dimanche, 20 avril 2014
Easter Tag : le Tag de Pâques des émotions en séries !!
Il y a peu, Nephthys m’a gentiment tagguée, suite à un tag de la blogueuse Samarian. Du coup, je vais proposer également un tour d’horizon des émotions que peuvent susciter les séries, et celles que j’y associe. Donc merci à Samarian pour l’idée de ce tag, et à Nephthys pour avoir pensé à moi comme participant !
La joie
Si j’ai bien compris, la joie de retrouver une série, de la visionner, de se dire qu’on va passer un bon moment. Pour moi, ce sont les séries Bad Robot, en général. Quand on lit pour la première fois leur prochaine mise en chantier. Il y a eu ALIAS, LOST, FRINGE, et en ce moment c’est Person of Interestqui me met en joie. Bon, j’admets, il y a eu des ratés dernièrement : je ne suis absolument pas fan de REVOLUTION, ALMOST HUMANet BELIEVE. Les 3 s’arrêteraient, ça ne me ferait ni chaud ni froid ! J’aimerais quand même retrouver ALMOST HUMANqui n’a pas montré tout son potentiel, mais il faudrait y retrouver ce à quoi on reconnaît une série Bad Robot, les mystères et une mythologie. Enchaîner des épisodes sur l’amitié de 2 flics, même dans un contexte futuriste, ça n’a en soi aucun intérêt. Il y a eu aussi le monument Breaking Bad, que j’avais marathoné il y a 2 ans je crois. Une série pareille qui vous plonge 42 min en apnée pour les derniers épisodes, c’est rare. Et LEVERAGE. Une série fun, cool, distrayante, bourrée de références geek, aux personnages tous attachants, une sorte de Mission : Impossiblemais sans le schéma un peu répétitif de la série parfois. La joie de voir de petits chef-d’œuvres, des séries enthousiasmantes. Je n’en ai pas une en particulier, mais plusieurs.
La tristesse
J’avais été particulièrement été triste lors de la mort de Richie dans Highlander. Et la fin de Quantum Leap, particulièrement émouvante. Epoque bénie où les risques de spoiler étaient minimes. Tandis qu’aujourd’hui, une simple balade sur Internet, et le spoil peut surgir de n’importe où. Rien que pour Game of Thrones, il vaut mieux être à jour !! Sinon, pour les séries plus récentes, j’ai du mal à trouver d’exemple de moment triste. Mais il y a bien entendu LA série aux scènes tire-larmes définitive, Doctor Who. Elle contient des scènes d’anthologie au niveau émotionnel, qui s’imprègnent dans notre mémoire à tout jamais. Une série qui reste pédagogique dans son traitement des émotions : elle nous rappelle que la joie comme la tristesse font partie de la vie, et que vivre, c’est accepter le changement, et les départs.
La confusion / la perplexité ( ??)
Alors, je ne vois pas trop. La perplexité vient en général du fait que des séries sont descendues alors qu’elles ne le méritent pas. Ou caricaturées. Quoique récemment, les séries feuilletonnantes sont celles qui m’ont laissé perplexe, comme 666 Park Avenueou Last Resort. Des séries que j’aurais aimé aimer, mais qui s’éparpillent, sont un peu fourre-tout. Si bien qu’au final, on (enfin je, bien sûr) ne comprend plus vraiment ce que ces séries veulent raconter. Last Resort, je crois que c’était 3 histoires en une, voire plus, et 666 Park Avenue… Je me le demande encore. Qu’on soit ben d’accord, j’ai aimé suivre les dernières séries feuilletonnantes en date, je ne regrette pas les avoir vus, mais pas au point d’en devenir fan. C’est dommage parce que je préfère dans l’absolu le concept de « séries feuilletonnantes », mais vu ce que l’on peut proposer…
La colère
Ce qui me met en colère, c’est que des séries soient annulées sans qu’il y ait de véritable fin, bien sûr. Comme beaucoup d’autres sériephiles. Ou qu’elle sombre dans la plus crasse médiocrité. Ce fut le cas de SLIDERS, hélas, une série dont on suit la graduelle perte de qualité et d’intérêt, quand on s’en fait l’intégrale. Une série vraiment géniale au début, qui tourne au gâchis. SLIDERSne fait pas exception, des séries qui ont connu la même évolution, il y en a eu bien d’autres, mais c’est vraiment à elle que je suis attaché. On pourrait dire que j’aurais pu en parler dans le paragraphe de la tristesse, mais c’est au-delà de cela. Oui, c’est vraiment de l’aigreur de voir un tel gâchis, je me répète… Et là, pour le coup, un reboot ou un retour sous une forme ou une autre, ce serait vraiment formidable !!
La peur, l’angoisse
Alors là, je suis bien embêté, parce que je ne regarde pas vraiment de séries me faisant peur. Et la peur est tellement difficile à susciter… Par contre, si je ne vais pas citer de séries actuelles, certaines séries me terrifiaient quand j’étais plus jeune : certains épisodes de The Twilight Zone/ La Quatrième Dimension. Certains épisodes de The Outer Limits/ Au-delà du Réel, aussi. Vous allez me dire mais, les monstres en plastique ?? Mais quand on est tout petit, vous savez… Et puis il y a certains passages de séries de S-F regardées trop jeune : Cosmos 1999 ou le générique de fin de Star Trek, reprenant certains extra-terrestres aperçus dans la série, qui m’avait traumatisé à l’ époque !! Des exemples assez anciens, donc. Par contre, à l’heure actuelle, je n’ai pas d’exemples en tête de séries vraiment effrayantes. Il y aurait bien Doctor Who, qui joue sur cela, mais comme c’est une série familiale qui doit pouvoir être regardée par les enfants, le côté « trouille » est vite désamorcé.
La nostalgie
Ceux qui me connaissent ne seront pas surpris, je pense automatiquement à des séries des années 90 : Slidersm’avait beaucoup marqué à l’époque, Le Caméléonaussi, par sa mythologie mise en place dès le début, et qui progressait à bon rythme au début. Et en ce moment, je me refais la série Highlander, et je kiffe. Pour moi, regarder des séries, ce n’est pas systématiquement s’extasier devant des séries épatantes dès le début. Ce que beaucoup trop cherchent désormais, d’ailleurs. C’est voir évoluer, grandir une série, qui sait corriger ses défauts petit à petit. Et Dieu que cette série partait de loin. Mais il y avait dès le début la force du concept, et du personnage principal, incarné par le très charismatique Duncan McLeod. Et le fait que les scénaristes ont vite compris la force de leur série, s’ouvrant à des réflexions philosophiques sur notre rapport au temps, à la mortalité. Donc, ce sont surtout des séries des années 90, au concept en béton armé, qui font naître ce sentiment de nostalgie, de regret. Je me regarde de temps en temps des séries d’autres époques, d’autres décennies, bien sûr, mais sans qu’il y ait ce regret, cet attachement profond.
La surprise
Nephthys proposait Lost Girlsur son blog, je serais pas loin de proposer pareil. Cette série fut une vraie belle surprise, avec d’excellents personnages et épisodes. Un concept séduisant également, et une mythologie qui se développe petit à petit. Les mêmes qualités que Buffy, the Vampire-Slayerou Highlander, en somme. Et surtout, la série ne se prend pas au sérieux comme d’autres séries coincées, comme GRIMM. Dans le même genre, je citerais bien LEVERAGE, également une excellente série que je ne pensais pas tant apprécier au début. Un concept très classique, très Mission : Impossible, mais d’excellents personnages, et plein de références Geek. Et puis ALIASou Buffyà l’époque, qui furent de réelles surprises, quand j’y repense. Vous savez ce que c’est, on lit le pitch d’une série, on le trouve idiot ou pas, on voit bien que cela veut ménager plein de concepts, et finalement on découvre un truc génial.
Voilà, je me rends compte que je parle toujours un peu des mêmes séries, mais je suis profondément attachée à certaines d’entre elles. En fait, ce tag est l’occasion de rappeler mes principaux coups de cœur dans mon parcours sériephilique, finalement !! ^^
KNIGHT
10:17 Publié dans Parcours croisés | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : tag, émotions, histoire des séries américaines, sliders, highlander, buffy, lost girl, doctor who, breaking bad, leverage
dimanche, 05 août 2012
LEVERAGE : Secondes pensées (Les Missions restent impossibles, part. 2)
J’avais déjà eu l’occasion de consacrer une première note à cette série, alors que je commençais à la découvrir, en voici une seconde, qui la complète d’une certaine manière, ayant terminé de visionner la Saison 1. Pour dire tout le bien que j’en pense.
Mission : Impossible, vraiment ?? : Si je continue à affirmer que LEVERAGE est le digne successeur de la mythique série des années 60, en en reprenant certains de ses éléments-clés (la préparation et la réalisation d’arnaques, de machinations particulièrement élaborées, la répartition des rôles en différentes fonctions), elle en diffère tout de même sur bien des points, jusqu’à, j’ose le dire, dépasser par endroits la série originelle. Bien sûr, au vu de la différence de budget et des conditions de production, en plus de la différence d’époque, LEVERAGE laisse davantage de place aux bastons et explosions. Car les acteurs et actrices dans la série sont véritablement excellents et se livrent à des numéros de comédie particulièrement savoureux. Gina Bellman, dans un autre registre que la divine Barbara Bain à l’époque, reprend le rôle de la séductrice pour se livrer à des numéros de haute volée. Le personnage de Parker, incarné par la géniale Beth Riesgraf, est totalement déjanté et azimuté, souvent en décalage, on ne sait jamais à quoi s’attendre de sa part. On découvrira d’ailleurs qu’elle est incapable d’interagir socialement avec d’autres personnes, n’ayant jamais appris à le faire. Second point, les 5 personnages principaux existent tous à l’écran, alors que dans Mission : Impossible, surtout les premières saisons, si les rôles dans les machinations étaient importants pour Barney et Willy, les personnages n’existaient qu’à travers cela, sans possibilité d’exister par eux-mêmes. Et pour cause parce que cette série était un formula-show à la construction très codifiée. Au point qu’il est impossible d’imaginer d’autre membre que les 5 de départ, alors que le principe de la série créée par Bruce Geller est que ses membres soient interchangeables selon les spécificités de la mission. En fait, la série a tout autant à voir avec The A-Team ( L’Agence Tous Risques en VF), autre série, emblématique des années 80, inspirée elle aussi par Mission : Impossible, et elle aussi dépassée.
De plus, la fin de saison laisse entrevoir que la série en a encore sous le pied. On pouvait penser jusqu’à présent qu’elle était juste ‘bonne’, elle se révèle excellente. Car au détour de l’épisode 1.11, pour les besoins d’une mission, deux des membres de l’équipe, dont le chef de l’équipe, Nate Ford, se retrouvent internés pour dépendance. Et le fameux Mastermind décline : car il est véritablement alcoolique, et n’est efficace qu’après avoir bu un ou deux verres. On découvrira par la suite dans le season finale exceptionnel de cette première saisons que le trauma initial dont il souffre, la perte de son fils, l’aura malheureusement poussé vers l’alcool. La série se pare alors d’une profondeur et d’une gravité dont on ne l’aurait pas cru capable. Elle glisse légèrement du simple divertissement léger dans le drame, le sérieux. De plus, tous les autres personnages sont quasiment accros au vol, ils n’auraient pu faire autre chose(à part peut-être Sophie Devereaux, qui tente désespérément dans le milieu du théâtre ou du cinéma), Ils ont ça dans le sang. Alors que dans Mission : Impossible, on évacuait (sauf très rares exceptions) cette question des motivations des membres de l’équipe, et pour cause, on y aurait apporté des réponses très rationnelles : loyauté envers son pays, par exemple, dans LEVERAGE, les réponses sont de l’ordre de l’émotionnel, voire du psychologique. On est bel et bien dans une série moderne, de grande qualité.
Côté Cast : La série assure vraiment au niveau de son cast, engageant pas mal d’acteurs connus dans le monde des séries que l’on s’amusera à reconnaître. Mais tout d’abord, comment ne pas évoquer Mark A. Sheppard, habitué des productions télévisées, qui sera apparu dans un épisode de la saison 1 d’X-Files, dans les deux premiers épisodes de la saison 6 de Doctor Who, dans Battlestar GALACTICA, dans Dollhouse… Peu de séries de genre n’auront pas fait appel à un moment ou à un autre à ses services. Il incarne ici un savoureux Jim Sterling, soit la nemesis de Nate et de l’équipe, qu’on se plaît à voir réapparaître encore et encore. Dans l’épisode-pilote, on retrouve Saul Rubinek apparu à 2 ou 3 reprises dans l’univers Star Trek, et membre de la distribution régulière de la série Warehouse 13. Dans un autre épisode, on retrouvera Sam Anderson, le Bernard de LOST, qui interpréta un rôle semi-réccurrent dans Angel, et qui apparaît en guest-star dans bon nombre de séries, ainsi que Danny Strong, le Jonathan de Buffy. Un autre épisode encore fera coup double en invitant deux acteurs liés à l’univers Star Trek : Armin Shimerman, le Ferengi Quark de Star Trek : Deep Space Nine, et le Principal Snyder dans Buffy, ainsi que Brent Spiner, l’androïde Data de Star Trek : The Next Génération. Jonathan Frakes, le Commandeur Riker de la même série, réalisera quelques épisodes de la série. Enfin, dans le season finale, on retrouvera avec plaisir Kari Matchett, vue dans Covert Affairs (elle y incarne Joan Campbell, la chef d’Annie Walker), dans le rôle de l’ex-femme de Nate, ainsi que Kevin Tighe, le Anthony Cooper de LOST, salopard fini et père indigne ayant abusé de la confiance de son fils John Locke.
Côté Geeks / les références pop de la série : LEVERAGE est, comme quelques autres dont FRINGE, une série faite par des geeks pour des geeks. D’ailleurs, le personnage de Hardison est un geek fini, ne pouvant s’empêcher de placer des références à droite à gauche. Ce qui se traduit par des références affichées émaillant les épisodes. Mais citons quelques exemples : tel dialogue, “ ce n’est pas cette pièce que vous recherchez “ fera ouvertement référence à l’une des phrases-cultes de Star Wars ( “ ce ne sont pas ces droïdes que vous recherchez “). Autre phrase-culte, “ I love when a plan comes together “ (“ j’adore quand un plan se déroule sans accrocs “, pour la VF), fait référence à la célèbre phrase d’Hannibal Smith dans The A-Team ( L’Agence Tous Risques, en VF). Et quand les membres de l’équipe ont besoin d’un alias, Nate Ford prend celui de Tom baker, et Parker celui de Rose. Tom Baker fut le 4ème interprète, et l’un des plus populaires, de Doctor Who, et Rose fut le prénom de l’une des plus célèbres compagnes du Docteur !! On est en terrain conquis…
09:45 Publié dans LEVERAGE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : leverage, mission : impossible, the a-team, agence tous risques, nathan ford, hardison, mark a. sheppard, histoire des séries américaines
vendredi, 08 juillet 2011
Leverage, premières impressions... (Les Missions restent impossibles, partie 1)
De quoi ça parle ? (le pitch de la série) : Nathan Ford alias « Nate » a une vie bien tranquille et rangée jusqu'au jour où un grave incident va le bousculer dans sa vie privée et va lui donner envie de changer les injustices. Il commence par monter une équipe de voleurs et hackers de haute-volée. Ensuite, comme des Robin des Bois des temps modernes, ils vont allier leurs forces pour combattre ces injustices et dépouiller les personnes les plus crapuleuses, riches et influentes qui utilisent leur pouvoir et leurs biens pour abuser des autres. (source : Wikipedia)
Les raisons d’y jeter tout de même un oeil… ou pas ! (mon avis) : Je pense que 2 grands types de séries continueront d’être produites à la télévision, quelle que soit l’époque : les séries d’espionnage, et les séries de voleurs ou arnaqueurs, qui sont assez proches dans les mécaniques développées au fil des épisodes. Parce qu’elles apportent des éléments addictifs au spectateur, et sont de nature à le faire rester devant son poste : des personnages plus ou moins charismatiques et attachants, et un principe narratif fort. Il s’agit en général de se déguiser afin de s’infiltrer dans un endroit afin de voler sans être vu, ou démasqué. Des éléments propres à l’enfance sont mis en scène devant surprendre, étonner le spectateur, qui doit se croire à un spectacle de magie ou d’illusionnisme. Les séries d’espionnage comme de voleurs reposent dès le départ sur 2 narratifs forts : elles doivent être des machines à suspense, l’espion ou le voleur risquant à tout moment d’être découvert ou interrompu, dans un exploit à réaliser en temps limité faisant naître un sentiment d’urgence.
Et puis il y a l’aspect supercherie, machination de taille. Mission : Impossible fut, en la matière, la série-reine. Je ne pense pas avoir besoin de revenir sur cette série, dont j’ai souvent parlé ici je crois. Dans ce domaine, on a également eu dans les années 90 Players, une série produite par Dick Wolf, prolifique producteur de séries TV. Cette courte série ne dura que 18 épisodes avec, déjà dans le cast principal, Ice-T, qui rejoindra la distribution d’une autre série de Dick Wolf, Law & Order : Special Victims Unit (New York : Unité Spéciale, en VF). Dans cette série, pas d’espions, mais des arnaqueurs de grand talent, des “con-men”, comme on les appelle aux Etats-Unis, sortis de prison en échange d’aider le FBI pour diverses missions. Et puis dans le même genre, les Britanniques ont eu Hustle / Les Arnaqueurs VIP, des voleurs de grande classe volant aux riches (une série que je n’ai pas vu). Pourquoi parler de ces séries ? Parce que Leverage s’inscrit dans cette lignée, ce type de séries.
Dans Leverage, donc, une équipe de voleurs solitaires, opérant en général chacun de son côté, chacun expert en un domaine, est réunie. On y retrouve le chef charismatique, Nathan Ford, la belle actrice chargée en général de la partie “séduction” des opérations, Sophie Devereaux (avec la caractéristique qu’en tant ordinaire elle est totalement nulle, et particulièrement douée en “mission”), l’expert en informatique, Aldis Hodge, la voleuse Parker, capable de s’infiltrer partout, et Elliot Spencer, l’homme fort de l’équipe. Un véritable expert du close combat, capable d’éliminer n’importe quel adversaire dans un temps très limité. Ces voleurs vont apprendre à faire équipe ensemble, afin d’être désormais du côté des “gentils”. Au programme, des arnaques et machinations complexes façon Mission : Impossible, où chacun a un rôle à jouer, rappelant les belles heures de la série des 60’s. Mais avec la différence notable de ton : loin du sérieux et de la rigueur quasi “militaire” des agents de l’IMF, le ton est ici plus léger, enjoué, avec des personnages décontractés, qui s’amusent et le spectateur aussi. Personnellement, j’ai adoré les quelques épisodes déjà vus, vu que j’adore ce type de série en général, et que la série est bien écrite et interprétée. Les scènes concernant la mission sont réjouissantes au possible, que ce soit voir Nathan et Sophie Devereaux tromper leur monde, ou Elliot Spencer passer à l’action dans des bagarres parfaitement chorégraphiées.
Côté cast : deux noms me parlent surtout dans la distribution régulière : Gina Bellman, qui incarne la belle femme fatale de l’équipe, était l’épouse de Jekyll dans la mini-série britannique de même nom, qui réinventait le personnage, mini-série créée par Steven Moffatt, et Christian Kane, le Lindsey McDonald de la série Angel. Dans le Pilote, on reconnaîtra aisément Saul Rubinek, célèbre pour sa participation à quelques épisodes de la saga Star Trek, mais aussi pour sa participation récente à la série Warehouse 13. Dans la Saison 2, devrait apparaître Jeri Ryan, la Seven of Nine de Star Trek ; Voyager, actrice ayant également participé aux séries Dark Skies, Boston Public, Shark, et d’autres encore…
18:09 Publié dans LEVERAGE | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : leverage, espionnage, arnaque, christian kane, gina bellman, histoire des séries américaines, nathan ford, sophie devereaux, mission : impossible, players, ice-t, dick wolf