Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 19 septembre 2009

Star Trek : The Originale Series ; reviews des épisodes 1.02 et 1.03

ST REVIEWS.jpg

The Corbonite Maneuver (1.02 - Vol. 4)
Sc : Jerry Sohl. R : Joseph Sargent.

ST 02 1.jpgÉp. sur la découverte de culture extraterrestre / ép. sur le contrôle de soi en situation de crise. Stardate : 1512.2. L'U.S.S. Enterprise est en mission de cartographie stellaire, établissant des cartes de systèmes stellaires, lorsqu'il rencontre sur sa route un mystérieux cube auquel il ne peut échapper. Le Capitaine James T. Kirk ordonne sa destruction lorsque l'engin inconnu commence à émettre des radiations mortelles. Puis, c'est un vaisseau alien sphérique qui fait obstacle à l'Enterprise, le Fesarius, piloté par Balok, un effrayant alien.
Balok parvient à désactiver les principaux systèmes de l'Enterprise et menace de détruire le vaisseau. Inspiré par Spock, Kirk bluffe en faisant croire que l'Enterprise contient une matière secrète, la Corbomite, qui les détruira les deux vaisseaux si Balok attaque. Balok utilise ensuite un plus petit vaisseau lancé du Fesarius pour conduire l'Enterprise vers un monde de la Première Fédération (à laquelle Balok prétend appartenir), où l'équipage sera détenu prisonnier. L'Enterprise utilise la puissance de ses moteurs au maximum pour se défaire de l'emprise du rayon-tracteur, et Balok envoie un signal de détresse. Kirk se téléporte à bord du vaisseau de Balok, accompagné du Dr McCoy et du Lt Bailey, le navigateur de l'Enterprise. Ils découvrent alors qui est en réalité Balok : un petit humanoïde sans défense, inoffensif, qui a lui aussi bluffé avec l'équipage de l'Enterprise, le tester afin de s'assurer qu' il n'avait pas d'intentions hostiles. Balok n'a pas d'équipage, il pilote seul le Fesarius, mais demande à ce qu' un membre de l' équipage de l'Enterprise de rester à bord pour devenir un compagnon d'exploration. Le Lt Bailey se porte volontaire pour cet échange culturel, avec l'approbation de Kirk.
Cet épisode était à l'origine le second de la série, et marqua la première apparition du Docteur Leonard Horatio McCoy (DeForrest Kelley), médecin-chef à bord de l'U.S.S. Enterprise (NCC-1701). Kirk lui donne le sobriquet amical de "Bones" qu'on pourrait traduire par "tas d’os", "vieille carcasse". C’est aussi la première apparition de Janice Rand (Grace Lee Whitney), la Cadette attitrée de Kirk.

ST 02 2.jpgMon avis : Un épisode ennuyeux au premier visionnage, la majeure partie de l'épisode se résumant à un jeu du chat et de la souris entre le vaisseau de Balok et l'Enterprise, essayant de le fuir, en vain. Mais l'épisode gagne en intérêt à chaque visionnage, car il contient en substance toute la philosophie Trekkienne : la confrontation avec l'inconnu, l'incompréhension mutuelle, la défiance, puis le dépassement des différences pour aboutir à des relations faites de tolérance et de respect mutuel. L'épisode met en exergue le caractère exceptionnel de Kirk, auquel les membres d'équipage font aveuglement confiance, confiance dont le Capitaine Kirk se montre digne en titrant son vaisseau et son équipage d'affaire par un astucieux coup de bluff... Dans cet épisode, le comportement du Lt Bailey est assez significatif et représentatif : tout d'abord effrayé par l'inconnu, il surmontera sa peur pour se porter volontaire pour être le représentant privilégié des Humains avec une nouvelle race extraterrestre.
Trivia : Cet épisode était un pilote potentiel pour la série.

" When I get my hands on the headquarters genius who assigned me a female yeoman...- What's the matter, Jim? Don't you trust yourself ?
- I've already got a female to worry about. Her name is the Enterprise. "

Kirk, à McCoy (ép. 1.02 "The Corbomite Maneuver").

" You know the greatest danger facing us is ourselves, and irrational fear of the unknown. There is no such thing as the unknown. Only things temporarily hidden, temporarily not understood. "
Kirk, à McCoy (ép. 1.02 "The Corbomite Maneuver").


Mudd's Women (1.03 - Vol. 2)
Sc : Stephen Kandel. H : Gene Roddenberry. R : Harvey Hart.

ST 03 1.jpgÉp. sur la vérité et les apparences. Stardate : 1329.8. L' U.S.S. Enterprise poursuit un vaisseau cargo non-identifié de Classe-J à travers une ceinture d'asteroïdes. Le vaisseau cargo explose suite à une surcharge des moteurs, mais l'Enterprise sera parvenu à téléporter à temps son capitaine, Leo Francis Walsh, et trois magnifiques jeunes femmes ; malheureusement, l'Enterprise a brûlé quasiment tous ses cristaux de lithium dans l' opération de sauvetage. L'Enterprise se dirige alors vers une colonie minière sur Rigel Twelve à moins de deux jours de route. A la grande satisfaction d'Harry Mudd, le véritable nom du capitaine sauvé de l'explosion de son vaisseau, qui espère faire épouser aux mineurs de Rigel Twelve ses femmes. Mais le Capitaine Kirk apprend la vérité, que le véritable Capitaine Walsh est mort, et son identité adoptée par Harcourt Fenton 'Harry' Mudd, un arnaqueur et un escroc, qui utilisait le vaisseau cargo illégalement pour transporter des jeunes femmes pour les vendre sur Ophiuchus Three. Avec son lourd passé criminel, Mudd est confiné dans ses quartiers, mais ses femmes semblent avoir un effet certains sur les hommes de l'équipage, complètement sous le charme des sublimes créatures. De plus, Harry mudd a contacté secrètement les mineurs de Rigel Twelve, et est prêt à échanger ses femmes contre des cristaux de lithium. Avec le dernier cristal de lithium de l'Enterprise consumé, Kirk se voit contraint d' accepter l'offre de Mudd ; les trois femmes resteront avec les mineurs, pour que l'Enterprise obtienne les fameux cristaux...

ST 03 2.jpgMon avis : Un épisode au pitch assez simple (un arnaqueur décide de faire fortune en se servant de "ses" femmes), qui pourrait être pris comme simple prétexte pour mettre en scène de superbes actrices, mais utilisé pour développer une richesse thématique insoupçonné. L'épisode est audacieux, faisant d'un personnage d'escroc et de maquereau un personnage extrêmement savoureux. Au passage, contrairement à l'image régulièrement répandue sur l'univers Star Trek comme un univers utopique, la criminalité existe donc toujours, ainsi que la possibilité de faire fortune ! Dans cet épisode, on a une réflexion sur le désir (sur quoi repose-t-il ?) et sur les apparences.
Trivia : Cet épisode était un pilote potentiel pour la série.

vendredi, 18 septembre 2009

The Adventures of MERLIN : review de l' épisode 1.01 "The Dragon's Call

Dur dur d' être enchanteur... Dans un Camelot au coeur d' ado...

MERLIN 1.jpg

 

1.01 : The Dragon's Call
Sc : Julian Jones. R : James Hawes.

MERLIN 2.jpgMerlin, un jeune homme possédant le don de magie, arrive à Camelot à la recherche d' un nouveau départ. Mais Uther Pendragon a décrété que la magie serait punie de mort, et Merlin est donc obligé de dissimuler son don. Il rencontre Gaïus, son mentor, Lady Morgana, la belle épouse du roi Uther, Gwen, sa servante, et l' arrogant prince Arthur, destiné à hériter de la couronne et dont le futur sera lié à celui de Camelot. Provoqué par Arthur, Merlin n'a d' autre choix que de se battre contre lui pour lui faire ravaler sa morve. Mais Merlin est contre toute attente destiné à protéger le futur roi, qu' il sera même amené à sauver lors d' une tentative d' assassinat...

Mon avis : Alors que les coffrets DVDs Hercules et Xena se vendent chez Universal, cet éditeur nous a proposé également une autre série de Fantasy, plus récente cette fois, créée par les Britanniques, et qui propose une énième interprétation du mythe arthurien. Hélas, il faut bien reconnaître que l' on a affaire ici à une série qui se veut une version smallvillienne du mythe. On découvre donc un Merlin adolescent, sorte de Clark Kent version Smallville, qui débarque à Camelot en cachant le secret de ses origines, et surtout, ses facultés surhumaines. La magie est une fois encore limitée à des dons psychiques (comme dans Charmed) : figer un objet dans l' air, ou déplacer des objets par la seule force de la pensée.

MERLIN 3.jpgMerlin est encore une fois un Elu, ayant un Destin. Il rencontre assez rapidement un mentor, mais également... le personnage d' Arthur, fils du roi Pendragon, ici un... jeune con arrogant, imbu de lui-même, véritable tête-à-claque, ne ressemblant que de loin au noble chevalier que l' on peut se représenter. Merlin et Arthur ont à peu près le même âge, entorse au mythe qui est donc courbé, plié pour les besoins d' une production visant plutôt un public adolescent, en en reprenant certains des éléments. Dans le même ordre d'idée, pour le personnage de Guenièvre, on a droit à une étonnante erreur de casting, avec une actrice pas forcément belle pour l' incarner. Difficile d' imaginer qu' Arthur comme Perceval aient pu en tomber amoureux. Pour faire bonne mesure, on notera l' utilisation d' un dragon doué de la parole, la série empruntant également à Coeur de Dragon. Le spectacle est toutefois agréable et se laisse regarder sans déplaisir, et c'est toujours agréable de retrouver ce bon vieux Anthony S. Head, le Rupert Giles de Buffy. La reproduction historique est soignée, nous replongeant dans le Moyen-Âge de l' épopée arthurienne. De plus, le générique et la bande originale sont particulièrement soignés. Points auxquels on pouvait s'attendre avec une production britannique comme celle-ci.
Mais l' intrigue peut malheureusement apparaître comme terriblement convenue, même si ce n'est pas le point fondamental dans un pilote destié d'abord et avant tout à présenter les différents personnages.

jeudi, 17 septembre 2009

Moins de reviews, mais toujours autant de séries...

Bonjour à toutes et à tous !

Ce billet pour vous informer que les reviews ne seront pas aussi fréquentes que précédemment, où le rythme était assez soutenu. La raison ? Hé bien comme un peu mes partenaires blogueurs et blogueuses fans de séries, le travail (Hé oui, toujours... boulot, boulot), qui fait que le temps manque donc parfois pour les reviews.

Toutefois, ce blog n'est pas abandonné, il continuera. Au programme, la suite des reviews de séries classiques, d'autres séries abordées, et l'exploration de nouveautés, telles V, la Saison 2 de Dollhouse (Whedon is still my Master), The Vampire Diaries (la série part de si loin, qu'elle ne peut que s'améliorer. A moins que ?... ), Stargate Universe (encore du Stargate à la TV ! You-hou !!), et d'autres encore, dont j'aimerais suivre la diffusion " en temps réel ".

Au passage, retour du design précédent, parce que l' été, ça se termine, les températures commencent à descendre, et les vacances sont derrière nous ! Pas de bannière particulière pour l'occasion, mais peut-être sera-ce le cas pour Halloween...

Avec toujours mes avis sur ces séries et leurs épisodes, avis ni meilleur ni pire que d'autres, puisque nous avons tous et toutes notre place sur la Blogosphère.

Merci à toutes celles et ceux qui prennent le temps de me lire, même si mes textes sont parfois un peu longs (Sorry, mais quand on aime, on ne compte plus... ^^).

A bientôt !

KNIGHT

dollhouse_set_58.jpg