Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 14 mai 2010

Doctor Who : review des épisodes 4.07 "The Unicorn and the Wasp" et 4.08 "Silence in the Library (part. 1)"

DW RS4 1.jpg

4.07 : The Unicorn and the Wasp
Sc : Gareth Roberts. R : Graeme Harper.
DW 407 1.jpgép. Agatha Christie. Le Docteur et Donna arrivent au XXème siècle, dans les années 1920's, près d'une grande demeure où une fête se prépare. Les deux voyageurs du temps vont s'inviter à cette fête, et faire connaissance avec les invités. Parmi eux, a été invitée... Agatha Christie, la célèbre romancière ! Le Docteur découvre que lui et Donna ont atterri la veille de la disparition mystérieuse de la romancière. La fête est interrompue par la découverte du corps du professeur, assassinée. La fête prend des allures de Cluedo géant. Le Docteur se fait alors passer pour un inspecteur de Scotland Yard pour pouvoir mener l'enquête. Lui et Agatha Christie vont alors interroger les différents invités, afin de vérifier les alibis de chacun et découvrir qui pourrait être l'assassin. L'occasion de découvrir les petits secrets de chacun. Pendant ce temps, Donna Noble découvre une pièce vide, et une guêpe géante, énorme. Elle échapper de peu au monstre, et appelle le Docteur à l'aide. Celui-ci examine le dard laissé par la guêpe. Puis tous les trois découvrent l'insecte géant.

DW 407 2.jpgPlus tard, Donna et Agatha Christie se confient l'une à l'autre, avant de faire une étrange découverte dans le jardin. Elles font part de leur découverte au Docteur, qui a été empoisonné, mais parvient à se débarrasser du poison à temps. Au cours du repas du soir, un nouvel invité est retrouvé assassiné, après une nouvelle apparition de la guêpe géante. Le Docteur encourage alors la géniale Agatha Christie à découvrir elle-même qui est l’assassin... Les secrets des différents invités sont alors dévoilés.  Le meurtrier finit par être démasqué, et Agatha Christie envisage de se sacrifier pour en finir avec ces meurtres. Mais le Docteur la sauve à temps...
Mon avis : Un excellent épisode, léger, brillamment imaginé. Le charme des années 20 y est pour beaucoup, je dois dire : costumes d'époque, accompagnement musical... Rien n'est oublié. L'interrogatoire des invités est un régal. Autant que l'intrigue de l'épisode, bel hommage à Agatha Christie. La scène où le Docteur combat le poison est excellente, nous livrant un beau numéro de Tennant et Catherine Tate.


4.08 : Silence in the Library (part. 1)
Sc : Steven Moffat. R : Euros Lyn.
DW 408 1.jpgLe futur lointain. Une jeune fille est chez un psychiatre. Elle rêve souvent d’une grande librairie, lieu réel ou fantasmé. La librairie serait à elle, dans son esprit. Le Docteur choisit d’emmener Danna dans LA Librairie. La plus grande de l’ univers, puisqu’elle constitue... une planète entière. Censée accueillir tout ce qui a jamais été écrit. Mais à la grande surprise du Docteur, le lieu est complètement désert. Un ordinateur confirme qu’ ils sont les seuls êtres vivants. Tous deux explorent les lieux, et tombent sur un robot bibliothécaire. Celui-ci les met en garde : pour rester en vie, tous deux se voivent de compter les ombres. Lorsque dans une des ailes de la Librairie, les lumières s’éteignent, tous deux fuient. Ils atterrissent dans une pièce sûre, et le Docteur neutralise une caméra de surveillance. Ce qui a pour effet d’affecter la jeune fille chez le psychiatre. Puis le Dcoteur et Donna accueillent de nouveaux visiteurs : des archéologues, menés par une certaine Pr River Song, qu’ ils mettent en garde contre les dangers qu‘ils pourraient courir. Mais cela ne décourage nullement ces nouveaux visiteurs. River Song semble reconnaître le Docteur. Mais celui-ci ignore qui elle est. Puis le Docteur parvient temporairement à entre en contact avec la jeune fille, avant que le contact ne soit rompu. Une des visiteuses, Miss Evangelista, quitte le groupe pour explorer. Quant le groupe part à sa recherche, il ne trouve plus que son cadavre. Moment tragique, un reste de conscience anime encore le communicateur de la jeune femme. Le Docteur interroge ensuite River Song sur ce qui les relie tous deux, mais elle refuse de parler, et d’informer le Docteur de son avenir. Pendant ce temps, le Dr Moon s’apprête à quitter sa jeune patiente. Il l’informe toutefois que la Librairie existe vraiment, que ses cauchemars sont réels, et que des personnes enfermées dans la Librairie ont besoin d’elle pour s’en sortir vivantes...  Dans la Librairie, les ombres attaquent et tuent un des membres du groupe, malgré les efforts du Docteur, qui a téléporté Donna à bord du TARDIS pour la mettre à l‘abri.
DW 408 2.jpgMon avis : Une accroche surprenante. Un lieu propice à l’ imaginaire, surprenant, à la fois familier, et déformé par une vision whosienne. Tout comme pour « Blink », l’ épisode joue avec les peurs élémentaires. Ici un lieu désert alors qu’ il devrait regorger de vie. Un épisode très inquiétant, flippant. Surprenant, inattendu, aussi. Il fait partie de ces épisodes reposant entièrement sur une idée de départ, un lieu inattendu. Reste à occuper le reste de l’épisode avec une intrigue. Ce que Moffat fait fort bien, l’épisode ménageant ses rebondissements. D’une certaine manière, l’épisode s’inscrit dans la continuité de « Blink » : les diverses mises en garde sur le temps et le danger de remettre en cause la linéarité des événements, la tentation de passer outre que l’ on doit contenir, le « count the shadows » qui fait écho au fameux «  don’t blink »...
La Guest-star de l’ épisode : Alex Kingston, qui incarne ici le Pr River Song, est plus connue pour avoir été le Dr Corday dans  Urgences.

«  Now, listen. This is important. There's the real world and there's the world of nightmares. That's right, isn't it ? You understand that.
- Yes, I know, Doctor Moon.
- What I want you to remember is this- and I know it's hard. The real world is a lie and your nightmares are real. The Library is real. There are people trapped in there. People who need to be saved. The shadows are moving again. Those people are depending on you. Only you can save them. Only you. »

Le Dr Moon, à la petite fille (ép. 4.08 « Silence in the Library (part. 1) »).

«  Almost every species in the universe has an irrational fear of the dark. But they're wrong, 'cause it's not irrational. It's Vashta Nerada.
- What's Vashta Nerada ?
- It's what's in the dark. It's what's always in the dark. »

Le Docteur, à Donna  (ép. 4.08 « Silence in the Library (part. 1) »).

DW RS4 2.jpg

mercredi, 05 mai 2010

Doctor Who : Souvenirs, retour sur 2 histoires de Daleks

A travers cette note, retour sur mon parcours de sériephile...

DW TB 1.jpg

Tom Baker fut mon premier Docteur.

Même s'il n'est pas le premier Docteur historique. Mes souvenirs sont assez flous, puisque j'étais encore enfant à l'époque. L'année ? Je ne saurais le dire. Mais je pense me souvenir que c'était le samedi matin. Tôt. Vers les 6h30, 7h, peut-être. Je l'ai dit, j'étais enfant, les détails sont confus. Je ne saurais pas non plus dire pourquoi ou comment j'ai fait connaissance avec le Docteur.

Je me souviens juste, pourtant, d'une immense fascination, pour le Docteur, son univers fantasque, ses histoires. Je me souviens du TARDIS, d'ennemis charismatiques... Je suivais chaque samedi, depuis sa découverte. Les épisodes dont je me souviens mettaient en scène les redoutables ennemis du Docteur, les Daleks. Boîtes de conserve improbables, au look... de poubelle sur roulettes. Censés être les plus dangereux robots de la galaxie. Je me souviens également du look particulièrement travaillé du Docteur version Tom Baker : la chevelure frisée hirsute, l'écharpe colorée, le chapeau... son ennemi juré, Davros, le créateur des Daleks. Un génie enfermé dans un fauteuil à mi-chemin entre un Dalek et un être humain. Tout de cuir vêtu, semblant monstrueusement vieux. On pourrait penser facilement au Maître de la Saison 1 de Buffy, the Vampire-Slayer. Est-ce que l'un a influencé l'autre ?

DW TB 2.jpgPar nostalgie,
j'ai commandé 2 sagas mythiques du Docteur, pensant y retrouver les épisodes vus à l'époque : "Genesis of the Daleks", en 6 parties, et "Destiny of the Daleks", en 4 parties. Deux histoires écrites par Terry Nation, LE spécialiste des histoires mettant en scène les Daleks. La première histoire raconte la Genèse des ennemis mortels du Docteur. Celui-ci est envoyé en mission commandée sur Skaro, leur planète d'origine. A ses côtés, la toute aussi mythique Sarah-Jane comme compagne, et un autre personnage, assez effacé. Un retour dans le passé, alors que les Daleks viennent juste d'apparaître, et ne sont pas encore devenus la menace d'envergure qu'ils deviendront par la suite (même s'il s'agit de la 3ème histoire mettant en scène les terribles robots).
Dans la 2nde, qui se déroule 4 ans plus tard dans le run de Tom Baker (qui assura le rôle du Docteur de 1974 à 1981), le Docteur est accompagné cette fois de Romana, une Gallifreyenne dégourdie, à la hauteur du personnage, très complémentaire du Docteur. Une grande complicité unit ces 2 personnages. Tous deux atterrissent sur Skaro des années plus tard, alors que les Daleks sont encore sur place. Ceux-ci sont à la recherche de Davros, ayant survécu aux années, toujours vivant, prêt à "ressusciter" et guider à nouveau les Daleks. La raison pour laquelle, d'un seul coup, les Daleks souhaitent retrouver Skaro ne sera pas véritablement expliquée, celui-ci ayant été abandonné. Davros ne sera d'ailleurs aucunement rancunier. Le but de ces retrouvailles, est de préparer une guerre intergalactique entre deux espèces robots rivales. Le Docteur, comme Davros pourraient permettre la victoire d'un des 2 camps.

DW TB 3.jpg

Qu'en ai-je pensé ?
Hé bien... Difficile de regarder ces histoires autrement que par intérêt historique, par nostalgie, ou quand on est enfant. Parce qu'il faut bien le dire, il y a un terrible décalage entre les aventures récentes du Docteur, celles de son relaunch en 2005, résolument modernes, alertes, rythmées, et ces histoires datées.

DW TB 4.jpgDoctor Who, à l'époque, c'était réalisé avec des bouts de ficelle, sans moyens, sans budget conséquent, avec des passages dans des zones rocheuses désertes symbolisant Skaro, pour les extérieurs (pour un peu, on se croirait dans un bon vieux sentaï japonais, où certaines scènes étaient également tournées loin des villes), et des parties tournées en studio, en vidéo, dans des décors très pauvres, réduits au minimum. Il faut toute la force de conviction des acteurs, Tom Baker en tête, pour faire croire aux histoires racontées. Du coup, cela vieillit terriblement mal, comme d'autres productions de la même époque. Encore plus mal que Star Trek, pour proposer une comparaison avec un autre mythe de la S-F. Tout est kitsch, donc : les décors, les effets spéciaux, les costumes, le jeu d'acteur des personnages secondaires. "Genesis of the Daleks" est un peu trop long, jai tout de même trouvé "Destiny of the Daleks" plus intéressant au niveau de l'histoire, développant de nombreux aspects mythologiques. Et puis il y a davantage d'action, quelques explosions, quelques fondamentaux du myhte à l'écran : l'intérieur du TARDIS, K-9, le tourne-vis sonique du Docteur...

Heureusement, cette découverte permet de se rendre compte à quel point la version 2005 fut respectueuse du mythe, de son esprit, même si la réalisation moderne, le budget plus important, les progrès techniques, permettent une véritable évolution. Personnellement, à part être un fan acharné, je ne conseillerais pas de se replonger dans cette période révolue du Docteur, kitsch et digne de séries Z. C'est plutôt à découvrir par petites touches, par curiosité.

vendredi, 23 avril 2010

DOCTOR WHO : review des épisodes 4.05 "The Poison Sky (part. II)" et 4.06 "The Doctor's Daughter"

I'm back ! Allons-y, Alonso !!

DW RS4 1.jpg

4.05 : The Poison Sky (part. II)
Sc : Helen Raynor. R : Douglas McKinnon.
DW 205 1.jpgSuite directe de l'épisode précédent. On tire finalement d'affaire le pauvre Wilfred. Pendant ce temps, Martha Jones envoie un signal aux Centarans. les médias tentent de mettre en garde la population contre le gaz toxique. Martha informe ses supérieurs du Code Red Sentarans, comme l'a informé le Docteur. Puis celui-ci rejoint The U.NI.T. et Martha, tandis que Donna est normalement en sécurité à bord du TARDIS. Mais le TARDIS est téléporté chez les Sentarans. Ce que le Docteur découvre trop tard. Celui-ci envoie communique avec le chef des Sentarans. Donna, toujours à l'intérieur du TARDIS, assiste à la discussion. Pendant ce temps, le jeune génie qui s'est allié aux extraterrestres tente de convaincre les élèves de son académie de le suivre. Mais tous refusent. Donna, dans un moment de solitude, téléphone à sa mère. Les troupes Sentarannes finissent par débarquer dans les couloirs de The UNIT, sans rencontrer de résistance notable. Les militaires sont décimés. Luke Rattigan, le jeune génie, fait part de son échec au chef des Sentarans. Le Docteur, qui n'a pas oublié Donna, l'appelle. Il lui demande de l'aider, surtout qu'elle est la seule qui puisse faire quelque chose. Donna, guidée par le Docteur, est d'une efficacité redoutable.

DW 405 2.jpgPuis le chef de The UNIT montre leur arme secrète au Docteur et à ses hommes : un héliporteur dispersant les gaz toxiques. Puis le Docteur libère la véritable Martha, ayant compris que celle qui l'accompagne n'est qu'un clone. Qu'il neutralise. Les deux Martha se disent adieu. Le Docteur récupère à temps Donna, et libère son TARDIS. Puis le Docteur et ses deux assistantes arrêtent le jeune génie. Le Docteur invente en 2 temps 3 mouvements une fusée envoyant une bombe qui brûle les gaz ayant recouvert la planète, sauvant la Terre une fois de plus. Le Docteur s'apprête ensuite à se sacrifier pour vaincre une bonne fois pour toutes les Santarans. Il dit au revoir et remercie ses compagnes, avant de se téléporter dans la base des extraterrestres. Mais le Général Staal, le chef des Sontarans, n'est en aucune manière prêt à ceder. Mais c'est le jeune génie qui se sacrifie, et renvoie le Docteur sur Terre. Donna dit une dernière fois au revoir à son grand-père, avant de rejoindre le Docteur et Martha à bord du TARDIS. Martha ne souhaite pas rester, mais le TARDIS s'affole, emmenant les 3 explorateurs sans que le Docteur puisse interrompre le procesus...
Mon avis : La deuxième partie est moins passionnante que la première, faite de quelques longueurs. A croire que l'on joue la montre en attendant le dernier quart d' heure final. Les troupes de Sentarans débarquant à The UNIT sont relativement impressionnantes par leur nombre. Un épisode manquant quelque peu de rythme, donc, mais comme d'habitude, Tennant se donne à 300% dans le rôle du Docteur pour nous faire croire à l'impossible.

4.06 : The Doctor's Daughter
Sc : Stephen Greenhorn. R : Alice Troughton.
DW 406 1.jpgSuite de l'épisode précédent. Le TARDIS a atterri dans un nouvel endroit : un lieu jonché de débris, qui a tout d' une zone de guerre. Très vite, le Docteur et ses deux compagnes sont menacés par des hommes armés. Puis le Docteur se retrouve nez à nez avec... sa fille !! Puis le Docteur, ses compagnes, et les hommes en armes sont attaqués par des extraterrestres armés qui enlèvent Martha. Celle-ci tente d'aider un des extraterrrestres blessés. Martha Jones est emmenée dans leur base, et devient leur mascotte, tandis que le Docteur et Martha, ainsi que Jenny, sont amenées dans une base retranchée qui abrite les derniers soldats de l'humanité. Ceux-ci sont en quête de la Source, un mythe selon le Docteur. Celui-ci parvient à appeler sur son portable Martha Jones, et est soulagé d'apprendre que celle-ci est en vie. Pendant ce temps, les 2 camps, Humains et Haths, se préparent à se battre.

DW 406 2.jpgLe Docteur, Donna et Jenny sont retenus prisonniers, mais parviennent à s'échapper. Jenny est très curieuse d'en apprendre plus sur son père. Ceux-ci explorent le monde souterrain. Jenny, soldate née, refuse de rejoindre les rangs de l' armée des derniers humains. Le Docteur, épaté par les qualités de la jeune fille, est prêt à l'emmener avec elle. Pendant ce temps, Martha Jones, en compagnie d' un Hath, a décidé d' explorer la surface de la Terre, à l'air pur. Le Hath finit par se sacrifier pour la sauver. Le Docteur, Donna et Jenny finissent par découvrir un vaisseau spatial. Donna, géniale, finit par comprendre les secrets de ce monde étrange, en ayant observé une série de nombres indiqués en haut de certaines sections. Puis le trio finit par retrouver Martha Jones. Et découvrir la Source, qui n'a rien de mystique, mais n'est qu'un dispasitif de terraforming, transformant une planète afin de lui permettre d'accueillir la vie. Mais les deux armées finissent par les rattraper. Le Docteur décide qu'il est temps que la guerre se termine, et brise le globe enfermant la source, événement marquant la fin de la guerre. Mais malheureusement, Jenny prend une balle destinée à son père, tirée par le général guidant l'armée humaine... Le Docteur doit dire adieu à sa fille, qu'il a finalement à peine connue... Puis le Docteur ramène Martha Jones chez elle, qui finit de passer le relais à Donna.  
DW 406 3.jpgMon avis : Ce qui devait être la principale trouvaille de l' épisode, donner au Docteur une fille, est finalement relativement peu exploité. Elle est la fille du Docteur. Et alors ? D'ailleurs, au début, le Docteur ne fait aucun cas d'elle, n'essaie même pas de la connaître ! Comme si elle lui était indifférente, sans raison particulière. Par contre, celle-ci est relativement curieuse de connaître son père. Les Haths disposent d'un design assez original, pour le coup. La série est incroyable en ce qu'elle parvient à toujours renouveler la galerie des aliens rencontrés... L' histoire est ici certes classique, simple (simpliste ?) et un peu trop pleine de bons sentiments, mais reste plaisante à suivre. On pourra dire que l'épisode est à mettre dans la catégorie "sympa sans plus". Et je ne suis pas sûr que c'était une bonne idée de finir sur un "happy end" l'épisode, cela annihile quelque peu l'aspect dramatique du final. Sauf pour le plaisir de revoir prochainement la fameuse Jenny...
La Scène-culte de l' épisode : Jenny en train d'échapper à un faisceau de lasers, à l' aide d' une série de saltos... Même si on a déjà vu ailleurs ce genre de scène, elle fait particulièrement son effet ici.

DW RS4 2.jpg