dimanche, 21 novembre 2010
X-Files : review des épisodes 2.20 "Humbug" et 2.21 "The Calusar"
2.20 : Humbug
Sc : Darin Morgan. R : Kim Manners.
ép. "Darin Morgan". Lors d'une nuit de pleine lune, deux enfants prennent un bain de minuit dans la piscine de la maison, s'amusant ensemble. Ils sont rapidement rejoints par un homme effrayant qui les observait dans l'ombre, leur père, dont l'apparence étrange est dûe à une maladie de peau. Mais lui aussi est soudain observé dans l'ombre, et est soudain attaqué par une créature monstrueuse, qui le laisse mort. Mulder est bien entendu informé de l'affaire, et en fait part à sa partenaire Scully, afin d'avoir son avis sur cette affaire. Tous deux assistent à l'enterrement, un enterrement en apparence ordinaire, mais dont le côté étrange se révèle peu à peu : les proches de la victime et même le prêtre sont tous des "Freaks", des personnages atteints d'une malformation physique que l'on s'attend à rencontrer dans une foire. Mais la cérémonie est soudain interrompue par un illusionniste se livrant à quelques numéros de mauvais goût. Puis Mulder et Scully discutent avec le Sheriff afin de l'interroger. Celui-ci les emmène voir un artiste sculptant des créatures effrayantes, afin de lui demander de leur en dire plus sur la fiji mermaid, première suspecte de Mulder. Puis les deux agents se rendent à un hôtel local, tenu par M. Nutt, un individu de petite taille qui se vexe suite à une remarque de Mulder. M. Nutt, afin de se défendre, dit de Mulder qu'il ressemble à un agent du FBI... Sans savoir qu'il en est.
Le soir venu, c'est le sculpteur, celui rencontré par les deux agents, qui est assassiné par la même créature effrayante qui avait tué l'homme à la maladie de peau. Le lendemain matin, Mulder, en faisant son jogging, découvre les moeurs particulières de l'Enigme, qui mange du poisson cru. Puis Mulder et Scully, qui ont appris le nouveau meurtre, interrogent le Dr Cabochard, l'illusionniste s'étant fait remarquer lors de l'enterrement, et l'Enigme. Puis Scully enquête auprès d'un homme défiguré, qui lui présente son musée, quelques phénomènes locaux de foire, avant de parvenir à soutirer quelques dollars pour sa "visite"... L'enquête se poursuit alors, tandis que les victimes se multiplient...
La Guest-star de l'épisode : Michael J. Anderson est l'un des acteurs marquants de la série Twin Peaks. Il sera également l'un des acteurs principaux de la série Carnivàle.
La Guest-star de l'épisode : Vincent Schiavelli est quant à lui apparu dans un nombre impressionnant de films comme de séries TV. On a pu le voir dans Batman Returns, Ghost, dans deux épisodes de la Saison 2 de Buffy, the Vampire-Slayer, dans un des premiers épisodes de Highlander.
Mon avis : Premier épisode signé Darin Morgan, le frère de Glen Morgan, et pour une première, c'est un coup de maître. X-Files montre ici que la comédie, si elle est bien abordée et traitée, y a tout à fait sa place. L'épisode propose son lot de scènes et dialogues cultes (souvenez-vous, la scène où Scully mange un criquet, ou en tout cas fait mine de... Beurk !! Ou la scène où Mulder confie à M. Nutt qu'il pourrait fort bien être attiré par les personnes de petite taille... ), et c'est incontestablement un classique de la série. Quand on disait que X-Files avait trouvé ses nombreuses marques lors de cette Saison 2... L'épisode n'est toutefois pas uniquement une comédie, le ton étant en général des plus sérieux. Il faut voir cet épisode comme un hommage aux Freaks, les phénomènes de foire ayant été mis en vedette dans le célèbre film Freaks de Tod Browning, à travers une enquête des plus traditionnelles. Darin Morgan signe donc un excellent épisode, laissant parler son humour spécial, particulier, auquel on accrochera, ou pas. Un épisode sauvé par de nombreuses scènes, donc, et une série de fausses pistes, mais au déroulement très convenu...
2.21 : The Calusari
Sc : Sara Charno. R : Michael Vejar.
La famille Holvey s'amuse à une fête foraine. Ou tout du moins le devrait, mais Charlie, l'ainé des deux garçons, a un drôle de regard triste. Alors que la mère de famille avait attaché Teddy, son plus jeune fils le temps de faire pipi, celui-ci, attiré par un ballon, disparaît, et s'aventure droit sur le circuit du petit train du parc, sans que le conducteur parvienne à s'arrêter. Mulder est rapidement mis sur l'affaire, d'autant plus que l'affaire possède sa part de mystères. Mulder soupçonne rapidement la présence d'un poltergeist qui pourrait expliquer comment le ballon a pu attirer le jeune garçon. Le soir venu, Mulder et Scully se rendent chez le couple ayant perdu le jeune enfant, alors qu' une mystérieuse vieille femme les observe dans l'ombre. Alors que Mulder interroge les parents, Scully remarque que la vieille femme qui observait leur arrivée écrit sur la main du jeune Charlie. Soudain, une panne du système d'alarme interrompt Mulder. La vieille femme, mère de la jeune femme, professe alors d'étranges paroles en Roumain : elle en veut apparemment au mari qui a épousé sa fille. L'occasion pour les 2 agents de voir une svatika dessinée sur la main de Charlie. Probablement pour protéger le jeune garçon, selon Mulder. Lui et Scully en viennent à soupçonner le père.
De retour chez le couple, ils découvrent un ménage en crise, au bord de l'implosion. Alors que le père s'apprête à emmener son fils Charlie en voiture, un accident survient dans le garage : le père se retrouve étranglé par le système d' ouverture de la porte électrique du garage, sous les yeux horrifiés de son fils... Dans la chambre de la vieille Golda, Scully découvre d'étranges objets pouvant servir à faire de la magie noire. Alors que Mulder observe le système d'ouverture du garage, rejoint par Scully, ils sont interrompus par la vieille Golda, qui demande au duo de quitter sa maison. Plus tard, alors que les deux agents continuent de'envisager plusieurs hypothèses sur cette enquête, chez les Holvey, une mystérieuse cérémonie, conduite par Golda, a lieu. Lorsque Charlie est retrouvé à terre, souffrant, et qu'une assistante sociale est venue justement voir si Charlie n'était pas en danger, Maggie Holvey, la mère de famille, interrompt la cérémonie, et demande à tous de quitter les lieux. Mais Golda parvient à s'enfermer dans sa chambre avec Charlie. Puis elle affronte l'esprit maléfique les ayant rejoint dans la chambre, et s'apprête à verser le sang de Charlie pour mettre fin à l'attaque. Mais l'esprit malin est le plus fort, et Golda est tuée. Mulder soupçonne à nouveau la vieille Golda d'avoir voulu protéger l'enfant. Les compagnons de Golda, que Maggie Holvey a invités une nouvelle fois à quitter les lieux, de vieux hommes pieux, sont alors questionnés par Mulder : ils sont des Calusaris, et sont là pour combattre le malin, qui a porté de nombreux noms à travers l'histoire. Lorsque Charlie est interrogé par l'assistante sociale, sous les yeux de Mulder et Scully, il conteste avoir été là quand Golda est morte. Il accuse à sa place un certain Michael, le jumeau de Charlie, mort-né...
Trivia : Michael Vejar a réalisé de nombreux épisodes des diverses séries Star Trek.
La Guest-star de l'épisode : Bill Dow, que l'on reverra dans les dernières saisons de Stargate SG-1.
Mon avis : Sans conteste l'un des épisodes les plus sombres des X-Files, puisque la série propose ici sa propre version de la Malédiction et de l'enfant diabolique. On s'amuse ici une nouvelle fois à multiplier les fausses pistes, d'autant plus que le récit avance au rythme des suppositions et découvertes de Mulder et Scully. Un épisode relativement effrayant, comme saura en proposer la série, et relativement plaisant à suivre. A noter, on est ici face à un épisode qui suggère plutôt que de montrer. Les scènes effrayantes n'en sont pas moins là... La fin de l'épisode, fort bien trouvée, marque une montée en puissance en confrontant Mulder comme Scully face à une situation délicate et très dangereuse. Mais en faisant reposer la tension dramatique sur des effets de réalisation qui ont vieillis et un peu foirés, on pourra soit se laisser convaincre, soit trouver la fin un peu ratée et risible. Dommage... Un épisode sauvé par ses retournements de situation, ses quelques scènes d'angoisse, et son sujet.
20:46 Publié dans X-Files | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : x-files, fantastique, david duchovny, fox mulder, gillian anderson, dana scully, darin morgan
samedi, 30 octobre 2010
30 Jours de nuit : Dark Days, review (Halloween returns (H. 2010), part. 5)
L’annee derniere, je chroniquais ici meme, pour Halloween, le film 30 Jours de nuit. Cette annee, a l’occasion de la mEme fete, est sorti rEcemment sa suite, Dark Days…
Film d'horreur américain réalisé en 2010 par Ben Ketai. Durée : 1h28. Scénario : Steve Niles & Ben Ketai.
L'histoire du film : Stella, la survivante du premier massacre, a donc survécu. Et en souvenir de la tragédie, fait le tour des Etats-Unis pour raconter son histoire, la vérité couverte par des mensonges gouvernementaux destinés à cacher l'existence des vampires. Au risque de mettre sa vie en danger. Car les Vampires se sont infiltrés dans la société américaine, devenue leur nouveau terrain de chasse. C'est ce qu'elle apprend d'un mystérieux Dane, qui al contacte depuis peu par lettres. Au sortir d'une de ses conférences, elle rencontre de façon impromptue des chasseurs de Vampires qui n'ont de cesse de vouloir exterminer l'espèce, et souhaiteraient la voir rejoindre leurs rangs. Dans l'ombre, la Reine Vampire attend quant à elle de pouvoir se venger de l’espèce humaine...
Mon avis : Dark Days est à prendre, pour être regardé sans déception, pour ce qu'il est : un Direct-to-DVD comme il en existe bien d'autres, une suite donnée à un film ayant relativement bien fonctionné, mais pour le marché de la video, où l'on sera moins exigeant sur le produit final, destiné à être vu le temps d'une soirée. Même si le film 30 Jours de nuit n'imposait pas forcément de suite, c'est tout de même ce qu'on a ici, une suite plus ou moins directe au film, dont on reprendra certains plans. Ce qui conditionne bien entendu de nombreux éléments : la réalisation, signée Ben Ketai, est fade, les décors pauvres, sans originalité, et cache la plupart du temps la "misère", le manque de budget. Côté casting, on trouve surtout pour les acteurs de seconds couteaux, pas mauvais en soi, mais qui servent juste leurs personnages, souvent issus de séries TV. On reconnaîtra donc Harold Perrineau, le Michael de LOST, et Mia Kirshner, de 24. Ainsi que Ben Cotton, vu dans Harper's island, Battlestar GALACTICA : Razor, ou encore Stargate Atlantis. D'ailleurs, c'est ce qu'on a l'impression d'avoir : une suite TV au film. Heureusement, l'interprête de l'héroïne principale Stella, Kiele Sanchez est belle et assure dans son rôle, et dispose d'une belle présence à l'écran, n'ayant rien à envier à d'autres "action women" comme Kate Beckinsale, Millla Jovovich ou Kristanna Loken, pour citer de belles actrices qui restent crédibles des flingues à la main, dans des rôles proches de celui de Stella dans le film. Mais exit Melissa George, donc, probablement trop chère ou pas intéressée, le personnage a été recasté, apoint que l'on a pris soin de retourner avec cette nouvelle actrice les scènes reprenant les dernières images du premier film.
Côté histoire, signée en partie par Steve Niles, auteur du comic original, on a du bon et du moins bon : si l'on se satisfera d'avoir le développement d'une mythologie autour du film, qui pourrait donner même lieu à une série TV, on a malheureusement un scénario aux rebondissements prévisibles, qui présente quelques incohérences. Avec des Vampires parfois un peu stupides, malheureusement, dans leurs agissements. Mais toujours aussi violents et monstrueux, et qui justifient bien une des accroches du film : " Dark Days makes Twilight look like nursery School. "
Sinon, curieusement, et je ne pense pas que c'était forcément intentionnel, la série m'a faît penser d'un côté à X-Files, avec cet aspect " on cache la vérité au grand public ", et l'héroïne en croisade pour la vérité, et à Buffy : Stella est une sorte de Buffy adulte, elle est aidée par un personnage qui cumule les fonctions de Giles et Angel (le Angel du tout début de la série), Lilith, en reine des Vampires, rappelle le Maître... Comme si le film était une version plus gore et sérieuse de ma série fétiche. Ce qu'aurait pu être Buffy si on n'avait pas sacrifié à l'humour et la dérision, le second degré, et si on avait choisi d'avoir dans la série le même ton noir que dans "The Wish".
Donc au final, Dark Days s'apparente plutôt à un Blade-like avec moins de moyens, Direct-to-video oblige. Une production proche de celles proposées à la télé, extrêmement gore toutefois (autant que le premier film, mine de rien), qui plaira surtout aux fans de l'univers 30 Jours de nuit, idéal pour une petite soirée, mais loin d'être indispensable.
10:45 Publié dans Films (au cinéma, ou en DVD) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : halloween, 30 jours de nuit, steve niles, kiele sanchez, mia kirshner, michael perrineau, ben cotton, x-files, buffy, vampires
vendredi, 29 octobre 2010
FRINGE : review des épisodes 1.15 "Inner Child" et 1.16 "Unleashed" (Halloween returns (H. 2010), part. 4)
A l’occasion d’Halloween, retour de FRINGE, que j’avais malheureusement laisse tomber.
1.15 : Inner Child
Sc : Julia Cho et Brad Caleb Kane. R : Frederick E.O. Toye.
Des ouvriers s'apprêtent à dynamiter un immeuble désaffecté. Mais alors que les ouvriers évacuent l'immeuble, un des ouvriers se fige, comme s'il avait oublié quelque chose. Et rentre à nouveau dans l'immeuble, afin d'effectuer une vérification, suivi d'un de ses amis. Tous deux découvrent un tunnel débouchant sur les égouts, et à l'intérieur, ce qui ressemble à un lieu de vie. Ils découvrent également un jeune enfant chauve. Chez elle, Olivia Dunham reçoit un coup de fil de l'Agent Francis, qui a reçu un fax étrange. Puis c'est au tour de Phillip Broyles de la joindre : le garçon découvert dans le sous-sol de l'immeuble a été conduit aux urgences de l'hôpital de Boston. Le garçon n'a pas dû voir le soleil depuis longtemps, et personne ne s'explique encore sa présence. Mais on soupçonne que le jeune garçon a dû se nourrir uniquement de rats et d'insectes.
Pendant ce temps, une jeune femme se fait enlever par un homme l'ayant abordé à la laverie automatique, en réalité un tueur en série, surnommé l'Artiste. Curieusement, le nom de la jeune femme est donné par le jeune garçon. Olivia, touchée par le jeune garçon, tente de communiquer avec lui. Le garçon lui donne un autre indice pour trouver l'Artiste, en vain. Olivia l'emmène alors voir Walter Bishop, dans l'espoir qu'il puisse les aider tous deux à mieux communiquer. Au grand dam de son supérieur Broyd, un représentant de la CIA souhaitant emmener l'enfant pour apprendre entre autres comment il a pu survivre aussi longtemps...
Mon avis : La séquence pré-générique est une nouvelle fois des plus surprenantes, rappelant d'autres séries fantastiques. Pour le reste de l'épisode, on a droit à une revisitation très originale du mythe de l'enfant sauvage, thème classique de plusieurs séries des années 80. Et à une enquête policière sur un énième tueur en série. La relation entre Olivia, sur lequel est centré cet épisode, est particulièrement touchante. John Noble est toujours aussi génial et impérial dans son rôle de savant fou. Un épisode qui repose entièrement sur les relations entre Olivia et l' enfant, ainsi que sur les scénes de certains personnages, mais plus faible au niveau de son intrigue, pas vraiment digne de la série, malheureusement. Quoi qu'il en soit, la série est toujours aussi plaisante, on voit qu'il s'agit d'un show d'une extrême qualité.
1.16 : Unleashed
Sc : J.R. Orci & Zack Whedon. R : Brad Anderson.
Peter appelle Olivia chez elle alors qu'elle raconte une histoire à sa nièce. Car Peter souhaitait parler à sa soeur. Pendant ce temps, des braqueurs attaquent un centre de recherches pratiquant des expériences sur les animaux, déclenchant au passage l'alarme. l'un des scientifiques arrive sur place, mais arrive malheureusement trop tard. Un bête monstrueuse semble avoir été malencontreusement libérée. Le lendemain, à l'Université, Peter et Walter ont une nouvelle dispute, mais sont interrompus par un appel d'Olivia, mise sur l'affaire. Le FBI enquête sur l'attaque de la voiture des braqueurs par le monstree libéré, et Olivia remarque que l'un des corps manque. Son enquête lui apprend que les victimes étaient des activistes. Sur l'un des corps, Walter découvre une chose étrange, qu'il semble reconnaître. Pendant ce temps, l'agent Charlie Francis pourrait bien devoir affronter le monstre libéré, qui a fait de nouvelles victimes. Walter pose des questions très précises à Charlie Francis, et semble extrêmement préoccupé. Il se pourrait que la créature soit génétiquement modifiée. De retour à l'Université, Walter apprend à Olivia et Peter que la créature pourrait avoir été créée d'après ses travaux, tentatives de croiser plusieurs animaux pour en produire un nouveau. Ils apprennent de plus que le monstre cherche à se reproduire... Et l'Agent Francis pourrait bien être porteur de larves du monstre. Pour sauver l'Agent Francis, le FBI doit retrouver la créature. Olivia Dunham découvre quel savant a créé la créature, le père de l'un des activistes, justement... Peter et Walter apprennent grâce à Olivia la "composition" de la créature. Mais il faut encore avoir un échantillon du sang du monstre : Olivia, Walter et Peter se mettent donc en chasse...
Mon avis : Les scènes entre Olivia et sa nièce sont particulièrement touchantes, montrant encore le potentiel de jeu d'Anna Torv. Un épisode classique dans certaines de ses scènes d'Horreur, mais pourtant diablement efficaces. Ici, on se croirait devant un bon vieux épisode d'X-Files, mais l'épisode m'a fait également pensé à un épisode de The New Avengers où Steed et ses collègues devaient affronter un monstre géant également. Un épisode passionnant, où Astrid, la simple asistante, commence à avoir sa place à part entière dans l'équipe. Et plus effrayant, donc (faut voir la bestiole, digne d'Alien), que le précédent, qui jouait davantage sur l'émotion.
Les références de l'épisode : Coincidence ? L'un des personnages de l'épisode s'appelle Jonathan Swift, comme l'auteur des Voyages de Gulliver.
Bilan : Je dois dire que je suis conquis par la série, d'une extrême qualité et de plus en plus maîtrisée. Elle est finalement un digne successeur pour moi de grands classiques comme X-Files ou The Avengers, utilisant des recettes classiques, mais aux personnages attachants. Mention spéciale à Anna Torv, très attachante, qui apporte énormément à la série.
22:35 Publié dans FRINGE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fringe, j.r.orci, joshua jackson, peter bishop, anna torv, olivia dunham, john noble, walter bishop, x-files