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dimanche, 08 décembre 2013

Le Challenge Séries 2013 : dernier bilan avant 2014 ?!!

Cette année 2013, comme vous le savez, j’ai donc participé au Challenge Séries 2013 lancé par Hellody. L’heure est venue, alors que l’année 2013 va se terminer dans quelques jours, de dresser un bilan. Il est globalement positif, pour ma part, même si je n’en suis pas venu à bout quand même ! Le point positif est de m’être mis à jour sur des séries que je n’aurais pas regardées sinon. Et que j’ai d’autant plus appréciées car étant obligé de les marathoner. Cela aide, on les apprécie d’autant mieux. Et peut-être serait-il intéressant de tirer un bilan séries par séries de ce Challenge :

La franchise CSI : Un choix trop ambitieux que je ne ferai plus. D’autant plus que la multi-diffusion à outrance sur TF1 m’en a pas mal dégoûté !! Un jour peut-être je la reprendrai, mais pas avant un petit moment. Pourtant, ce sont 3 séries blockbusters de qualité.

Legend of the Seeker : Une série qui ne cesse de s’améliorer, quand même inférieure à ses aînées Hercules et Xena côté fun et divertissement. Avec une mythologie qui se construisait petit à petit, et un excellent concept, osé, celui des amazones SM toutes de cuir vêtues et lesbiennes pour la plupart. Car la série était mine de rien très sombre, par moments, un peu comme Farscape.

The MENTALIST : Très sympathique série policière, bien réalisée, mais très dispensable et prétentieuse, finalement. Vraiment, il est difficile de s’expliquer son succès. Le charme de Patrick Jane aura suffi, probablement. Mais l’ensemble des personnages entourant le héros n’aura jamais vraiment été creusé suffisamment, et le mystère Red John, avec ses valses-hésitations, mal pensé. Mais c’est ce qui aura contribué aussi à faire perdurer la série. Je lui préfère CASTLE, même si elle aussi peut lasser, au Mentalist, qui n’est en plus qu’un ersatz de House, ce qu’on oublierait presque !

Flash-forward : Une série qui valait mieux que la descente en flammes qu’elle a subi. Une série qui a manqué d’éléments forts et de mystères par rapport à LOST. De cette série, je retiens avoir passé un bon moment en la marathonant, mais LOST m’a davantage marqué. Par sa mythologie, ses persos, ses enjeux, ses implications philosophiques. Flash-forward ne pouvait pas lutter… Mais encore une fois, je l’ai apprécié !!

The NEWSROOM : Aaron Sorkin. Que dire de plus ? On retrouve encore une fois avec bonheur son style d’écriture inimitable, sa vision du monde, ses personnages, ses scènes-cultes à foison, portées par un casting exceptionnel. A voir absolument !! Même si je comprends tout à fait ses détracteurs, son idéalisme et son attachement démesuré au camp démocrate pouvant exaspérer. J’ai été beaucoup plus convaincu par celle-ci que par VEEP, l’autre série politique d’HBO, une comédie pas vraiment drôle, finalement.

STARGATE UNIVERSE : De très bons personnages, une belle écriture, je l’ai beaucoup apprécié malgré ses défauts : un huis-clos très pesant, des facilités scénaristiques, un manque d’ennemis récurrents identifiables. Dommage, elle faisait évoluer la franchise vers une direction audacieuse, un plus grand réalisme.

DEXTER : J’ai apprécié la série quasiment jusqu’au bout. Alors qu’on m’avait prévenu qu’après la S4, les saisons et la qualité générale déclinaient. Il faut dire que j’ai dès le début porté un amour démesuré au personnage. Seule la fin était vraiment décevante, avec une S8, imposée, une fin imposée, des scénaristes coincés dans une fuite en avant à cause d’une chaîne qui ne pouvait se résoudre à arrêter à temps une série qui a fait ses belles heures. Encore une série avec une fin quelque peu décevante. Comme X-Files à l’époque, dans la même situation. Le changement de showrunners en coulisses n’avait pas aidé non plus… Mais je ne la regrette pas.

CHUCK : Une série fort sympathique, qui se bonifie avec le temps, jusqu’à un final doux-amer pour elle aussi. Elle aura su jouer avec les codes du genres, sachant se faire dramatique par endroits elle aussi. Encore une chouette série qui ne fera jamais partie de mes préférées, mais devant laquelle j’aurai passé de bons moments !!

WHITE COLLAR : Une très très bonne série qui se perd un peu en S4, mais qui nous offre de très bons épisodes, Une chouette bromance, en plus, comme dans les séries de mon enfance (les années 70-80). Elle aussi est à voir, elle ne renouvelle rien, mais se regarde avec plaisir dans le genre « série légère sans prise de tête ».

DOLLHOUSE : L’une des dernières séries Whedon qu’il me restait à terminer. Une bonne série, d’un grand intérêt philosophique, mais un peu trop propice au grand n’importe quoi. Mais un projet intéressant d’offrir une série reposant sur son concept, et en aucune façon sur ses personnages, aucun d’entre eux n’étant véritablement attachant.

LOST GIRL : Des personnages géniaux, une mythologie ne cessant de se développer, des mystères, l’un des meilleurs personnages de l’histoire des séries (la géniale Kenzi, pour ne pas la nommer !!), des scènes et une héroïne sexys au possible, des références à foison, l’une des rares séries fantastiques de qualité sur nos écrans en ce moment… Vraiment, à découvrir !! Je l’ai adoré, et j’espère qu’elle durera un petit moment encore !!

Voilà pour ce bilan de fin de Challenge. Un Challenge que je n’ai pas réussi à relever, il me manquerait à finir The EVENT, qui rend le visionnage difficile, avec sa déconstruction narrative, et The SHIELD, pourtant excellente. Mais la rentrée des séries est passée par là, et il fallait choisir : se tenir à jour des séries diffusés en direct des USA prend déjà beaucoup de temps. A moins que, pendant les vacances… Quoi qu’il en soit, l’expérience fut géniale, et globalement positive. Alors du coup… En route pour le Challenge Séries 2014 !! ^^ Pour plus d’infos, c’est par ici : http://ms-kitty-fantastico.blogspot.fr/2013/12/challenge-series-2014-principe-et.html

KNIGHT

lundi, 15 juillet 2013

DOLLHOUSE : Secondes pensées à l'issue de la Saison 2.

Le Challenge Séries 2013 m’a donné l’occasion de terminer Dollhouse, dont je n’avais pas visionné la Saison 2. De ce fait, une nouvelle note de réflexions sur la série.

eliza dushku, echo, joss whedon, victor, sierra, adelle dewitt, olivia williams, buffy the vampire-slayer, identité

Dollhouse, à bien y regarder, présente quelques points communs avec Buffy the Vampire-Slayer. Mais aussi, bien sûr, plusieurs différences. Dans les 2 séries, on a une héroïne belle et forte en vedette, entourée d’un ensemble de personnages l’aidant, sous la supervision d’une autorité d’origine britannique. C’était le cas d’Anthony Stewart Head, et de son personnage Rupert Giles, et c’est le cas d’Olivia Williams, interprète d’Adelle DeWitt. Mais les ressemblances s’arrêtent là. Si Buffy était une jeune fille plus ou moins libre assumant ses propres choix. Echo est prisonnière de la Dollhouse, et de la volonté de ses maîtres et de ses clients, qu’elle doit servir comme ils le souhaitent, avant de préparer la révolte des Dolls. L’univers de la série est davantage ancré dans la réalité, et les armes à feu ne sont plus prohibées, dans cet univers. Dollhouse est une série beaucoup plus sombre et désenchantée que son aînée, qui est après tout l’histoire de prostituées, les Dolls, ou Actives, au service d’une mère maquerelle, Mme DeWitt. Une série qui aborde d’autres thématiques, la plus philosophique qu’aura créé Whedon jusqu’à présent. Elle témoigne d’une société où les êtres sont prisonniers d’une grande solitude, et prêts à payer ou abuser d’autres êtres vivants pour combler un manque. Nourrir une fantasy. Un rêve, un fantasme. Un état de fait dérangeant, que le relatif soin accordé aux Dolls vient dédouaner : après tout, elles ne souffrent pas (elles ne sont pas censées en souffrir, théoriquement), et ne garderont aucune trace de leurs moments monnayés, puisque leurs souvenirs sont effacés. Le propos s’avère assez pessimiste sur notre société. Même Adelle DeWitt, pour nourrir un besoin purement physique, et Topher, le scientifique responsable du processus, abuseront du procédés pour combler un manque dans leur existence.

eliza dushku, echo, joss whedon, victor, sierra, adelle dewitt, olivia williams, buffy the vampire-slayer, identité

Dollhouse, c’est, et ça m’est apparu lors du visionnage de la saison 2, une glorification du corps. Les Dolls ne sont que des coquilles vides, sur lesquelles viennent se greffer plusieurs personnalités, au besoin du client ou de la mission du jour. Le corps que l’on soigne, que l’on entretient : les Dolls font régulièrement du sport, prennent des douches, afin de prendre soin de leur corps. Puisqu’on les vide de toute trace de leur personnalité passée, que reste-t-il sinon des corps, qui gardent toutefois la trace, la mémoire de ce qu’ils subissent, peut-être. Un corps, et non pas une personnalité, qui finit par obséder, qui pousse le désir de possession jusqu’à l’obsession. Qu’est-ce qui motive véritablement Ballard, dans sa quête de vérité sur la Dollhouse ? La noble quête d’un chevalier blanc, avide de faire tomber une société pratiquant une forme d’esclavage moderne, ou un désir purement égoiste de retrouver une belle jeune femme brune, Caroline, dont il serait tombé amoureux ? Une jeune femme qu’il ne connaît pas réellement, hormis par son apparence physique. On se plaira, dans la série, à envisager une possible relation entre deux des Dolls, Victor et Sierra. Tous deux semblent attirés l’un par l’autre. Mais cette attirance ne peut reposer sur leur personnalité, puisqu’ils n’en possèdent pas de propre. Cette attirance intervient également lorsque les 2 Actives sont en mission, avec une personnalité qu’on leur a greffé. La seule explication vient du fait que c’est le corps qui garde trace de l’attirance, et que l’attirance est d’abord et avant tout purement physique entre les 2 personnages. Le corps est également glorifié dans les multiples combats et démonstrations de force que la série prodigue : les affrontements physiques, les combats sont beaucoup plus fréquents et nerveux dans la saison 2. L’affrontement physique, par 2 fois, sera le moyen par lequel s’exprimeront Paul Ballard et Echo, l’un face à l’autre. Dans le premier, il s’agit de leur première rencontre. Pour le second, la scène est tout d’abord trompeuse : les 2 se déshabillent, et on pense naturellement, que c’est pour faire l’amour. Mais l’on se trompait : les deux s’étaient mis à l’aise pour s’entraîner au combat. Et ce n’est pas grave, car on peut se dire que l’affrontement physique est une autre forme d’expression du corps. On avait déjà remarqué une certaine forme de violence chez Ballard lorsqu’il couche avec une autre femme, Mellie. Est-ce parce qu’il ne tenait pas vraiment à coucher avec elle, mais acceptait de lui donner ce qu’elle voulait, lui reprochait-il inconsciemment de ne pas être Caroline ? La série semble donc valoriser le corps, finalement. Après tout, que sont les acteurs sinon des corps, réceptacles de personnages, personnalités qu’ils endosseront, selont le bon vouloir d’un démiurge, créateur ? Et nous-mêmes, ne sommes-nous pas d’abord et avant tout d’abord attirés par le corps de l’autre ? Lorsque l’on aime une actrice ou un acteur, n’est-ce pas d’abord le corps que l’on aime, puisqu’on ne connaît pas véritablement la personnalité de la personne. Faut de la connaître intimement ? Et pourtant, la série peut se montrer ambiguë, puisque dans le même temps, elle présente le corps comme une coquille interchangeable, une seule et même personnalité peut après tout se retrouver dans un autre corps. Et lorsque c’est le cas, rares sont les fois où la personnalité souhaite à toute force récupérer son corps de départ.

eliza dushku, echo, joss whedon, victor, sierra, adelle dewitt, olivia williams, buffy the vampire-slayer, identité

Dollhouse est en tout cas une série qui présente donc, mine de rien, plusieurs niveaux de lectures, qui offre bien des pistes de réflexions philosophiques si on veut s’en donner la peine. C’est pour cela que l’on ne pourra que saluer et applaudir l’audacieuse diffusion de M6, qui s’est aperçue qu’elle avait toujours la série dans ses cartons, et qui l’aura proposé lors de l’été 2013 à l’horaire du mercredi matin, sur les coups de 1h50 (!!) du matin, en plein milieu de la nuit.

Côté Cast :  La saison 2 offre plusieurs guest-stars de séries que l’on se plaira à reconnaître et retrouver : Jamie Barber et Michael Hogan, le temps d’un épisode chaucun, qui furent 2 des acteurs de Battlestar GALACTICA (2003). On retrouvera ensuite 2 acteurs liés à d’autres séries de Whedon : Alexis Denisof, l’interprète de Wesley Windam-Price dans Buffy the Vampire-Slayer et Angel, et Summer Glau, qui a participé aux distributions régulières de Firefly et TERMINATOR : The Sarah Connor Chronicles.

dimanche, 28 juin 2009

Dollhouse : review des épisodes 1.11 et 1.12

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Le 1.11 : Briar Rose

Sc : Jane Espenson. R : Dwight Little.

DOLLHOUSE 11.jpgEcho est devenue institutrice et raconte un conte de fées à une classe de jeunes élèves. Mais une élève conteste certains éléments es contes de fées, réagissant même de façon disproportionnée. Echo / Suzanne va tenter de l'aider et de comprendre pourquoi elle a réagi ainsi. Pendant ce temps, c'est au tour de Ballard de faire ses affaires et de partir, au grand désarroi de Mellie. A la Dollhouse, Boyd informe la Directrice qu'il a trouvé une clé USB qui appartenait à Dominic, et qui pourrait détenir soit des données sur la NSA, soit sur la Dollhouse. La personnalité de Dominic est intégrée à Victor pour pouvoir être intérrogée, et savoir ce qu'il en est. Ballard a découvert où se trouvait la Dollhouse. Il rencontre alors, après avoir mené l'enquête, celui qui a construit le building abritant la Dollhouse. un individu excentrique cultivant de l'herbe dans son appartement. Il l'emmène avec lui, et s'introduit en sa compagnie dans la Maison de poupées. Il neutralise Topher, et découvre le Siège du Péril, ainsi que les "chambres" des Dolls, où il découvre Mellie / November, mais aussi Caroline / Echo, qu'il réveille, et souhaite emmener avec lui. Mais Boyd veille et arrête Ballard, alors que celui-ci allait la libérer. Tous deux s'affrontent violemment. Pendant ce temps, Victor et le Dr Claire Sanders sont attaqués par... Alpha lui-même, revenu à la Dollhouse.
Mon avis : Un épisode très ennuyeux, dû au fait qu'il ne s'y passe pas grand chose, l'épisode reposant sur des dialogues métaphorisant les situations des personnages. L'histoire de la petite file ne sert hélas qu' à introduire des dialogues métaphoriques sur les personnages et la Maison de poupées. Il vaut surtout pour le fait que Ballard découvre enfin de ses yeux la Dollhouse, et abndonne définitevement Mellie / November, apparemment. Mais le personnage excentrique qui l'accompagne est horripilant et fatiguant. Puis tout s'accélère et l' épisode rebondit 10 minutes avant la fin. Car Alpha est revenu pour se venger, et menace directement le Dr Claire Sanders. Et c'est vraiment dommage, car les 10 dernières minutes enchaînent les rebondissements auxquels je ne m'attendais absolument pas.
En résumé, 30-35 min un peu molles et pas très enthousiasmantes, destinées à introduire 10 min enlevées où les rebondissements abondent, et qui préparent le final de cette saison 1.



Le 1.12 : Omega
Sc : Tim Minear. R : Tim Minear.

DOLLHOUSE 12 2.jpgSuite de l'épisode précédent. Dernier épisode de la saison. Alpha a récupéré Echo, heureuse et excitée de l'accompagner. Pendant ce temps, Claire Saunders prévient Boyd et la Directrice d'avoir été attaquée, ainsi que Victor, par Alpha. Et comprend peut-être qu'elle n'est peut-être qu' une Doll elle aussi.
Plongée dans le passé, il y a quelques années : Topher et la Directrice chapeautent un commando envoyé en mission : celui que l'on conaît comme Alpha torture un individu pendant qu'une jeune fille (Echo ?) danse de façon lascive en pleine lumière, et qu'on entend un vieux standart américain. Il y a du Tarantino dans l'air. Surprise, la jeune fille n'est autre que celle que l'on connaît comme étant le Dr Claire Saunders, et qui s'appelle à l'époque Crystal. Puis après avoir assisté à un maelstrom de violence et de sexe, les hommes de la Maison de poupée interviennent, et Alpha est arrêté.
Retour au présent : Ballard apprend que celui qui l'accompagnait, qu'il a introduit dans la Dollhouse, était Alpha. Mais alors que ses collègues ont été alertés par une alerte à la bombe, Ballard se propose de les éloigner, et la Directrice accepte. Claire Saunders soigne Victor, défiguré par Alpha. Ballard, qui a gagné la confiance de la Directrice, va aider à arrêter Alpha, tout d'abord en dressant son profil psychologique. Topher comprend que Alpha a volé sa première personnalité. Celui-ci a créé son propre Siège du Péril et va reprogrammer une jeune fille blonde qu'il a enlevée : lui donner la personnalité de Caroline. Et reprogrammer Echo pour créer... Omega, le produit de toutes ses précédentes personnalités mêlées... Alors que Boyd et Ballard font équipe pour tenter de retrouver Echo, celle-ci fait face à Alpha.

DOLLHOUSE 12 3.jpgPlongée dans le passé : Caroline visite pour la première fois la Dollhouse, et suscite déjà l'attention d' Alpha, qui craque pour la jeune fille. On découvre comment Alpha a été séduit par Echo, dans quelles circonstances il a agressé celle qui deviendra Claire Saunders, et comment il a perdu la raion.
Mon avis : Un épisode passionnant qui explore le passé de Caroline / Echo et Alpha par un va-et-vient incessant entre le passé et le présent. De plus, la dynamique de la série change, avec un Ballard ayant découvert la Dollhouse, et les Dolls, et prêt à les aider.
La saison présente avec cet épisode une assez belle conclusion aux personnages, mais aussi au propos philosophique de Whedon soulevé par cette série : la question de l'identité, de la personnalité, n'aurait pour d'autre but que la rencontre amoureuse, rendre celle-ci possible. Why not.
Continuité et Mythologie : Nous est confiré ce que l'on pouvait soupçonner. Celle que l'on connaît comme le Dr Claire Saunders est une ancienne Doll.

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