange, est effrayée lorsqu'elle découvre la chambre de Donnie, décorée de décorations de pompes funèbres. Le lendemain, son corps est retrouvé dans une ruelle.

XF 213 3.jpgScully, face à cette affaire, est de plus en plus choquée, et commence même à faire des cauchemars liés à cette affaire. Plus tard, un homme est arrêté, mais la police s'est trompée de suspect. Donnie Pfaster, arrêté dans le même temps pour un motif différent, ne peut s'empêcher de remarquer Scully, et surtout ses beaux cheveux roux. De retour à Washington, elle consulte un psychologue du FBI pour évoquer cette affaire. Elle avoue alors qu'elle n'a rien dit à Mulder car elle ne veut pas paraître faible face à lui. L'étude du corps d'une victime permet d'obtenir une empreinte, et la police découvre l'identité du fétichiste, mais arrive dans un appartement désert. Car Donnie Pfaster est sorti traquer une nouvelle proie, qui n'est autre que Scully...
Trivia :  Cet épisode a donné à Chris Carter l'idée et le concept de sa seconde série, MillenniuM.
XF 213 1.jpgMon avis :  Un épisode très classique de la série, et relativement efficace, qui tient en grande partie à  son ambiance si propre à la série. Point de réel fantastique ici, hormis la façon dont certains perçoivent Donnie Pfaster, vu comme un démon. Nick Chinlund, qui interprète Donnie Pfaster, se révèle particulièrement inquiétant dans le rôle, incarnant un monstre ordinaire. La scène du cimetière, où Scully et Mulder sont appelés pour enquêter sur une profanation de tombe, relève un des traits de caractères agaçant de Mulder : le fait de tout comprendre avant tout le monde, tel Sherlock Holmes. Sauf que Sherlock, lui, avait une bonne excuse. On y croit moins quand il s'agit de Mulder, sauf si l'on met cela sur le compte de sa très grande expérience dans le domaine. Les passages explicatifs sont particulièrmeent présents dans cet épisode, comme s'il fallait prendre le soin de bien expliquer cette déviance au téléspectateur. Ou se faire pardonner du manque de dimension fantastique pour cet épisode. La première partie de l'épisode n'est tout de même guère passionnante, se limitant à une banale intrigue policière, et quelques éléments clochent : on a du mal à imaginer Scully, une médecin légiste, choquée par des cheveux coupées comme elle peut l'être dans cet épisode. Toutefois, ce comportement permet de renforcer le personnage de Scully, plus sensible et touchant qu'à l'habitude, et permet à Gillian Anderson de livrer une très belle interprétation. Il s'agit d'un épisode à part dans la série, à voir comme un précurseur de ce que  MillenniuM, autre série de Chris Carter, nous donnera à voir. Un épisode en outre émailé de private-jokes semble-t-il à destination des fans : Le match de foot  diffusé à la télévision, auquel devaient assister Mulder et Scully, signale une interception par le n° 80, un joueur nommé... Chris Carter, l' origine du nom de Scully est rappelée au détour d'un dialogue, et Mulder cite Elvis.
Craquerais-tu pour moi, Mulder ? (les instants "Shipper" de l' épisode) :  Mulder profite de l'enquête pour proposer à Scully d'aller voir un match avec elle.

2.14 : Die Hand die Verletzt
Sc : Glen Morgan & James Wong. R : Kim Manners.
XF 214 1.jpgDans une petite ville des Etats-Unis, un comité de parents d'élèves se réunit, et discute de futurs projets, avant... d'invoquer un démon. En pleine fôret, un groupe de jeunes organise une messe noire, récitant une prière destinée à invoquer un démon. Une des adolescents, effrayée, s'enfuit, et sera retrouvée assassinée, étranglée. Mulder et Scully sont appelés pour enquêter sur place. Ils découvrent rapidement les restes de la messe noire, dont les pages brûlées d'un livre de sorcellerie, avant de recevoir une pluie... de crapauds. A la bibliothèque du lycée, Mulder et Scully découvrent l'identité du jeune, Dave Duran, ayant emprunté le livre, et l'interrogent. Celui-ci craint d' avoir réussi à invoquer un démon. Pendant ce temps, le comité de parents d'élèves craint lui aussi qu'un démon ne soit parmi eux. Mulder et Scully discutent rapidement avec eux, avant que Mulder ne découvrir que quelque chose cloche dans cette ville : l'eau  d' un robinet, s'écoule dans le mauvais sens.

XF 214 2.jpgAu lycée, la professeur de Sciences naturelles, Mme Paddock, une vieille femme quelque peu étrange, demande à ses élèves une dissection. Shannon, une lycéenne, craque littéralement et quitte le cours. Mulder et Scully l'interrogent. Shannon raconte alors une sordide histoire d'attouchement concernant son beau-père alors qu' elle n'était qu' enfant. Elle raconte aussi avoir participé à d'étranges réunions, des messes noires, où se trouvaient des hommes et des femmes. Shannon aurait été mise enceinte, puis on lui aurait pris ses bébés pour les sacrifier. Mulder et Scully interrogent ensuite les parents de Shannon. Ceux-ci nient les allégations de leur fille. Pour le père, Jim Ausbury, c'est même peut-être Mulder qui aurait mis ces idées dans la tête de sa fille. De retour au lycée, Shannon recommence la dissection. Mais Mme Paddock en profite pour lancer un sort démoniaque. Et Shannon, inconsciente de ce qu' elle fait, se tranche les veines. Le comité de parents d' élèves se réunit à nouveau, inquiet. Mulder et Scully trouvent quelque peu étrange le témoignage de Mme Paddock, mais rien ne permet de l'incriminer. Mulder retourne interroger les parents de Shannon, et comprend peu à peu qu'un groupe de satanistes organise des messes noires dans cette petite ville. Le père de Shannon, déçu par l'attitude du groupe, a décidé de révéler la vérité. Pendant que Scully enqûête sur Mme Paddock, celle-ci lance un nouveau sort... Après avoir piégé Mulder, éloigné de Jim Ausbury, celui-ci est éliminé. Les 3 membres restants du comité de parents d'élèves paniquent...
XF 214 3.jpgAprès cet épisode, Glen Morgan & James Wong partirent créer leur propre série,  Space 2063. Le message qui s'inscrit sur le tableau à la fin de l'épisode est à double-sens, donc : intégré à l'épisode, il leur permet de tirer leur révérence et de dire au revoir à toute l' équipe.
Le titre de l' ép. en VO signifie "la main de l' enfer", nom donné à l' épisode en VF.
Mon avis :  "Die Hand Die Verletzt" fait partie de ces épisodes emblématiques dont on se souvient longtemps après l' avoir vu, grâce à quelques images puissantes comme celle de cette professeur, en réalité un démon, lançant un sort. Il s'agit du point d'orgue d'un formidable duo de scénaristes, James Wong & Glen Morgan, qui quittent là la série pour lancer leur propre création, Space 2063, qui ne dura malheureusement qu' une saison. Pour en revenir à l'épisode, on est face à une histoire qui tente de naviguer entre plusieurs eaux : certains passages sont résolument comiques, comme la pluie de grenouilles, pour ensuite proposer une sordide histoire d'abus d'enfants qui ne prête pas du tout à rire. Heureusement, c'était en partie faux. Au final, on ne s'ennuie pas un instant devant cet épisode, fort en émotion, contrairement au précédent, plus classique et traditionnel. Et pour une fois, Mulder et Scully, en témoins impuissants, ne comprennent rien à ce qui arrive, l'action se déroulant souvent hors de leur présence.

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vendredi, 24 septembre 2010

SHERLOCK : Secondes pensées, review de la Saison 1 (Sherlock ne meurt jamais, partie 2)

Deuxième note donc sur Sherlock, puisque j'ai terminé les 3 épisodes et j'espère vraiment qu'il y aura une suite.

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01 : A Study in Pink
Sc : Steven Moffat. R : Paul McGuigan.
4 morts suspectes, maquillées en suicides, attirent l'attention de Holmes, un homme extrêmement intelligent, légèrement misanthrope, qui aide la police londonnienne, et en particulier l'inspecteur Lestrade. Holmes est "consulting détective", et ne vit que pour son travail. Mais il ne peut toujours agir seul, et se lie d'amitié avec John Watson, un médecin revenu du front, qui l'assistera dans ses enquêtes.
Mon avis : J'en ai déjà parlé, il s'agit d'un remarquable téléfilm qui en plus de nous présenter toute une galerie de personnages, Lestrade, la policière noire mettant en garde John contre Sherlock, Mycroft... En plus de nous livrer une intrigue palpitante. Seul petit bémol, relevé d'ailleurs par Sullivan dans un article sur le même épisode, il est dommage qu'à un moment avancé de l'enquête, Holmes soit aussi aveugle à l'évidence...

02 : The Blind Banker
Sc : Stephen Thompson. R : Euros Lyn.
On s'est introduit apparemment dans une banque d'affaires de Londres, et Sherlock est contacté pour trouver le moyen de cette infiltration. Dans un musée, une employée aux origines chinoises disparaît subitement...
Mon avis : Une parenthèse dans la série, d'avis général (un avis que je partage) l'épisode le plus faible. L'intrigue n'est pas particulièrement passionnante, et part un peu dans tous les sens (une des caractéristiques de la série est de lier différents éléments et milieux au sein d'une seule et même enquête), mais en étant un peu fouillis. Une déception, donc, et surtout, un manque de suivi : aucun des personnages secondaires réguliers mis en place dans le Pilote n'est utilisé, Lestrade n'apparaît pas... Bref, une occasion malheureusment manquée.

03 : The Great Game
Sc : Mark Gatiss. R : Paul McGuigan.
Alors que Sherlock crève littéralement d'ennui, sa nemesis l'invite à un jeu du chat et de la souris particulièrement pervers, où des vies humaines sont en jeu. Sherlock doit ainsi résoudre des énigmes de plus en plus tordues, ce qui l'excite au plus haut point. Mais Sherlock doit également résoudre une énigme laissée par Mycroft : les plans de missiles ont été volés, et doivent être retrouvés.
Mon avis : Le meilleur épisode de la série, heureusement. Avec un ennemi attendu quand on est familier du mythe, sans lequel Sherlock n'est pas vraiment Sherlock. A noter, la relation entre John Watson et Sherlock Holmes se complexifie. Sherlock n'hésite pas à appeler John dès qu'il en a besoin, de la même manière que le faisait Mulder avec Scully. Et John, quoique lassé, comme Scully, sont prêts à tout laisser tomber pour courir dès que leur coéquipier les appelle...
Avec une interprétation hallucinée et hallucinante de l'acteur incarnant la nemesis de Holmes, au jeu égal à celui de Tennant. A croire que tous deux ont suivi la même formation de comédien ! A saluer, donc, mais je l'avais déjà fait je crois, le casting sans fausses notes de la série.
Seul bémol, j'ai trouvé que l'intrigue autour des plans anti-missiles était un peu en trop, et destinée la plupart du temps à montrer que Sherlock est capable d'enquêter sur plusieurs affaires en même temps.

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Les + de cette adaptation :
- la Bande-son accompagnant les aventures de Sherlock, du travail d'orfevre parfaitement associé aux enquêtes présentées et à leur rythme trépidant. L'une des rares bandes-sons que je pourrais me procurer.

- Les sous-entendus homosexuels parsemant l'oeuvre, avec John et Sherlock d'une part, et Jim (M.) et Sherlock d'autre part. A croire que les Anglais ne peuvent s'en empêcher, et voient à mettre du sexe là où il n'y en a pas forcément besoin (?). Enfin cela donne lieu à des échanges particulièrement savoureux, en tout cas.

- L' humour de la série, porté souvent par... Holmes ! Il faut le voir jouer la comédie des sentiments pour soutirer des aveux à une veuve, dans l'épisode 03, lui qui est insensible et froid de nature. Point trop n'en faut, là encore, c'est suffisamment dosé pour être exquis.

- les inserts visuels, qui contribuent au cachet de la série.

- la remarquable description, totalement réaliste, d'une personnalité au Q.I. de très loin supérieur à la moyenne. Sherlock ne vit que pour l'énigme, tout comme Gregory House.


Les - de cette adaptation :
- Le cliffhanger de fin, c'est inhumain de nous laisser dans un tel suspens !

- certains passages obligés, liés au mythe, semblent avoir été placés uniquement pour nous rappeler que oui, on reste fidèles à de nombreux éléments du mythe : montrer Sherlock en train de se faire un shoot de... patches de nicotine, ou en train de tirer sur son mur car pris d'un ennui mortel. Ou l'art du déguisement dans lequel Sherlock est passé maître, à peine esquissé dans l'épisode 03. 

- La faiblesse de l'épisode par rapport aux deux autres, c'est quelque peu décevant.

- On en voudrait bien entendu un peu plus, un épisode 4 n'aurait pas été superflu.

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