mardi, 10 juillet 2012
EXTRAS : l'autre série de Ricky Gervais.
Ceux qui ont aimé la série faussement documentaire The Office, première création du duo constitué de Ricky Gervais et Stephen Merchant, ne pouvaient qu’attendre Extras, leur seconde création. Cette série aura mis du temps à arriver chez nous en DVD, mais sera finalement sortie chez nous il y a quelques mois.
De quoi ça parle ? (le pitch de la série) : Andy Millman quitte son emploi afin de poursuivre son rêve : devenir acteur. Mais l'entreprise se révèle plus difficile que prévue. Le comédien débutant obtient rarement des rôles parlants. Avec son amie Maggie, ils passent beaucoup de temps à envier les acteurs prestigieux dont ils croisent la route... (source : Allocine.com)
Les raisons d’y jeter un oeil… ou pas ! (mon avis sur la série) : Comme je l’ai indiqué au début de cette note, donc, Extras a pour créateurs Ricky Gervais et Stephen Merchant, déjà responsables de la remarquable série britannique The Office. Cette fois, on quitte le monde de l’ entreprise pour celui du show-bizness, et l’on suit non pas un ensemble de personnage mais seulement 2, un duo d’amis qui se connaissent de longue date. La forme du documentaire est abandonnée pour reprendre un format de série plus classique, même si comme pour The Office, la série se compose de 2 saisons de 6 épisodes chacune et d’un “Christmas Special” concluant la série. Il n’y a plus non plus de trame de fond, qui servirait de point d’arrivée, comme l’avenir inquiétant de l’entreprise (licenciements, restructuration… ) mais le même problème qui se pose à chacun des 2 personnages : Andy va-t-il enfin obtenir la ligne de texte qui le fera passer du statut de simple figurant à “rôle parlant”, lui permettant d’être payé plus par la même occasion ? Son amie Maggie va-t-elle enfin trouver l’amour, le petit-ami qui lui convienne enfin ? Et toujours les mêmes obstacles : le sort va se jouer des personnages les empêchant d’atteindre leur but. Encore une fois, Ricky Gervais joue les losers juste ce qu’il faut, tombant sur des personnages plus losers et pathétiques parfois que lui. L’un des intérêts de la série, la plus-value de cette production, est le fait que des acteurs confirmés, reconnus, ont accepté de jouer dans cette série, avec une participation plus ou grande à l’épisode, égratignant quelque peu leur image juste ce qu’il faut. Ainsi, Patrick Stewart, incarnation des célèbres Captain Picard dans Star Trek : The Next Generation et Charles Xavier dans la trilogie X-Men, cachait depuis le début un côté lubrique et obsédé, Ben Stiller se révèle n’être finalement qu’un connard fini, jouant de la souffrance des conflits qui frappent certaines régions du monde pour réaliser un film dramatique loin de ses comédies, et Kate Winslet tourne dans des films historiques uniquement pour enfin décrocher un oscar.
Mais ce qui fait surtout l’essentiel et l’intérêt de la série, c’est qu’elle poursuit la réflexion sociale, peut-être philosophique, autour du mensonge lancée par Dr House, mine de rien Rappelons-nous, Gregory House était devenu tel qu’on le connaît, un cynique égocentrique désagréable, car il avait voulu faire de la Vérité sa valeur absolue, primant sur toutes les autres, au risque de faire mal. Et devant les mensonges perpétuels, l’une des options permettant de ne pas sombrer est d’afficher un cynisme à toute épreuve, condition sine qua non pour accepter tout de même le personnage. Andy Millman, lui est une sorte d’anti-House. Incapable de faire preuve d’un tel cynisme, d’une telle “méchanceté”, il utilisera le mensonge envers et contre tout. Car ce n’est pas le tout de dire que tout le monde ment, encore faut-il comprendre que dans certains cas, le mensonge est préférable à une honnêteté trop blessante. Comment avouer à une jeune handicapée, qui a la foi pour seul soutien, que l’on ne croit pas du tout en Dieu ? Que le fait même de faire naître des personnages handicapées permet de douter de son existence, par exemple ? Et l’humour de la série, à peu près le même que dans The Office, débouche sur des scènes qui font rire, mais un rire gêné. Car ie rire vient de situations dans lesquelles se retrouve coincé Andy à cause de ses mensonges, qui avaient comme origine de ne pas blesser l’autre. Ou ne pas paraître ridicule. Tout comme Dr House montrait que la vérité peut conduire au cynisme, Extras sait nous rappeler pourquoi on ment. Et donc l’humour est peut-être même plus grinçant que dans la précédente série du duo. Du côté de Maggie, elle se ment à elle-même, et peut-être aussi souffre-t-elle de certains réflexes induits par la société. Ainsi rejettera-t-elle tel prétendant du fait de son infirmité (celui-ci a en effet un pied plus court que l’autre), tel autre parce qu’il est… noir. Un petit “racisme” dont on ne se rend pas compte au quotidien, qui gêne Maggie quand elle s’en rend compte, elle qui ne se voyait pas ainsi.
jeudi, 11 février 2010
STAR TREK : The Next Generation ; review des épisodes 1.04 "Code of Honour", 1.05 "Haven" et 1.06 "The Last Outpost"
1.04 : Code of Honour
Sc : Kathryn Powers & Michael Baron. R : Russ Mayberry.
Stardate : 41235.25. Dans l'espoir de pouvoir approvisionner la planète Styris IV en un précieux vaccin, l' équipage de l' Enterprise accueille à son bord les représentants d' une planète qui n'a pas encore rejoint la Fédération. Très vite, le chef de ce peuple, malgré le fait qu' il soit déjà marié, jette son dévolu sur la superbe Tasha Yar, au point de l' enlever ! Alors que le Capitaine Picard tente de trouver une solution pour ramener son officier, Tasha Yar va devoir lutter dans un combat à mort contre l'épouse du chef de guerre local, si elle veut pouvoir ramener la cargaison (c'est-à-dire le fameux vaccin) à bord de l' Enterprise...
Mon avis : L'un des plus faibles ép. de la série, totalement dispensable. Dommage, car il était censé metttre en avant le personnage de Tasha Yar... Déjà, je n'ai pas compris, personnellement, comment un peuple pouvait créer un vaccin pour une maladie apaprue... sur une autre planète (??). Ensuite, on met en scène un peuple inspiré d' une conception datée de l'Afrique, un peuple africain tribal réglant les questions d' honneur à coup de combat de gladiateur. Vraiment pas, donc un épisode faisant honneur à Star Trek, urtout, paradoxalement, parce que bien trop... TOS.
Michael Dorn, Worf, n'apparaît pas dans cet épisode.Et pour cause, le peuple de la semaine visité ne cesse de mettre en avant l' honneur, l'une des principales qualités qu'auront les Klingons dans le reste de la franchise. Du coup, ils peuvent être vus en quelque sorte comme des protos-Klingons.
Première apparition de la version "grille" de l' holodeck (sa véritable apparence) et de son arche. Pour commander le holodeck, Tasha utilise dans cet ép. un appareil ressemblant à un téléphone. Cet appareil ne fut plus jamais utilisé par la suite, le holodeck étant simplement commandé par la voix.
Les éléments de Continuité : Wesley est invité sur la passerelle.
1.05 : Haven
Sc : Tracy Tormé. H : Tracy Tormé & Lan O'Kun. R : Richard Compton.
Ép. comédie. Stardate : 41294.6. Une nouvelle épreuve attend Deanna Troi : devoir affronter la perspective d'honorer la tradition bétazoïde en acceptant un mariage de raison. Malheureusement, cette perspective ne l' enchante guère. Arrivent donc à bord de l'Enterprise sa mère, Lwaxana Troi, de passage sur le vaisseau en compagnie des parents du futur mari de sa fille, Wyatt Miller, qui lui aussi est quelque peu déçu lorsqu' il découvre Deanna. Car la jeune femme ne ressemble absolument à une jeune femme blonde qui hante ses rêves depuis des années. L' exhubérante Lwaxana Troi, la plus haute autorité de Betazoïd, va en faire voir de toutes les couleurs à Jean-Luc Picard...
Mon avis : Un épisode sous l'angle de la comédie, avec une histoire de mariage arrangé, et quelques moments comiques de ci de là, mais c'est tout. C'est le personnage à demi-extraterrestre Deanna Troi qui a à subir cette épreuve du mariage arrangé cette fois. Cet épisode est surtout l'occasion de découvrir la trucculente, l' exhubérante et farfelue Lwaxana Troi, magnifiquement interprétée par Majel Barrett revenant encore une fois dans l' univers Star Trek pour interpréter un nouveau personnage.
L'épisode offre par son biais, et celui de Patrick Stewart, de remarquables moments de comédies. Le point fort de l' épisode, d'ailleurs, qui sinon, offre une intrigue générale de peu d' intérêt, et convenue. Difficile en effet de s'intéresser véritablement à cette histoire de mariage arrangé, au personnage terne, sans relief de Wyatt Miller. Un personnage qui explique toutefois un peu pourquoi le couple Riker-Troi ne s'est pas "construit" : William Riker privilégie sa carrière avant tout, et ambitionne de devenir Capitaine, un jour.
Continuité et Guest-star de l' épisode : Première apparition du personnage de Lwaxana Troi, interprêtée par Majel Barrett, la veuve de Gene Roddenberry, et déjà liée à l' univers Star Trek : elle fut l' interprète de Number One dans le Pilote non-diffusé de TOS "The Cage", et l' interprète de l' Infirmière Christine Chapel. Celle-ci reviendra à de nombreuses reprises dans la série, et apparaîtra également dans Star Trek : Deep Space Nine.
Michael Dorn et Wil Wheaton n'apparaissent pas dans cet épisode. (et ce n'est pas un mal)
La Guest-star de l' épisode : Dans le rôle de Wyatt, on retrouve Robert Knepper, méconnaissable, qui sera plus tard dans Prison BreakT-Bag. On reverra cet acteur dans Carnivale, mais également dans la Saison 4 de Heroes.
Premier ép. écrit pour la série par Tracy Tormé, l' un des deux créateur de Sliders. Richard Compton réalisera quant à lui de nombreux ép. de Babylon 5.
1.06 : The Last Outpost
Sc : Herbert Wright. H : Richard Krzemien. R : Richard Colla.
Ép. mettant en scène les Ferengis. Stardate : 41386.4. L' Enterprise se lance à la poursuite d'un vaisseau dont les membres d'équipage, d'origine Ferengi, sont suspectés de divers vols. Tout à coup, les deux vaisseaux se retrouvent paralysés, prisonniers d'une force inconnue. Les deux équipages croient dans un premier temps que c'est l' autre qui a trouvé le moyen de les paralyser, avant que l'équipage de l'Enterprise ne comprenne que la source du pouvoir paralysant les deux vaisseaux émane d' une planète voisine. Les membres des deux équipages se téléportent sur place, et sont alors confrontés à une puissante entité, dernière incarnation d' une ancienne civilisation désormais disparue...
Mon avis : Première app. dans l' univers Trek des cupides Ferengis, créés à l' origine pour remplacer les Klingons en tant qu'adversaires majeurs de la Fédération, et après qu' ils aient été mentionnés dans l' ép.-pilote (les Klingons et la Fédération entretenant désormais des relations pacifiques en partie grâce aux Accords de Khitomer, signés lors du film Star Trek VI, dont les événements se déroulent avant la série), mais leur aspect ridicule, et plus ou moins simiesque, aboutit à la création des Borgs bien plus efficaces et effrayants en terme de nouvel ennemi.
Les principaux ennemis de la série seront donc les Borgs, introduits dans l' ép. "Q Who?", mais aussi les Romulliens, complotant à de nombreuses reprises afin d' affaiblir la Fédération.
La Guest-star de l' épisode : Armin Shimerman, qui joue ici le rôle du Ferengi Letek, interprêtera le rôle du barman Ferengi Quark dans la série Star Trek : Deep Space Nine, ainsi que celui du Principal Snyder dans Buffy the Vampire-Slayer.
Wil Wheaton n'apparaît pas dans cet épisode, mais on mentionne dans le dialogue qu' il est dans ses quartiers.
vendredi, 29 janvier 2010
STAR TREK : The Next Generation ; review des épisodes 1.01 & 1.02 "Encounter at Farpoint, et 1.03 "The Naked Now"
Ayant commencé récemment l'aventure Star Trek Online (un jeu MMORPG célébrant la franchise), j'ai eu envie de me replonger une énième fois dans la seconde série Star Trek.
Encounter at Farpoint (1.01 et 1.02 - 90 mn)
Sc : D.C. Fontana & Gene Roddenberry. R : Corey Allen.
Double épisode-pilote. Stardate : 41153.7. Le nouveau capitaine du récemment construit U.S.S. Enterprise-D, de classe Galaxy, le Capitaine Jean-Luc Picard, prend le commandement du vaisseau pour leur première mission : découvrir le secret de la Station Farpoint. L' occasion de faire connaissance avec les officiers qui serviront sous ses ordres. Une station spatiale dont le responsable, Groppler Zorn, souhaite faire adhérer à la Fédération. Durant leur voyage vers cette station spatiale, ils rencontrent un obstacle de taille : un être omnipotent, Q, qui leur demande leur demande de faire demi-tour et accuse l' humanité de barbarisme. Redoutable, aucun des membres d' équipage ne peut rien contre lui. Q finit par emporter avec lui Jean-Luc Picard, Tasha Yar et Data, afin de procéder à leur jugement. Condamnant l' humanité, il finit par faire preuve de clémence, mais Picard ne doit plus seulement être le Capitaine de l' Enterprise, il devra également prouver que la race humaine a évolué, s'est améliorée, et ne doit pas être annihilée, contrairement à ce que sous-entend Q. Pour cela, Q leur propose de résoudre le mystère les attendant à Farpoint, car la station pourrait bien cacher un bien étrange secret...
Mon avis : Un épisode-pilote très classique ayant essentiellement pour but de présenter les différents personnages qui accompagneront les téléspectateurs 7 années durant, ainsi que les différents lieux où ceux-ci évolueront : la salle des machines, la passerelle... Tous les personnages ne sont pas présentés en même temps, mais en deux temps : on commence par introduire le Capitaine Jean-Luc Picard, la Conseillère Deanna Troi, le Klingon Worf, l' androïde Data et l'officier chargé de la sécurité Tasha Yar, avant de présenter dans un second temps le Commmandeur William Riker, Geordi LaForge, le Docteur Beverly Crusher et son fils Wesley... John de Lancie livre une interprétation des plus savoureuse dans le rôle de l' extravagant Q. D'ailleurs, l'épisode gagne beaucoup du simple fait de sa présence et sa participation à l'intrigue, la partie autour de Farpoint étant loin d' être enthousiasmante ou passionnante...
L'épisode propose certains morceaux de bravoure tels que la séparation de l' Enterprise en deux parties indépendantes et autonomes. Toutefois, la manoeuvre ne sera vue qu' à deux reprises durant toute la série. Une innovation qui de toute façon n'apporte pas grand chose à la série.
Le tournage de cet épisode (et de la série elle-même) commença le 29 Mai 1987. Il s'agit du seul ép. dans lequel les crédits de fin défilent, et du seul épisode également à avoir le titre de l'épisode écrit uniquement en lettres capitales. Il s'agit aussi du seul ép. de The Next Generation à jouer la musique du générique durant l' épisode lui-même.
Continuité et Mythologie : L' ép. mentionne par deux fois dans le dialogue les Ferengis, une nouvelle race devant peupler l' univers Star Trek, à travers le personnage de Grappler Zorn.
Continuité et Mythologie : L' épisode marque la première apparition de Q, un être omnipotent qui n'a pas fini de torturer l' équipage et en particulier le Capitaine Picard.
Continuité et Mythologie : Première apparition également de Miles O'Brien dans l' univers Trek, mais celui-ci n'est qu' un simple officier de communications dans cet épisode, avec un rôle et une présence à l'écran tout à fait anecdotiques.
1.03 : The Naked Now
Sc : J. Michael Bingham. H : John D.F. Black & D.C. Fontana. R : Paul Lynch.
Suite de l' ép. 1.06 de Star Trek The Original Series "The Naked Time". Stardate : 41209.2. Alors qu' ils examinent les morts mystérieuses de l' équipage à bord du vaisseau Tsiolkovsky, l' équipage de l' Enterprise cherche à comprendre ce qui a pu se passer. Geordi Laforge, sans le savoir, est infecté par un virus qui avait déjà par le passé frappé les membres de l' équipage du Capitaine Kirk. Ce virus se propage alors au reste de l' équipage, faisant à présent des ravages parmi les membres du nouvel Enterprise, chacun se mettant à extérioriser ses moindres pulsions, et levant les inhibitions de tous, agissant comme sous l' effet de l' alcool. Le problème est que ce virus a déjà conduit les membres du Tsiolkovsky à leur perte. De plus, Wesley, lui aussi touché par le virus, a décidé de prendre les commandes de l' Enterprise, depuis la salle des machines. Et l' étoile près duquel se trouvent les deux vaisseaux est sur le point de s'effondrer sur elle-même. Du coup, le temps presse pour trouver un vaccin au virus, et également reprendre le contrôle de l' Enterprise...
Mon avis : Cet épisode exploite un thème classique de toute série de SF, à savoir les personnages pris sous l' effet d' un mystérieux charme, ou dans un état second qui a pour effet de lever leurs inhibitions naturelles. Il est toutefois étonnant qu' un tel ép. prenne place si tôt dans une série, les personnages venant à peine d' être présentés au public.
C'est en tout cas ce que je me disais jusqu' à présent. Mais la réponse à la raison de cet épisode tient à son titre : libérées de tout ce qui a trait au rang, au poids des conventions, de l' apparence (ou des apparences), les véritables personnalités peuvent s'exprimer. Ainsi l' épisode, un des meilleurs de cette première saison, présente les relations affectives, amicales ou amoureuses, entre les différents protagonistes, qui ont existé, ou pourraient exister. Pour ceux qui se poseraient la question, Data fut un androïde conçu et pensé pour simuler toutes les activités et émotions humaines, et même le sexe. Tasha Yar, en mal d' affection, de tendresse, s'en servira pour assouvir ses besoins sexuels et ses fantasmes. Jean-Luc a une relation particulière avec Beverly, tous deux pouvant très bien entamer une relation ensemble, eux qui se connaissent depuis longtemps. Tout comme Deanna Troi et William Riker, d'ailleurs. Le spectateur a ainsi l' opportunité de découvrir la vérité nue des personnages de la série, de leurs relations.
Avec cet épisode, on se retrouve avec un mauvais décalque de l' épisode "The Naked Time" de TOS, pas aussi drôle ou enlevé que l' épisode original, même s'il reste un très bon épisode, quelques belles scènes se dégagent tout de même, comme celles mettant en scène Data ou Picard, ceci étant dû à l' immense talent de leurs interprètes. Mais la copie ne vaut pas selon moi l' original.
Les éléments de Continuité : Wesley est particulièrement doué pour les sciences, trouvant le moyen d' inventer un mini rayon tracteur, ainsi qu' un imitateur de voix.
Bilan : Un manque d' originalité certain se fait sentir avec TNG. Les scénarios font bien trop penser à TOS, comme si la série refaisait simplement du TOS, justement, sans rien apporter vraiment malheureusement de bien original. Mais les comédiens, de talent, emportent l' adhésion, en particulier bien sûr Patrick Stewart, impérial. Malgré tout, un manque d' alchimie se fait sentir, même si certains "couples" de personnages commencent à se former.
20:37 Publié dans Star Trek : The Next Generation | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : star trek the next generation, patrick stewart, jean-luc picard, william riker, data, brent spiner, geordi laforge, tasha yar, denise crosby