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dimanche, 02 juin 2013

CHUCK Vs le Bilan !! Troisièmes pensées sur la série.

Voilà, à l’occasion du Challenge Séries 2013, j’ai enfin terminé de visionner les 5 saisons de CHUCK. Pour tout dire, même si je considère celle-ci comme une excellente série, l’une des meilleures productions dans le genre “comédie d’espionnage”, elle ne me manquera pas particulièrement. Je ne m’y suis pas attaché particulièrement, et elle n’a pas été un coup de coeur comme Buffy, X-Files ou ALIAS pour moi, séries dont je reste absolument fan. Donc, que retiendrai-je de la série ? Petit passage en revue de ce que je retiendrai de la série, des points autant positifs que négatifs, qui justifient peut-être, pour chacun, au moins de la découvrir.

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- Un couple des plus attachants du monde des séries !! :  Chuck et Sarah constituent un des couples du monde des séries TV auquel on ne peut que s’attacher. Oui, ils finissent bien entendu ensemble, et oui, je spoile, mais après tout, les spectateurs commençant la série qui ne s’y attendraient pas sont des ânes. Car de tels personnages, aussi éloignés l’un de l’autre au départ, ne pouvaient que faire fantasmer les shippers, et à un moment, il faut bien, tout de même, donner au public ce qu’il attend. Et puis sous couvert d’être une fort sympathique comédie d’espionnage, CHUCK est en réalité une comédie romantique et dramatique sur un couple en devenir. Comme CASTLE, finalement, que l’on suit non pas pour les enquêtes policières de chaque épisode, mais pour la relation entre Castle et Beckett.

- Good Buy Morons, I’ll miss you !! :  Les personnages secondaires que constituent le personnel du Buy More, c’est-à-dire le débonnaire et sympathique Big Mike, mais surtout Jeff et Lester, le duo magique ‘Jeffster’. Obsédés sexuels, quelque peu tire-au-flanc, crétins, de grands gosses attardés, ils auront leurs moments de gloire à travers la série. Et on ne peut que s’attacher aussi à ces sympathiques crétins, plus bêtes que méchants.

 - Tu l’as vu ??… - Quoi ?? - Mon placement de produit !! :  L’un des aspects un peu horripilants de la série, qui ne semblait même pas s’en cacher. Le plus notable aura été la pub gratuite pour la chaîne de distribution rapide Subway : Jeff et Lester étant particulièrement friands de leurs sandwiches. L’un des cas où la série n’aura pas cherché à créer de toutes pièces une nouvelle marque de sandwiches, comme ils auraient pu le faire.

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- Hé, on ne s’est pas déjà vu ?? (les nombreuses guest-stars de la série) :  CHUCK aura permis de retrouver sur nos écrans de nombreuses guest-stars, certaines plutôt connues comme Mark Sheppard, Summer Glau (!), Ben Browder (!!) ou encore Carrie-Anne Moss (!!!) ! Des guests qui font bien plaisir à voir, qui montrent le côté fan des productions de genre. Mais tout comme LEVERAGE, la série aura pu aussi remettre le pied à l’étrier de noms très connus un peu disparus des écrans depuis, comme Linda Hamilton, Richard Chamberlain ou encore Timothy Dalton. Et de constater malheureusement le passage du temps, aussi.

- La Chuck team dans l’ensemble :  Adam Baldwin aura su incarner à merveille un rôle correspondant à un archétype dans lequel il aura été plus ou moins coincé, celui de la grosse brute au coeur tendre, celui de John Casey. Un rôle proche de celui de Ka D’argo dans Farscape, d’ailleurs. Les deux séries ont pas mal de points communs : un cast hétéroclite, une série s’orientant sur la relation du couple principal… Et puis le meilleur copain, Morgan Grimes, qui aura lui aussi gagné ses lettres de noblesses.

- Des méchants stéréotypés :   L’un des points faibles aura été de ne pas proposer de méchants véritablement durables ou charismatiques, à part peut-être Alexei Volkoff. Les vilains de la série auront finalement été interchangeables. Le problème d’une série veillant à faire évoluer le statu quo régulièrement, mais aussi à une série quasiment chaque année sous le couperet de l’annulation. Et puis c’est malheureusement un peu la loi du genre : dans une comédie d’espionnage, les méchants le sont forcément, caricaturaux.

- Intersect ou pas intersect ? :  L’un des aspects également qui m’aura agacé, ce sont les histoires de cet intersect que l’on installe et que l’on enlève d’un claquement de doigt. Le nombre de fois où Chuck aura eu l’Intersect, upgradé ou pas, ou bien en aura été privé.

- Des cascades et des combats chorégraphiés hallucinants !! : L’un des points forts de la série, mine de rien, qui aura su proposer son lot d’action, de bagarres, de cascades dignes d’un long-métrage parfois. Là encore, sur ce point, CHUCK aura su faire aussi bien qu’ALIAS. Proposer un spectacle très divertissant qui en donne pour son argent. Des productions d’action, on en fait plus autant qu’avant, cela manque, sur les écrans.

- Sarah ou Sydney, qui est la plus forte ?? :  Avec Sydney Bristow, la célèbre héroïne d’ALIAS, on avait une sacrée héroïne capable d’éliminer n’importe quel adversaire, une reine du Kung-fu et du gunfight. Mais Sarah Walker aurait de quoi lui tenir la dragée haute, et on peut se demander laquelle des 2, de Sydney ou de Sarah, gagnerait. La série aura su nous proposer son lot de Catfights (combats de filles sexys), rien que pour le plaisir des yeux !

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- Un ton doux amer, avec le recul :  C’est le ton donné aux dernières scènes de la série, enfin comment je les ressens, finalement. Si Sarah et Chuck sont finalement bien ensemble à la fin, ils ne sont plus tout à fait, ni l’un ni l’autre, les mêmes. Là encore, ceux qui ne s’y attendaient pas sont des ânes :  CHUCK est aussi une série sur l’évolution. Sur un adolescent attardé qui accepte de quitter certains aspects gardés de l’enfance pour grandir et devenir un peu plus adulte. Cela passe par certains sacrifices, et un désenchantement, des scènes à l’ambiance douce amère. Tout comme les références musicales ou culturelles, toujours datées, nostalgiques, qui marquent le passage du temps, puisqu’elles évoquent un passé disparu, mais toujours vivace.

Bref, malgré quelques points négatifs, mine de rien et sans se prendre trop au sérieux, CHUCK est de ces très bonnes séries que la télévision nous offre. Une série à redécouvrir et à apprécier sans modération.

jeudi, 25 avril 2013

CHUCK : Secondes pensées, à l'issue de la Saison 2 - 5 raisons d'aimer (ou de poursuivre) CHUCK !

C’est toujours un réel plaisir de suivre l’évolution positive d’une série qui s’améliore au fil du temps. CHUCK est une de ces séries qui, mine de rien, ne cesse de modifier en douceur son concept de base et de proposer un spectacle fort divertissant. Une vraie bonne série pop-corn, en fait. En quelques points, les preuves d’une série qui gagne à être découverte (pour ceux qui ne la connaîtraient pas encore), voire revue.

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1 - La Mythologie :  CHUCK aura eu pour elle de développer mine de rien une mythologie solide, effleurée dès la 1ère saison. Ainsi, on jouera avec le concept d’Intersec, gigantesque base de données de connaissances transformant un esprit humain en ordinateur. Difficile de ne pas penser à MATRIX et ses téléchargements de données. Le Fulcrum est le grand ennemi de la “Chuck-Team”, un regroupement d’agents ennemis dont la caractéristique est qu’ils sont pour la plupart anonymes, et interprétés parfois par des visages familiers des sériephiles, comme Mark Pellegrino (vu dans bon nombre de séries de genre, il était notamment l’ex-mari de Rita dans DEXTER ou Jacob dans LOST). Le Fulcrum est présenté le temps d’un épisode comme une division secrète de l’Alliance. (tiens, tiens… ne voyais-je pas la série comme une des héritières d’ALIAS ?) On découvrira le créateur de l’Intersec, le mystérieux Orion. Seule la romance entre Chuck et Sarah, avec ses hauts et ses bas, ses tergiversations que ce soit du côté de Chuck ou du côté de Sarah sera un peu agaçante à la longue. Mais cela fait partie du genre, on se doute bien qu’ils finiront ensemble à la fin de la série, mais le chemin aura été bien long pour y parvenir. En écho, Ellie, la soeur de Chuck, et son petit-ami Devon, le “Captain Awesome”, le couple modèle et un peu trop parfait, stable de la série, se dirige vers le mariage, annoncé à la fin de la saison 2. CHUCK est une série semi-feuilletonnante, à suivre, les différents arcs narratifs avançant de concert, se croisant et se décroisant au fil des circonstances.

2 - Une série rétro et nostal-geek :  On avait beaucoup parlé d’une série mettant en scène un geek comme personnage principal. Si cet aspect était en réalité peu présent dans la série, les quelques références à la culture populaire qui émaillent la série ont comme point commun en général d’être des références à des oeuvres passées, emblématiques. Tel épisode tournera autour d’une borne d’arcade tout droit sortie des années 80, rappelant d’autres jeux phares de cette époque des débuts du jeu vidéo. Tel autre épisode invitera une DeLorean dans la série, soit la voiture mythique et emblématique de Back to the Future (Retour vers le Futur, en VF), sorti en 1985, alors que tel autre épisode aura fait jouer “Power of Love”, titre de Huey Lewis and the News, qui appartenait à la bande originale de cette trilogie. L’un des biens les plus précieux de Chuck dans sa chambre est un poster de TRON, le film sorti en 1982. Si les références à une certaine pop-culture sont présentes dans la série, elles le sont souvent en référence à une époque disparue. Cet aspect fanboyesque de la série se retrouvera également dans les acteurs invités.

3 - Côté Cast, c’est la fête :  Les acteurs invités, en nombre sont toujours étonnants, et souvent présentés sous la forme d’un hommage particulier. Ainsi, au fil des épisodes, on croisera Michael Clarke Duncan,  le tourjours excellent John Laroquette, Gary Cole ; Melinda Clarke (une habituée des productions télévisées apparue dans un grand nombre de séries TV : The OC, The Vampire Diaries, Entourage, Nikita, ou CSI, entre autres… ) ; Dominic Monaghan, vu dans LOST (il y incarnait l’ex-rock-star Charlie Pace), la trilogie du Seigneur des Anneaux et Flash-forward ; Carl Lumbly, le Marcus Dixon d’ALIAS ; Brian Thompson, vu dans bon nombre de séries lui aussi, dont entre autres Buffy, Charmed et X-Files ; Jenny McCarthy ; Arnold Vosloo, Tricia Helfer le temps d’un épisode ;  Bruce Boxleitner, vu entre autres dans TRON et Babylon 5 ; Morgan Faichild ; Arnold Vosloo (qui incarna la Momie au cinéma) ; Chevy Chase, célèbre pour sa participation régulière à Community ; et en guest-star de luxe le temps de quelques épisodes, le mythique Scott Bakula, toujours parfait, tout droit venu de Quantum Leap et Star Trek : Enterprise, qui poussera son célèbre “ Oh boy !! “ (réplique récurrente de la série Quantum Leap : Sam beckett, le personnage interprété par Scott Bakula, avait la fâcheuse tendance de se retrouver dans les situations les plus incongrues !).

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4 – entre espionnage et Buy More ; CHUCK, ou 2 séries en une ! :  Les scénaristes devaient se retrouver quelque peu coincés par le mélange des genres et des registres qu’ils voulaient proposer dans la série. Du coup, la série devient double sans perdre son identité : Chuck sera beaucoup plus investi dans les intrigues d’espionnage développant la mythologie, mettant sa vie en danger, ou compliquant sa relation avec Sarah. Au passage, alors que John Casey continue de jouer les gros durs à la mâchoire constamment crispée, Yvonne Strahovski se révèle merveilleuse dans le rôle de Sarah Walker, l’espionne au coeur d’or, à la fois rêve de geek, femme d’action d’abord et avant tout, et en même temps jeune femme perdue face à ses sentiments contradictoires. Sans aucun doute possible, le personnage peut rappeler Sydney Bristow (ai-je besoin de rappeler que je parle ici de l’héroïne d’ALIAS ?), et entre dans cette catégorie des personnages à la fois touchants, et fantasmatiques. Dans cette partie de la série, le ton se révèlera plus sérieux et “dramatique” au cours de la saison 2. Et pour la comédie, on suivra en général en parallèle la suite des aventures de Morgan et des autres “Buy Morons” au Buy More justement. Les personnages de Jeff et Lester se développent et prennent plus d’ampleur. Un nouvel ennemi apparaît, bien plus redoutable encore que le Harry Tang des débuts : Emmett Milbarge, interprété par Tony Hale, que les amateurs de l’excellente série Arrested Development connaissent bien. Seule ombre au tableau, les scénaristes ne savaient apparemment plus trop quoi faire d’Anna, et la Kelleyrisation du personnage est apparemment proche…

5 – Let’s rock, baby ! ou des choix musicaux qui valent le détour :  Outre les extraits d’anciens tubes à valeur nostalgique, comme le fameux “Eyes of the Tiger” de Survivor ou encore “Final Countdown” d’Europe, les morceaux choisis pour accompagner la série sont toujours très inspirés et relativement efficaces. C’est simple, CHUCK possède parmi les meilleurs musiques pouvant accompagner une série !

mardi, 02 avril 2013

CHUCK, ou le Geek qui jouait à l'espion. Premières impressions... (Les héritiers d'ALIAS)

Le Challenge Séries 2013 fut l’occasion pour moi de reprendre la série du début, vu que je n’avais vu que la Saison 1 il y a un bout de temps, et je repoussais le fait de me faire la série en entier.

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De quoi ça parle ? (le pitch de la série) :  Employé dans une boutique de matériel informatique, Chuck Bartowski est propulsé du jour au lendemain dans le monde de l'espionnage, sa vie ennuyeuse laissant la place aux émotions fortes. Son cerveau renfermant, bien malgré lui, une base de données contenant des secrets gouvernementaux, la NSA et la CIA, soucieuses de protéger ces informations, envoient les agents John Casey et Sarah Walker pour veiller sur sa sécurité. Les informations qu'il détient nécessitent sa participation à de périlleuses missions, le confrontant à de multiples dangers. Tout ça sous le nez de son meilleur ami, Morgan, de sa soeur, Ellie, et de ses collègues de travail, qui ne se doutent de rien... (source : Allociné.com)

Les raisons d’y jeter un œil… ou pas ! (mon avis critique sur la saison 1) :  CHUCK est une série créée par Josh Schwartz et Chris Fedak, et dont le pilote fut réalisé par Mc G, également producteur. Josh Schwartz a également contribué au développement de la série Gossip Girl, avec cette fois Stephanie Savage. Elle fut diffusée sur la chaîne NBC, mais aurait très bien pu être produite et diffusée par USA Network, finalement. Car CHUCK est une de ces séries reposant moins sur ses intrigues que sur ses personnages, tous éminemment sympathiques. Si la série fut assez vendue au départ sur le fait qu’elle était une de plus, avec The Big Bang Theory, à mettre en vedette des Geeks, finalement, cet aspect est relativement secondaire dans la série. CHUCK n’insiste jamais lourdement sur cet aspect : on glisse une référence par-ci au Seigneur des Anneaux, un autre par là à Call of Duty. Jamais plus que ce qu’on avait pu avoir par exemple dans Buffy ou dans Farscape. En guise de Geeks, on a surtout des personnages mal-à-l’aise avec les filles, et qui sont des grands gamins. D’ailleurs, en guise de série, on a une sorte de menu qui mêle plein de petits ingrédients toujours dispensés juste ce qu’il y a de nécessaire, sans que l’on s’en lasse. La série est amusante juste ce qu’il faut (même si elle ne me fait jamais rire, comme elle n’insiste pas plus que de raison, ça passe), sexy juste ce qu’il faut mais sans plus, en dévoilant Sarah Walker, l’autre héroïne de la série, en train de se changer ou en tenue sexy, des gunfights et de la baston juste ce qu’il faut…

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La série navigue donc constamment entre plusieurs genres et registres (comique, espionnage, dramatique, action… ) sans jamais lasser. Le concept de départ pouvait sembler assez foireux, peut-être, et les facilités scénaristiques abondent : quelle idée folle d’entreposer en un seul et même endroit toutes les connaissances des services secrets américains et de développer la technologie pour pouvoir télécharger tout cela dans un cerveau humain. Comme par hasard, Casey parvient à faire engager sans aucun souci ni aucune compétence particulière chez Buy More. Comme par hasard, Sarah parvient à se faire engager comme serveuse dans un restaurant situé à quelques mètres du Buy More… Bref, la série ne se veut absolument pas sérieuse, et si j’avais considéré la série comme l’une des héritières d’ALIAS, elle serait plutôt à rapprocher d’UNDERCOVERS, dans le genre comédie d’espionnage. Côté intrigues, c’est pareil, la série brasse à peu près tous les éléments attendus d’un tel concept : femmes fatales, anciennes flammes de l’un des héros, bombe à désamorcer,

Mais alors c’est quoi, CHUCK, finalement ? Ni tout à fait une série d’espionnage, qui n’est jamais en général qu’un prétexte, ni une véritable série sur les Geeks, c’est d’abord et avant tout une solide comédie avec des personnages tous attachants sympathiques : que ce soit Chuck Bartowski lui-même, son comparse Morgan, cette brute épaisse de Casey à la mâchoire constamment crispée, la si jolie Sarah, qu’on aime à la regarder se battre, les autres employés du Buy More Anna, Lester et Jeff, une jolie brochette de bras cassés, le terrifiant Harry Tang (C.S. Lee, que l’on retrouvera dans DEXTER par la suite), toujours à fureter et empêcher de s’amuser en rond, le massif Big Mike, constamment enfermé dans son bureau, la belle sœurette Ellie… Des personnages interprétés par de bons comédiens dans l’ensemble.

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Le personnage de Chuck est interprété par Zachary Levy, un comédien qui apparemment ne travaillera jamais que dans ce registre (on a pu également le retrouver dans Alvin et les Chipmunks 2), Sarah Walker par la belle Yvonne Strahovski, Casey par Adam Baldwin, qui fut notamment Jayne Cobb dans Firefly. Et une comédie romantique d’abord et avant tout, tout n’étant que prétexte au développement de la relation entre Chuck et Sarah, que l’on espère fatalement voir tomber dans les bras l’un de l’autre au bout d’un moment. Une relation pour laquelle les obstacles sont nombreux : le statut d’agent de liaison de Sarah, et le retour de son ancienne flamme Bryce Larkin, copain de fac de Chuck, interprété par le beau-comme-un-dieu Matthew Bomer, avant qu’il ne participe à WHITE COLLAR.

En bref :  subtile comédie romantique aux personnages attachants, CHUCK est une série divertissante sans prise de tête, qui ne se prend pas au sérieux et qui pioche à différents genres pour offrir un spectacle fort sympathique et familial.

Côté Cast :  La série a vu participer quelques guest fort réjouissantes : Tony Todd, habitué des productions télévisées, en  particulier les séries S-F comme la saga Star Trek et Stargate SG-1, fait quelques apparitions très secondaire. La belle Rachel Bilson, plus connue pour sa participation à The OC, actrice principale de Hart of Dixie, viendra perturber la relation entre Chuck et Sarah le temps de 2 épisodes. Un épisode a accueilli Kevin Weisman, le Marshall Flinkman d’ALIAS. Anthony Ruivivar, l’un des acteurs principaux de la série Third Watch (New York 911, en VF), apparaît le temps de 2 épisodes pour incarner le représentant des forces du mal de la série, l’indéterminé Fulcrum, apportant un semblant de mythologie à la série.

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