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vendredi, 05 avril 2013

The Magnificent Seven : et un western de plus ! Hélas... (Les Western en Séries)

Il y a quelque temps, cette série était proposée pour une somme dérisoire, à peine 2 ou 3 Euros la saison. Indice notable quant à la qualité de la série, ou pépite oubliée ?

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De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :  Aux États-Unis, alors que la guerre de Sécession vient de prendre fin, un régiment de confédérés (États du Sud qui se rebellent quand Abraham Lincoln s'oppose à l'esclavage) sème encore la terreur. Un village d'Indiens est pris à partie et pillé régulièrement par ce régiment. Les villageois font alors appel à sept mercenaires pour les défendre. La lutte entre ce régiment et les mercenaires va alors faire rage. Une fois le régiment vaincu, les 7 Mercenaires décident de rester alliés pour défendre la loi et la justice, et aider les opprimés dans l’Ouest américain. (source : Wikipedia).

Les raisons d’y jeter un oeil… ou pas ! (mon avis critique sur la série) :  Cette série-western fut produite de 1998 à 2000 par Pen Densham et John Watson. Annonçons tout de suite la couleur, The Magnificent Seven fait partie du cortège de mauvaises séries produites dans les années 90, et une nouvelle preuve éclatante que réunir de nombreux acteurs de talent ne suffit pas à faire une grande série. Car sur le papier, la série avait de sacrés atouts pour séduire : un casting éclectique de qualité, constitué de Michael Biehn (le Kyle Reese de Terminator), Eric Close (un habitué des productions télévisées, ayant participé au cast régulier de plusieurs séries : Now and Again, Without A Trace ou encore Dark Skies), Ron Pearlman (l’interprète d’HellBoy, également vu dans Sons of Anarchy et le film Star Trek : Nemesis), Anthony Starke (il incarna un personnage déjanté dans la série TV Flash), et Rick Worthy (lui aussi habitué des productions télévisées, il incarna notamment l’un des 12 Cylons dans Battlestar GALACTICA). A ces acteurs, on pourra ajouter Andrew Kavovit et Dale Midkiff, ainsi que Laurie Holden, la Marita Covarrubias d’X-Files, qui participe à la distribution régulière de WALKING DEAD. Un casting qui se défend, donc, auquel viendra dans quelques épisodes s’ajouter Robert Vaughn, ex-Agent très spécial, vu dans la Saison 5 de The A-Team (L’Agence Tous Risques, en VF) et HUSTLE. Tout cela au service d’une revisitation du mythe des 7 Mercenaires dans une série TV. Mais au bout de quelques épisodes, la série déçoit énormément. Car un cast aussi étendu n’est pas évident à maîtriser et tous les personnages ne sont pas logés à la même enseigne, certains étant favorisés par rapport à d’autres. Ainsi, la participation de Ron Pearlman sera hélas loin d’être essentielle dans la plupart des épisodes.

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Mais là où le bas blesse le plus, c’est dans… tout. Les scénarios de la série se contentent d’aligner les poncifs du genre, sans ménager aucune surprise, en exploitant tous les lieux communs du genre western. La réalisation est pauvre, l’ambiance sonore est répétitive au possible, avec quelques musiques que l’on répète en boucle, constamment, d’un épisode à l’autre. Bref, on s’ennuie ferme en regardant la série, qui n’apporte rien au genre western dont elle recycle les poncifs. Heureusement, DEADWOOD viendra dynamiter et revivifier de façon étonnante et brillante ce genre qui fut un des fleurons de la production télévisée à une certaine époque. En France, la série fut proposée par F3 dans des cases-horaires d’après-midi en semaine.

Côté Cast :  On peut noter comme acteurs invités à participer à la série les belles brunes Bobbie Phillips et Lola GLaudini (vue dans Persons Unknown, Les Soprano ou encore Criminal Minds / Esprits Criminels), Kathryn Morris (avant qu’elle ne soit l’actrice principale de Cold Case) ou encore Bruce McGill (le Jack Dalton de MacGyver, vu dans le Pilote et le series finale de Quantum Leap / Code Quantum, dans de nombreuses productions télévisées depuis).

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mardi, 25 janvier 2011

Les séries "Boobs & Ass", partie 4 : Bienvenue dans la jungle...

 

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Quoi de mieux qu’une jungle, au climat tropical, pour une série “Boobs & Ass” ? Les jeunes filles s’y promenant sous une chaleur infernale auront tôt fait de se promener dans des tenues légères afin de résister à la chaleur y régnant…

 

Sheena :

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Synopsis : Orpheline, Sheena est élevée au fin fond de l'Afrique par la dernière survivante de la tribu Kaya qui lui transmet le don de se métamorphoser elle-même en animal. Désormais adulte, cette héroïne des temps modernes s'emploie à préserver une civilisation passée des agissements du monde moderne... (source : Horreur.net)

Les raisons d’y jeter tout de même un oeil… ou pas : Pamela Anderson n’a pas été la seule ancienne actrice de Baywatch à avoir l’honneur d’être l’actrice principale de sa propre série. Il y a eu aussi Gena Lee Nolin, belle, grande et blonde. La série fut d’ailleurs créée par un des anciens producteurs exécutifs et scénaristes de Baywatch, Douglas Schwartz, ainsi que par un ancien scénariste de Xena the Warrior-Princess, Steven L. Sears. Elle est l’adaptation d’un comic américain, qui a déjà connu de précédentes adaptations. Dans cette série se déroulant dans la jungle, Gena incarne donc une reine de la jungle, Sheena, capable de communiquer avec les animaux.

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L’atout charme : comme dit plus haut, le principal atout était la présence dans le rôle-titre, en tenue de peau de bête de la sculpturale Gena Lee Nolin.

Sheena fut produite de 2000 à 2002, le temps de 2 saisons, 1 première de 22 épisodes et 1 seconde de 13 épisodes. En France, elle fut diffusée sur TF6 uniquement.

 

Le Monde Perdu de Sir Arthur Conan Doyle :

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Synopsis : Considéré comme un affabulateur par ses collègues scientifiques, le professeur Challenger veut prouver l'existence d'un monde préhistorique perdu au coeur de l'Amazonie. Il monte à cette fin une expédition à laquelle prennent également part Ned Malone, un reporter à la recherche d'un article retentissant, Lord John Roxton, un chasseur professionnel en quête d'une proie hors du commun, le professeur Summerlee, un grand botaniste attiré par la perspective d'espèce inconnues, et Marguerite Krux, une riche aventurière qui finance l'équipée mais dont les motivations demeurent mystérieuses. L'expédition est un succès quand après moult péripéties, ils découvrent enfin ce monde perdu. Mais la montgolfière qui leur servait de moyen de locomotion est détruite par un violent orage, anéantissant tous leurs espoirs de retour vers la civilisation. C'est alors qu'ils rencontrent Veronica Layton, une jeune femme qui vit sur le plateau depuis qu'elle a 9 ans... (source : Wikipedia)

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Les raisons d’y jeter tout de même un oeil… ou pas : Arthur Conan Doyle a connu de nombreuses adaptations, et notamment son récit mettant en scène un monde lointain, sauvage, perdu, où des dinosaures auraient survécu à l’extinction. Le monde des séries TV n’a jamais eu peur du ridicule, et alors que sévit au cinéma Jurassic Park, on hésite pas à mettre dans les séries, parfois des monstres virtuels auxquels le téléspectateur peut difficilement croire. Mais qu’importe. Sliders a ainsi mis en scène un épisode où le monde exploré par les Glisseurs était un parc à dinosaures. Et la syndication américaine a pu découvrir une nouvelle adaptation du roman d’Arthur Conan Doyle sous forme de série télévisée. Les deux séries, mine de rien, ont d’ailleurs quelques points communs : un groupe d’explorateurs de mondes inconnus, dont chacun des personnages appartient à un type social, une fonction, qui leurs font rencontrer de nouvelles cultures et les mettent en péril à chaque nouvel épisode. Mais alors que Sliders orientait ses histoires vers la critique sociale, mettant en lumière des aspects dérangeants de notre civilisation poussés à l’extrême, Le Monde Perdu s’est contenté de rester une série d’aventures, accumulant les périls sans queue ni tête comme des abeilles géantes ou des hommes-lézards, entre autres. Le problème étant que les effets spéciaux étaient particulièrement indigents. Du coup, la série n’est pas vraiment à prendre au sérieux, les B.A. finissant par jouer sur le côté kitsch de la série…

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L’atout charme :  Et donc les raisons pour lesquelles la série se retrouve abordée ici. Il s’agit de la participation au cast régulier de la série de Rachel Blakely, mais également de Jennifer O’Dell, à la tenue des plus sexys, affichant une tenue laissant voir un décolleté plongeant, incarnant une jeune femme ayant vécu depuis son enfance dans la jungle. Je pense que bon nombre des téléspectateurs ne suivirent la série que pour la présence au casting de ces deux comédiennes.

En France, la première saison de la série fut diffusée sur M6, qui ne la rediffusa plus vraiment, contrairement à d’autres séries. Elle en resta là, alors que Le Monde Perdu dura tout de même trois saisons, laissant les téléspectateurs français sur les cliffhangers de la fin de saison…

 

Adventures & Associés :

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Synopsis : Cette série met en scène Judson Cross et ses acolytes Mackenzie Previn et Gabriel Patterson, des aventuriers qui sillonnent le monde à la recherche de trésors. (source : Wikipedia)

Les raisons d’y jeter tout de même un oeil… ou pas : Quand Relic hunter s’est achevée, on a pu voir débarquer sur M6 en France une série surfant sur la même vague : des chasseurs de trésors parcourant les quatre coins du globe pour mettre la main sur des reliques perdues. Au casting, et pour conduire la distribution régulière de la série, on put retrouver Michael Biehn. Soit l’interprète de Kyle Reese, l’humain tentant de sauver Sarah Connor dans le tout premier Terminator (1984), et un des acteurs fétiches de James Cameron, puisqu’il participa également aux films Aliens et Abyss. La série fut d’ailleurs créée par Gale Ann Hurd, productrice sur les deux premiers Terminator.

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L’atout charme :  J’ai hésité avant de parler de cette série ici, dont on pourrait discuter du statut de série “Boobs & Ass”. Mais tout comme Relic Hunter donnait la vedette aux courbes généreuses de Tia Carrere, ici, nous avons droit à une actrice sublime devant emporter l’adhésion du public mâle : Karen Cliche, vue également dans la saison 3 de Mutant-X, et dans la série Flash Gordon.

La série ne dura, contrairement à son aînée Relic Hunter, que le temps d’une seule saison de 22 épisodes.