samedi, 26 mars 2011
En ce moment, j'écoute... "Faster", premier single de The Unforgiving, nouvel album de WITHIN TEMPTATION
Enfin… Enfin un nouvel album, de nouvelles chansons de l’un de mes groupes préférés, WITHIN TEMPTATION. La sortie est prévue lundi, mais je me passe et repasse déjà leur premier single, “Faster”, que j'adore...
20:00 Publié dans Coups de coeur musicaux (A.K.A. la musique que j' | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : within temptation, symphonic metal, faster, the unforgiving
vendredi, 25 mars 2011
Les Scènes-cultes : Ally McBeal, ép. 1.15 "Once in a Lifetime"
Si vous saviez comment j’ai aimé Ally McBeal à l’époque… Pourtant, je n’ai pas accroché tout de suite à la série, la regardant d’un oeil distrait. Comme je l’ai déjà dit, il suffit parfois d’une scène. Ce fut, en l’occurence pour Ally une scène restée culte, emblématique de la série.
Dans l’épisode 1.15 “Once in a Lifetime” (en espérant ne pas me tromper d’épisode), Ally qui a toujours eu une imagination débridée, commence à voir un bébé virtuel, hallucination annoncée par des “ oubah-oubah “. Elle s’en confie à Renée, et celle-ci met cela sur le compte de l’horloge biologique d’Ally qui commencerait à se déclencher. Après avoir fui cette hallucination, la jeune avocate se décide enfin à l’affronter. S’ensuit une danse d’Ally et du bébé des plus charmantes, qui m’a complètement fait adhérer à la série à l’époque…
19:49 Publié dans ALLY McBEAL, Les Scènes-cultes des séries | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : ally mcbeal, bébé dansant
dimanche, 20 mars 2011
Les Scènes-cultes : The West Wing, épisodes 2.13 "Bartlet's Third State of the Union” et 2.14 “The War at Home”
Les Sériephiles ont du le comprendre à force de regarder des séries, lorsqu’on arrive au milieu de la saison, certaines d’entre elles décident de frapper un grand coup et proposer un dyptique, une histoire ou plusieurs intrigues (quand c’est le cas d’une série-chorale) s’étendant sur deux épisodes, avec des cliffhangers à la fin du premier épisode, à la manière des season finale. Cela permet de préparer en général la fin de saison, justement, et de relancer celle-ci en la boostant un peu.
Dans le cas de The West Wing, le showrunner Aaron Sorkin a décidé d’entremêler plusieurs intrigues et de plonger ses personnages au coeur de différentes crises. C’est le cas notamment du Président Jed Bartlet, qui voit quelque peu le ciel lui tomber sur la tête et porte le poids de l’aspect dramatique de la série en grande partie ici. Alors qu’il vient de prononcer avec succès son discours annuel, cela crée une crise conjugale avec son épouse Abby : celle-ci a vu d’un mauvais oeil les coupes opérées au dernier moment dans son discours, qui prépare l’annonce de sa candidature à sa propre succession, alors qu’il était convenu entre eux, à cause de la maladie de Bartlet, que celui-ci ne se représente pas. Encore plus dramatique, des agents des narcotiques en Colombie ont été capturés par un Cartel qui compte les échanger contre la libération d’un de leurs chefs. D’où des décisions difficiles à prendre, et de nombreuses réunions avec l’état-major.
Pour alléger le climat quelque peu tendu de ces scènes, et parce qu’on est quand même face à une série ayant toujours tenté de mêler les registres et qui reste du divertissement, on ressort la malheureuse Ainsley Hayes du placard. Belle jeune femme blonde, brillante, républicaine, arrivée dans la série au début de la série, elle s’était vue attribuer un bureau au sous-sol, près du circuit de chauffage de la Maison Blanche. Un bureau isolé, à la manière du bureau des Affaires non-classées de l’Agent Mulder. Où on l’y avait laissé après quelques épisodes pour ne plus du tout l’utiliser. Aaron Sorkin, mine de rien, aura lui aussi été prompt à kelleyriser certains personnages. Le personnage réapparaît donc à l’occasion de ce dyptique, donc, mais pour être l’objet de scènes comiques savamment préparées, sans qu’on sans doute, la ridiculisant plutôt qu’autre chose.
Oh la loose !!, part. 2 (ép. 2.14 "The War at Home") : Ainsley veut sa revanche. Une autre chance de rencontrer le Président, cette fois à son avantage, afin de réparer la bourde, de se montrer digne de ses parents. Elle demande à Sam une autre entrevue. Ce qu’il lui accordera bien sûr. Ainsley et Sam se retrouvent donc dans le bureau de Léo, lieu propice à la rencontre, Mais la jeune femme, tellement neurveuse, a une irrépréssible envie de passer aux toilettes. Elle s’échappe donc, mais la malheureuse a confondu les toilettes, et… le placard à balai. Au moment où le Président entre dans le bureau de Léo pour la rencontrer à nouveau. Bien entendu, Ainsley, morte de honte, hésite à quitter son placard, d’autant plus qu’on entend très bien des deux côtés de la porte. epic fail, X 2. Sic. Le plus humain des présidents aura tout de même quelques mots rassurants pour la jeune femme, lui rappelant à quel point ces parent peuvent être fiers d’elle, et combien elle est brillante. En attendant, le spectateur aura bien ri. A ses dépens, hélas…
11:48 Publié dans Les Scènes-cultes des séries, The WEST WING | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : the west wing, à la maison blanche, aaron sorkin, kelleyrisation, sam seaborn, ainsley hayes, jed bartlet, histoire des séries américaines, scénes-cultes