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lundi, 26 octobre 2009

ALIEN le 8ème passager : Le Long Halloween envahit SériesVerse, partie III

Réalisé par Ridley Scott. Genre : Science fiction, Epouvante-horreur, Thriller Durée : 1h56 min. Année de production : 1979.

ALIEN 1.jpgSynopsis : Le vaisseau commercial Nostromo et son équipage, sept hommes et femmes, rentrent sur Terre avec une importante cargaison de minerai. Mais lors d'un arrêt forcé sur une planète déserte, l'officier Kane se fait agresser par une forme de vie inconnue, une arachnide qui étouffe son visage.
Après que le docteur de bord lui retire le spécimen, l'équipage retrouve le sourire et dîne ensemble. Jusqu'à ce que Kane, pris de convulsions, voit son abdomen perforé par un corps étranger vivant, qui s'échappe dans les couloirs du vaisseau...
(Résumé du site Allocine.fr)

Sorti en 1979, ce film se voulait d'une certaine manière une réponse à Star Wars : A New Hope et ses débordements d'imagination en tous genres (et pour cause, puisque Star Wars ne s'est jamais véritablement comme une oeuvre de S-F pure). Avec Alien, l'espace se révèle des plus inquiétants, angoissants, rempli d'inconnu, comme par exemple le cadavre d'extraterrestre gigantesque retrouvé par les membres d'équipage du Nostromo.

ALIEN 2.jpgLe film est depuis devenu un classique instantané, définitivement, que l'on peut voir et revoir encore, parce que reposant sur des procédés assez simples. Et parce que le film, appartenant à la S-F, pioche dans plein d' autres genres voisins pour tenir le spectateur en haleine. Ainsi, la séquence durant laquelle le bébé Alien sort du ventre de la pauvre victime fait toujours son petit effet. Emporté par l'interprétation impeccable du casting, et surtout de Sigourney Weaver, ce film culte a marqué,et continue encore de marquer bien des esprits, maintes fois copié, jamais égalé. Si quelques aspects ont vieilli, comme l'aspect des écrans de l'ordinateur de bord, le film reste toujours aussi efficace.

Et puisque tout le monde en a entendu plus ou moins parler, voire l'a vu, je ne m'apesantira pas davantage, mais je pense qu'il convient tout à fait à une soirée d' Halloween.

Dans l' espace, personne ne vous entendra crier...

 

 

 

mercredi, 22 avril 2009

Star Trek Enterprise : review des ép. 1.20 à 1.23

Quelques épisodes encore chroniqués, pour un creux narratif béant, et une série lancée sur un simple concept, sans que l'équipe de scénaristes n'ait su ce qu' elle allait vraiment raconter. Du coup, on se retrouve avec des scénarios "bas-de plafond", qui sentent en plus le réchauffé dans l'univers Star Trek et les séries S-F en général...

Pour accompagner cela, le manque total apparent de maîtrise de la séquence pré-générique (dans le sens où elle doit faire rester le téléspectateur devant son écran pour l'heure qui vient, servir d'appaât pour ce qui vient) est assez symptômatique.

ENT 1.jpg

1.20 : Oasis
Sc : Stephen Beck. R : Jim Charleston.
L'équipage de l'Enterprise explore un vaisseau abandonné sur une planète, qui a la réputation d'être hanté. Sur place, l'équipage découvre les survivants, qui ont créé une petite communauté, mais refusent de quitter les lieux, car ils dissimuleraient un mystérieux secret (une partie d' entre eux n'existent pas réellement, sont des projections holographiques)...
Mon avis : Un épisode "classique" qui en rappelle un autre, de DS9, et qui hélas, à cause d' un rythme mou et d'un manque d' enjeux, ennuie rapidement.
La Guest-star de l' épisode : René Auberjonois, le Constable Odo de DS9.
Note : 1/5

1.21 : Detained
Sc : Mike Sussman & Phyllis Strong. R : David Livingston.
Mayweather et Archer se réveillent dans un camp de prisonniers Sulibans commandé par le Colonel Grat. Ils sont aux mains des Tandarans, en lutte contre la Cabale des Sulibans, et Grat aimerait soutirer des informations sur eux à Archer. Mais ce dernier refuse qu' on lui force la main, et se prend de compassion pour les prisonniers enfermés du camp, qui lui rappelle de bien mauvais souvenirs de l'histoire.
Mon avis : Un épisode plus enthousiasmant que d'autres, qui nous éloigne encore d'un certain manichéisme.
Et qui comporte un atout majeur : le Colonel Grat n'est autre que Dean Stockwell, et l'épisode réunit les deux anciens partenaires de Code Quantum à l' écran !! Réjouissant, d'un certain côté.
Note : 3/5

ENT 2.jpg

 

1.22 : Vox Sola
Sc : Fred Dekker. R : Roxann Dawson.
L'équipage a droit à un nouveau contact avec une nouvelle espèce, les Krestassans, mais la rencontre tourne court à cause d'un incident diplomatique. Les Krestassans se sont sentis offensés qu'on mange devant eux. (au passage, marrant comment ce devrait être les Humains qui devraient se plier face aux autres espèces, et celles-ci ne pas comprendre la notion de relativisme culturel. En gros, c'est à nous de nous adapter aux autres, toujours, face à l'intolérance des autres espèces).
Puis, peu de temps après, un vilain monstre extraterrestre monté à bord en douce attaque l'équipage et en capture certains membres, mais nous sommes dans Star Trek : l'alien ne voulait pas nuire et voulait juste rentrer chez lui... Le final n'est pas sans rappeler celui du pilote de TNG, "Encounter at Farpoint", de ce point de vue.
Mon avis : Aucun intérêt, avec un scénario et une morale dignes d'un D.A. pour enfants.
Note : 0/5

1.23 : Fallen Hero
Sc : Alan Cross. R : Patrick Norris.
En route pour Risa ! Mais avant cela, détour pour accomplir une mission pour le Haut Comandement Vulcain : convoyer pour eux une personnalité d'importance. l'Ambassadrice Vulcaine V'Lar. Mais celle-ci a eu l'occasion de se faire quelques ennemis, et le voyage est loin d' être de tout repos.
Mon avis : Enfin un épisode accrocheur, avec une des meilleures scènes de cette saison 1 : l'Enteprise, poursuivi par trois vaisseaux ennemis, doit fuir et passer en Warp 5, ce qu'il n'a jamais fait auparavant. Réjouissant !! Prenant, surtout quand ce type de situation s'accompagne d'un compte à rebours.

Note : 3/5