mardi, 25 janvier 2011
Les séries "Boobs & Ass", partie 4 : Bienvenue dans la jungle...

Quoi de mieux qu’une jungle, au climat tropical, pour une série “Boobs & Ass” ? Les jeunes filles s’y promenant sous une chaleur infernale auront tôt fait de se promener dans des tenues légères afin de résister à la chaleur y régnant…
Sheena :

Les raisons d’y jeter tout de même un oeil… ou pas : Pamela Anderson n’a pas été la seule ancienne actrice de Baywatch à avoir l’honneur d’être l’actrice principale de sa propre série. Il y a eu aussi Gena Lee Nolin, belle, grande et blonde. La série fut d’ailleurs créée par un des anciens producteurs exécutifs et scénaristes de Baywatch, Douglas Schwartz, ainsi que par un ancien scénariste de Xena the Warrior-Princess, Steven L. Sears. Elle est l’adaptation d’un comic américain, qui a déjà connu de précédentes adaptations. Dans cette série se déroulant dans la jungle, Gena incarne donc une reine de la jungle, Sheena, capable de communiquer avec les animaux.

Sheena fut produite de 2000 à 2002, le temps de 2 saisons, 1 première de 22 épisodes et 1 seconde de 13 épisodes. En France, elle fut diffusée sur TF6 uniquement.
Le Monde Perdu de Sir Arthur Conan Doyle :



En France, la première saison de la série fut diffusée sur M6, qui ne la rediffusa plus vraiment, contrairement à d’autres séries. Elle en resta là, alors que Le Monde Perdu dura tout de même trois saisons, laissant les téléspectateurs français sur les cliffhangers de la fin de saison…
Adventures & Associés :

Les raisons d’y jeter tout de même un oeil… ou pas : Quand Relic hunter s’est achevée, on a pu voir débarquer sur M6 en France une série surfant sur la même vague : des chasseurs de trésors parcourant les quatre coins du globe pour mettre la main sur des reliques perdues. Au casting, et pour conduire la distribution régulière de la série, on put retrouver Michael Biehn. Soit l’interprète de Kyle Reese, l’humain tentant de sauver Sarah Connor dans le tout premier Terminator (1984), et un des acteurs fétiches de James Cameron, puisqu’il participa également aux films Aliens et Abyss. La série fut d’ailleurs créée par Gale Ann Hurd, productrice sur les deux premiers Terminator.

La série ne dura, contrairement à son aînée Relic Hunter, que le temps d’une seule saison de 22 épisodes.
18:27 Publié dans Intégrales (séries d'une saison ou plus, oubliées | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cul, seins, sexy, sheena, gena lee nolin, jennifero'dell, le monde perdu, the lost world, rachel blakely, adventures et associés, michael biehn, terminator, karen cliche
lundi, 19 octobre 2009
TERMINATOR : The Sarah Connor Chronicles ; premières impressions

1.01 : Pilot
Sc : Josh Friedman. R : David Nutter.
Il est des films qui, surtout quand on les regarde jeune, inscrivent des images qui restent à jamais gravées dans notre mémoire, qui nous marquent d'une façon ou d' une autre. Parce qu'ils font résonner quelque chose en nous, parce qu'ils correspondent à des événements particuliers, ou parce que ce sont tout simplement des oeuvres-cultes, portées par un cinéaste au sommet de son art. Ce fut le cas pour moi avec Terminator 2 : The Judgement Day, sorti alors que j'étais encore à l'époque au collège, dont tout le monde parlait dans la cour de récré, que j'avais été voir au cinéma.
Ce dimanche 18 Octobre fut celui du début de la diffusion (enfin !) de la série Terminator : The Sarah Connor Chronicles, la série lancée à la télévision afin d' exploiter l' univers créé par James Cameron, et surtout, faire suite au second volume de la saga cinématographique, ayant déjà connu des suites plus ou moins réussies (Terminator 3 : The Rise of the Machines par Jonathan Mostow, Terminator : Salvation par McG) dont la série ne tiendra pas compte, développant une mythologie propre. La saga a toujours eu une résonnance particulière, chez moi, et donc, difficile d'être objectif avec une oeuvre exploitant cet univers.
Pour le scénario du Pilote, pas grand chose à en dire. Les Terminator sont de retour du futur, et malgré la mort de Dyson, Skynet naîtra tout de même, et le Jugement Dernier n'a été que repoussé. Du coup, on se retrouve avec une histoire reprenant peu ou prou celle des films : les deux Terminators débarquent, un pour protéger John et sa mère Sarah, l' autre pour éliminer John. Le scénario ne présentera aucune surprise au téléspectateur familier de la saga, qui sera en terrain connu.
John Connor est à l'époque des événements de la série un jeune adolescent, incarné par un minet qu'on croirait tout droit sorti d'un teen show comme en produit la CW. Celui-ci manque de poigne, de hargne, ressemble à n'importe quel ado de série TV. Comment pourrait-il être le leader espéré assurant le futur de l'humanité ? Car vu que l'histoire ne fait que reproduire une histoire déjà bien connue, il reste à s'intéresser au casting. Du côté de Sarah Connor, Lena Headey tente d'assurer, mais reste une mère de famille attachée à son fils, manquant elle aussi de charisme par rapport à l'interprétation survitaminée, masculine de Linda Hamilton dans le second film, écorchée vive, éternelle Sarah Connor. Lena, en comparaison, est un peu plus fade, un peu trop... "douce".
Et puis il y a les Terminators. Du côté de celui envoyé par Skynet, Cromartie, tout en muscles et dureté, regard froid, robotique, donne une interprétation convaincante. Et du côté des humains, un choix curieux : la frêle Summer Glau, parce que pour approcher John, il fallait une jeune fille pouvant se faire passer pour une adolescente. Etrange, cette lubie de certaines personnes à Hollywood voulant lui faire endosser des rôles de femme forte, à la puissance bien opposée à l'image qu' elle peut dégager. C'était déjà le cas dans Firefly, remember ? Donc tout dépendra du spectateur, mais avec moi, ça a du mal à passer, même si elle joue assez bien son rôle.
Pour satisfaire les fans, et lui rappeler ce qu' il regarde, la série use et abuse des gimmicks issus des précédents films au point parfois de faire catalogue. La réplique devenue culte " Suis-moi si tu veux vivre ", l' intervention in extremis pour sauver John avec un 4X4 venant culbuter le Terminator, le fusil à pompe et les balles qui ralentissent le Terminator mais ne l' arrêtent pas, le fait d' emprunter la voix à un autre pour piéger l'ennemi, tout y passe...
Les fans sont à la fête, et pour les autres... Car le spectacle est là, et même si tout cela est bien creux, on prend beaucoup de plaisir à retrouver un univers familier. On se croirait avec ce type de série revenu au bon vieux temps des 80's, alors que les séries d' action, pleines de justiciers, envahissaient les écrans TV.
Reste à voir ce que les scénaristes ont en réserve et dans le ventre pour la suite...

08:26 Publié dans TERMINATOR : The Sarah Connor Chronicles | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : terminator, james cameron, lena headey, summer glau, skynet



