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dimanche, 12 septembre 2010

Doctor Who : look, personnalité, continuité, évolution.

Avant de lire, sachez que ce texte concernera surtout les 3 dernières incarnations du Docteur : Christopher Eccleston, David Tennant, et Matt Smith !

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New Doctor, same old Doctor...
Il faut bien admettre que l'une des idées de génie de la série Doctor Who aura été la Régénération. Imaginez donc... Pour libérer l'acteur du rôle principal, mais tout en poursuivant la série, le Docteur se régénère, change d'apparence physique. En ne sachant pas à l'avance à quoi il ressemblera lors de sa régénération. C'est un peu la roulette russe, quoi. Avec peut-être la caractéristique de présenter un visage avec une légère caractéristique physique : les oreilles pour Eccleston, le nez pour Tennant, les sourcils pour Smith. C'est le seul cas dans un univers donné, d'ailleurs, où on prend en compte le changement d'acteur dans un rôle. Dans n'importe quel autre cas, on demandera au spectateur de fermer les yeux sur le changement d'acteur, il n'y a qu'à voir la série des James Bond au cinéma, ou Loïs & Clark comme exemple de série : entre la saison 1 et la saison 2, Jimmy Olsen fut recasté et incarné par 2 acteurs au physique très différent. Au passage, le père de Loïs Lane avait également été recasté. Et parce que nous sommes tous différents, chaque acteur pourra mettre de sa personnalité dans le nouveau Docteur. Mais nous y reviendrons. .
Avec pourtant des traits indéfectibles malgré ces changements de personnalité. Le Docteur doit rester reconnaissable malgré tout. Et également le fait de garder résolument le même look, une fois celui-ci adopté, chaque Docteur ayant le sien. Et donc qu'est-ce qui constitue les qualités du Docteur, ses traits de personnalité constants ? Hé bien le plus important de tous est un humanisme et un optimisme à toute épreuve. Curieux de parler, pour le Docteur d'humanisme, et pourtant c'est le cas. Le Docteur a foi comme jamais en l'Homme, dont il ne remettra jamais en cause la grandeur. En suivant les aventures du Docteur, on finit par se sentir fier d'appartenir à cette humanité. Une tendresse et une gentillesse naturelle qui font que l'on a envie de se dépasser en présence du Docteur, qui nous fait nous en sentir capable. Et puis toujours un optimisme face à l'adversité, indémontable. Le plus significatif est le cri de guerre, ou plutôt la phrase d'élan qu'adoptera le Docteur version Tennant : " Allons-y ! " Quand je l'entends, je ne peux m'empêcher de penser à Soeur Emmanuelle qui avait une phrase d'élan assez proche : " Yala / en avant ! "
Hé oui, pour moi, le Docteur, c'est un peu la soeur Emmanuelle de l'univers des séries. Quelle belle rencontre ces deux-là, cela aurait pu être...

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Le Docteur, fashion killer...
Pour accompagner le physique, le Docteur se trouve un look qui ne bougera plus tout au long du run d'un acteur dans le rôle. Un "costume" qui sera significatif, profession de foi, tout comme le générique, lui aussi gradant des invariants, mais pourtant évoluant avec l'époque. Ainsi, le Docteur d'Eccleston devait être moderne, dans l'air du temps, classe (quoique l'on peut dire cela de tous les Docteurs : ils ont la classe), dépoussiérer le mythe. Eccleston est habillé d'un T-shirt et d'un blouson de cuir. Le cuir, matière quel'on aurait jamais associé au Docteur auparavant... Et le noir reflète aussi l'âme sombre d'un être, dernier survivant de sa race, ayant survécu seul à Guerre du Temps.
Un look pour le Docteur qui doit pouvoir en imposer. Le Docteur, âgé de plus de 900 ans, doit pouvoir faire autorité, ne pas être ridicule dans les moments dramatiques. Et pourtant, son look peut s'accompagner d'un détail surprenant. Presque clownesque. Car nous sommes dans une série britannique, la série doit aussi savoir être légère, joyeuse parfois. Un détail qui reflètera le concept fou de la série. Pour la version Tom Baker, c'était son écharpe colorée. Pour le 5ème Docteur, un céleri sur le revers de la veste. Le Docteur version Tennant, vif, dynamique, qui devra souvent courir, est chaussé d'une paire de Converse. Le Docteur version Smith portera le noeud papillon.
Pour ce Docteur, on note une volonté, maintenant que le personnage est réinstallé, remis en place, de revenir vers les époques passées. Pour cela, et peut-être aussi pour compenser l'aspect juvénile du personnage désormais (Matt Smith n'a même pas encore la trentaine), on l'a affublé de détails... d'une autre époque : pantalon à bretelles, veste avec ronds de cuir au niveau des coudes, noeud papillon...
A noter que son look et sa coupe de cheveux ne ressemblent en rien aux images promo de ce onzième Docteur : duperie du public pour le faire accepter plus facilement ?

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Le générique illustre cette nouvelle orientation : incisif, exprimant l'urgence des situations vécues, aux accents épiques sous Russell T. Davies, on a un générique radicalement différent sous Sreven Moffat : le TARDIS se promène au coeur du temps, se laissant porter par les événements. Le vaisseau du Docteur dérive un peu, mais garde le cap. On secoue encore les personnages et la série, mais tout en restant dans la lignée de la période classique.

Et Eleven, dans tout ça ?...
Concernant Eleven, ce qui m'a surpris dans sa "nouvelle" personnalité, en visionnant la Saison 5, c'est le fait qu'il se mette rapidement en colère, s'énervant dès qu'une solution pose problème, je n'ai pas le souvenir dans ses incarnations précédentes d'être si prompt aux sautes d'humeur. Autre changement notable, alors que dans ses incarnations précédentes, le Docteur écoutait les suggestions de ses compagnons et / ou humains rencontrés afin d'élaborer un plan, et de comprendre la nature de ses adversaires, et / ou trouver un moyen de s'en sortir, le Docteur version Eleven n'hésite pas à inviter ses compagnons à se taire : cette fois, il préfère réfléchir seul, et les discussions humaines gènent sa concentration.
Sinon, à part ses changements, le Docteur n'a pas fondamentalement changé : il procède à une observation appuyée de son environnement, tel un détective, sachant, sentant, quand quelque chose cloche. On pourrait même s'imaginer le Docteur sortir une loupe. Tradition britabnnique oblige ? Et mises à part ses sautes d'humeur, le Docteur fait preuve de la même humanité qu'on lui a connue précédemment, poussant chacun à donner le meilleur de lui-même, à exploiter son plein potentiel. Le Docteur continue de donner courage à chacun et chacune.

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jeudi, 13 août 2009

DOCTOR WHO : Portrait du (9ème) Docteur, version Chris Eccleston.

Première note qui sera suivie peut-être d'autres ayant pour but de tracer le portrait de personnages, pour Doctor Who ou d' autre séries. Pour commencer cette "collection", à tout seigneur, tout honneur, c'est le Docteur de la première saison de son revival en 2005, celui de Christopher Eccleston, qui sera dépeint ici.

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Le Docteur... Il est probablement l' être le plus fascinant que l' univers des séries TV nous ait offert jusqu' à présent. Depuis les années 60 où il a commencé à hanter les écrans de télévision, il n'a cessé d' explorer... L' humanité. Alors que le Docteur pourrait explorer l' univers entier, à bord de son vaisseau spatial le TARDIS, il revient vers nous à chaque fois, jamais épuisé de nous, pour explorer notre histoire, voyageant sans cesse de notre passé à notre avenir, en faisant escale dans notre présent. Le Docteur... Il nous protège inlassablement des menaces extraterrestres tentant de nous dominer, de nous asservir, ou de nous... exterminer. Il y a d'ailleurs un côté détective quand les extraterrestres tentent de nous éliminer ou asservir imperceptiblement, et que le Docteur perçoit que quelque chose cloche.


La Face obscure du Docteur
Si le Docteur est notre sauveur, notre dernier espoir, la série ne le ménage toutefois pas et dans de nombreuses occasions, un aspect "noir", sinistre du Docteur apparaît. 
Car le Docteur peut être vu également comme un être profondément égoïste. Ne pouvant se résoudre à vivre dans une profonde solitude, il n'hésite pas à sortir une jeune fille de son milieu, la ôter à son entourage, son univers banal et ordinaire pour qu' elle le suive dans ses aventures, même si sa vie doit pour cela être la plupart du temps en danger. Avec un argument de poids : qui résisterait à l' univers entier, l' aventure au quotidien, l' excitation permanente, l' émerveillement des beautés du cosmos, voyager à n'importe quelle période historique ? Ainsi, il satisfait là ses propres besoins, en faisant peu de cas du chagrin ou de l' inquiétude des proches de Rose Tyler en l' emmenant avec lui. 
La solitude peut être un virus dévorant, et puis l' on a parfois, tout simplement, juste besoin d' un side-kick à ses côtés. 

Et si le Docteur n'est pas humain, il en a parfois certains des défauts, comme la jalousie, voire comment il peut piquer des crises quand Rose n'a plus besoin de lui ou se retrouve dans les bras de Mickey, son petit ami officiel. Son rival. Mickey, le pauvre Mickey, seulement humain, qui a droit à tout le mépris du Docteur, ne l' appelant jamais correctement par son prénom, et le rabaissant en le qualifiant d' idiot dès qu' il le peut. Le Docteur version Eccleston peut être méprisant avec nous, sous le coup de la colère, nous ayant déjà traités de "singes stupides" par exemple (dans l' épisode "Father's Day"). 
Mais le Docteur, raisonnable parfois, sait très bien que son comportement est injuste, et culpabilise probablement dans son for intérieur, mais il ne peut s'en empêcher. Tout plutôt que d' être seul. Mais comment mettre la vie d' un(e) innocent(e) en danger ?
Et puis comme aiment à l' appuyer ses ennemis, Margaret la Slitheen ou les Daleks, le passé du Docteur est tout aussi sombre. Au cours des épisodes, des bribes du passé du personnage, perdues dans les dialogues, apparaissent. Le Docteur est un annihilateur, lui qui a apparemment sacrifié toute son espèce lors de la Grande Guerre du Temps, devenant le dernier de celle-ci, pour éliminer la plus grande menace de l' univers, les Daleks. Un génocide, mais pour le bien de l' univers entier. Un épisode de sa vie dont il n'aime pas parler, et qu' il mettra un moment à confier à Rose, lui dévoilant une douleur infinie, un épisode tragique condamné à le hanter pour toujours. Du coup, on peut comprendre le fait qu' il emmène des compagnons d' aventure dans son TARDIS.
Et donc, les seules créatures de l' univers ayant droit à sa haine, car constituant un danger total et redoutable, sont les Daleks, capables de transformer le Docteur en tueur assoiffé d' une soif vengeresse. Dans de telles situations, il sait peut-être au fond de lui qu' il a besoin de la bonté de ses compagnons, de leur humanité, pour être sauvé. (voir l' épisode "Dalek").

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Le Sauveur
Ce qu' il y a de rassurant, avec le Docteur, c'est que l' on est en face d' un être profondément bon, qui sait percer à jour les âmes, condamner ceux qui méritent de l' être, et sauver les âmes pures, les personnes généreuses. Un être d' une compassion infinie, qui n' a peur d' aucun danger, pour qui aucun phénomne apparemment surnaturel n'est assez inquiétant pour l' effrayer. Le Docteur a du coeur, et pas qu' un peu, deux au lieu d' un seul, qui battent. Ceci explique peut-être cela...
Et qui trouve toujours un moyen de s'en sortir, ayant souvent de brillantes intuitions. Ses seules armes ? Sa connaissance étendue de l' univers et de toutes les races qui le peuplent, son intelligence.aiguisée, et son tourne-vis électronique, ustensile passe-partout qui lui sert pour à peu près tout et n'importe quoi, bien pratique pour le tirer d' un mauvais pas et pour les scénaristes qui doivent le tirer du pétrin insoluble dans lequel ils le mettent. 
Rares seront ainsi les situations où le Docteur a à se battre, affronter physiquement son adversaire, son intelligence tenant lieu de tout.

Autre qualité du Docteur, sa capacité à fédérer, à rassembler, à se gagner l'aide de compagnons d'un jour ou plus longtemps, extraterrestres ou humains. Au point que  rares sont les épisodes où le Docteur et Rose Tyler ne gagnent pas l'aide d'un troisième allié, voire plus, afin de vaincre l'ennemi du jour. 
Quel que soit le danger, on sait que le Docteur, envers et contre tout, nous sauvera.

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vendredi, 17 juillet 2009

DOCTOR WHO : review des épisodes 1.12 et 1.13

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1.12 : Bad Wolf (part. 1)

Sc : Russel T. Davies. R : Joe Ahearne.

DW 12 1.jpgLa Gamestation (Satellite 5) ; 200 100. Le Docteur participe à Big Brother, et Rose au Maillon Faible ! Les Daleks sont de retour ! Suite de l' épisode 1.07 " The Long Game". A bord de la station Satellite 5, le Docteur atterrit dans Big Brother. Rose atterrit sur le plateau du Maillon Faible, présenté par Anne Droïd. Et Jack Harkness est captif de eux androïdes obsédés par le relooking. Tous les trois ont été enlevés alors qu' ils étaient à bord du TARDIS, et le Docteur est bien déterminé à découvrir qui. Mais alors que Rose croit participer à un simple jeu, les candidats éliminés le sont vraiment, étant désintégrés, sans espoir de s'enfuir. De même que les habitants du Loft, désintégrés eux aussi à leur élimination. Les humains sont choisis au hasard, et gagnent le droit de survivre. Le Docteur est horrifié, surtout que 60 Big Brothers sont diffusés en même temps. Il parvient à sortir, et attend d' etre désintégré lui aussi, mais comme il s'y attendait, rien ne se passe. Il invite une des candidats avec lui, la sympathique Lynda. Et il comprend alors être à bord de Satellite 5, déjà visité il y a 100 ans. Le Docteur comprend que c'est sa dernière visite qui a abouti à ce monde. Jack Harkness, qui est parvenu à s'évader, les rejoint. Et tous les 3 tentent de rejoindre Rose à temps. Mais alors qu' ils y étaient presque, Rose est désintégrée. Le Docteur, Lynda et Jack Harkness sont arrêtés, mais s'évadent. ils parviennent à l' étage où opèrent les responsables. Il reste au Docteur à découvrir qui est derrière tout ça. Jack Harkness comprend que la désintégration est en réalité une téléportation, et que Rose est probablement toujours en vie. Mais des vaisseaux se direigent vers la Terre, et à leur bord, ils ont survécu... Les Daleks s'apprêtent à envahir la Terre...

DW 12 2.jpgMon avis : Démentiel, cette idée d' utiliser les émissions emblématiques de la télé, et de plonger nos héros à l' intérieur !! ^^ Une façon de critiquer ces émissions. Mais si l' on sourit au début, l' épisode traîne un peu ensuite jusqu' à la révélation finale de l' ennemi que doit affronter le Docteur. Très bonne première partie du dyptique final, même si la suite sera encore meilleure.
Le Captain Jack Harkness dissimule une arme dans une partie de son anatomie.
Continuité : Le Docteur et Rose sont donc de retour sur Satellite 5, 100 ans après leur précédente visite.
Le mystère "Bad Wolf" : C'est la société "Bad Wolf" qui remet le prix final du Maillon Faible, et qui dirige la Gamestation. Cet épisode revient sur le mystère entourant "Bad Wolf", ces mots qui semblent poursuivre le Docteur à travers le temps et l' espace. Pour ceux qui n'auraient pas prêté attention à ce mystère, l' ép. montre les passages des anciens ép. où le nom apparaissait.
Le mystère "Torchwood" : L' organisation Torchwood est mentionnée lors d' une question du Maillon Faible.



1.13 : The Parting of the Ways (part. 2)
Sc : Russel T. Davies. R : Joe Ahearne.

DW 13 1.jpgLa Gamestation (Satellite 5) ; 200 100. Les Daleks attaquent ! Le Bad Wolf est révélé ! Suite de l' épisode précédent. Rose a déjà surmonté plusieurs dangers et découvert de nombreuses merveilles aux côtés du Docteur, mais leur complicité va de nouveau être mise à l' épreuve, puisque la Terre s'est engagée dans une guerre épique. Rose Tyler est détenue prisonnière par les Daleks. le Docteur lance le TARDIS a vive allure au milieu des vaisseaux Daleks, et libère Rose. Puis il tente avec Jack Harkness de comprendre comment ils ont pu survivre à la Guerre du Temps. Le Dcoteur découvre l' atroce vérité : à travers un maître Dalek, ils ont survécu, en récupérant des corps humains. Puis ils se sont cachés durant des années, préparant leur vengeance. Le Docteur, Rose et Jack Harkness retournent sur la Gamstation, pour voir la flotte Dalek se diriger vers eux. Jack Harkness forme les troupes, et dit au revoir à Rose et au Docteur, puisqu' il risque de ne plus les revoir, se sacrifiant face à l' ennemi. Le Docteur met en place un plan, qui le confronte à un choix crucial : doit-il sacrifier tous les êtres humains, pour pouvoir sauver tous les êtres vivants de l' univers ? Puis il piège Rose Tyler pour la sauver. Puis le Docteur confronte le Dieu des Daleks, pour découvrir une dernière chose : comment son adversaire a-t-il fait pour créer le mystère Bad Wolf, envoyer ces mots à travers le temps et l' espace ? Mais le Dieu des Daleks nie toute implication. Pendant ce temps, Rose, de retour sur Terre auprès de ses proches, sa mère et Mickey, ne peut se résoudre à le savoir risquer sa vie seul à l' autre bout du temps. Soudain, les mots Bad Wolf apparaissent une dernière fois, tout autour de Rose, sous forme de tags. Rose comprend qu' elle peut rejoindre le Docteur, et le sauver. Sur la Gamestation, les Daleks passent à l' attaque et envahissent les lieux. Les humains tentent de résister, tandis que Rose cherche un moyen de réactiver le TARDIS pour rejoindre le Docteur. Rose absorbe les énergies se dégageant de l' âme du TARDIS, et rejoint le Docteur à travers le temps, à temps pour le sauver. Elle est devenue le Bad Wolf, et c'est elle-même qui a envoyé ces mots à travers le temps et l' espace. Elle extermine tous les Daleks, puis est sauvée d' une mort certaine par le Docteur, qui absorbe ses énergies et les rend au TARDIS. Mais le processus le tue. Le Docteur va devoir se régénérer...

DW 13 2.jpgMon avis : Magnifique épisode, et interprétation des acteurs principaux. Doctor Who atteint une dimension épique insoupçonnée. Christopher Eccleston est merveilleux, de même que Billie Piper. Les season finale de Doctor Who promettent toujours de grands moments d' émotion. Les effets spéciaux sont terribles, digne d' une production hollywoodienne. Rose Tyler est un deus ex-machina brillant, assurément. Et l' occasion d' un baiser entre le Docteur et Rose.
Continuité : Cet ép. marque la dernière app. de Christopher Eccleston (Le Docteur), et la première de David Tennant, désormais le nouveau Docteur (la dixième incarnation du personnage). Le Docteur s'est donc régénéré 9 fois, le faisant cette fois-ci puisqu' il s'est sacrifié pour sauver Rose. David Tennant sera le 10ème Docteur dans la saison 2.
Continuité : John Barrowman, le Captain Jack, sera le héros de sa propre série, TORCHWOOD (l' anagramme de DOCTOR WHO, titre de travail censé brouiller les pîstes lors du tournage de ce revival !), série annoncée comme beaucoup plus sombre que celle du Docteur. Captain Jack est donc vivant and he is left stranded on Satellite 5. Il n'est toutefois pas exclu qu' il réapparaisse dans la série.
Le mystère "Bad Wolf" : Le mystère entourant "Bad Wolf" est enfin révélé : Alors qu' on aurait pu penser qu' il ne s'agissait que d' une autre façon de désigner le Docteur, c'est Rose, ayant absorbé la puissance du Vortex temporel émis par le TARDIS, qui, telle Phoenix des X-Men, se cachait derrière ce mystérieux nom, étant devenue suffisamment puissante pour détruire tous les Daleks. Et envoyer des références à son nouvel état à travers le temps.

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" I am the Bad Wolf. I create myself. I take the words, I scatter them in time and space. A message to lead myself here.
- Rose, you've got to stop. You've got to stop this now! You've got the entire Vortex running through your head. You're going to burn !
- I want you safe. My Doctor. Protected from the false god. "

Rose, au Docteur (ép. 1.13 "The Parting of the Ways").

" This is Emergency Program 1. Rose, now listen, this is important. If this message has activated then it can only mean one thing: we must be in danger and I mean fatal. I'm dead, or about to die any second with no chance of escape.
- No !
- And that's okay, I hope it's a good death. But I promise to look after you, and that's what I'm doing. The TARDIS is taking you home...
- I won't let you.
- ...and I bet you're fussing and moaning now. Typical. But hold on now and just listen a bit more. The TARDIS can never return for me. Emergency Program 1 means I'm facing an enemy that should never get their hands on this machine. So this is what you should do. Let the TARDIS die. Just let this old box gather dust. no one can open it, no one will ever notice it. Let it become a strange little thing standing on a street corner. And over the years the world will move on and the box will be buried. And if you want to remember me you can do one thing for me, that's all, just one thing: (The hologram of the Doctor turns to stare at Rose) Have a good life. Do that for me Rose, have a fantastic life. "

L' hologramme du Docteur, à Rose (ép. 1.13 "The Parting of the Ways").

" You were fantastic ! Absolutely fantastic. And you know what ? So was I ! "
Le Docteur, à Rose (ép. 1.13 "The Parting of the Ways").